Énergie : non, la politique « durable » n’est pas durable

S’écartant de la logique optimisatrice d’un marché libre, les mécanismes mis en œuvre pour forcer à la « transition énergétique » conduisent à un gaspillage insensé et suicidaire des ressources naturelles et humaines.

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Énergie : non, la politique « durable » n’est pas durable

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 12 juin 2014
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Par Corentin de Salle et David Clarinval.

fiasco_energetiqueEt si la défaite électorale d’Ecolo devait être lue comme une mise en abyme de la faillite d’un système entré en crise profonde depuis quelques années ? Nous assistons en Europe à un « double paradoxe énergétique ». Premièrement, jamais l’énergie n’a été aussi chère alors que jamais son coût de production n’a été aussi réduit. Pourquoi ? La mise en concurrence du marché de l’énergie a fait baisser les coûts de production. Mais cette « libéralisation » reste encore très partielle voire théorique dans un marché énergétique ultra-réglementé où les deux tiers de la facture énergétique sont ponctionnés par l’État, où les consommateurs, déjà lourdement taxés, doivent financer des obligations incombant à l’État, où les distributeurs sont contrôlés intégralement par les pouvoir publics, où les transporteurs, à moitié publics et les grands producteurs, détenus en grande partie par l’État, sont contrôlés par un régulateur politisé et sont soumis à une puissance publique capricieuse qui fixe et gèle les prix et qui subsidie l’énergie non rentable. La politique énergétique, qui, via divers mécanismes, impose des quotas d’énergie verte de plus en plus importants, fait exploser la facture : entre 2006 et 2013, le prix du consommateur moyen a augmenté de 54% ! Et ce n’est pas fini. D’après une étude récente du Boston Consulting Group, à politique inchangée, l’électricité augmentera encore de 40% d’ici 2030.

Deuxième paradoxe : jamais l’Europe ne s’est dotée d’une telle capacité de production alors que jamais la sécurité d’approvisionnement n’a été aussi menacée. En effet, vu la priorité accordée au renouvelable, la capacité de production électrique actuellement à l’arrêt ou mise « sous cocon » équivaut à la somme de la production électrique belge, tchèque et portugaise. Indispensables au maintien de notre approvisionnement énergétique, les centrales à gaz, florissantes partout ailleurs dans le monde, sont rendues déficitaires par la politique des quotas et la subsidiation pharaonique de l’industrie verte intermittente (dont le coût de production est parfois jusqu’à six à sept fois plus élevé que d’autres filières). Contraintes de fonctionner à un régime inférieur à leur seuil de rentabilité, elles ferment leurs portes un peu partout en Europe. Ainsi, la semaine passée, Electrabel, pour la première fois de son histoire, annonçait une perte de près d’un milliard €. On est désormais – comble de l’absurde – contraints de subsidier cette filière, en soi rentable mais rendue déficitaire par les subsides octroyés aux filières concurrentes.

Ce fiasco signe avant tout l’échec du paradigme idéologique dominant en Europe : le développement durable. Ce dernier – qui ne doit pas être confondu avec la volonté de préserver l’environnement et le bien-être des générations futures à laquelle adhère tout esprit raisonnable – formate depuis longtemps les politiques énergétiques des États membres. Le développement durable est celui qui, idéalement, se situe à l’intersection de trois ensembles : le social, l’environnemental et l’économique. On est loin du compte. Le résultat est d’abord dramatique d’un point de vue social : hausse du coût de l’électricité pour les particuliers (le Wallon paie son électricité 15% plus cher que le Flamand), creusement des inégalités en raison de ce renchérissement (étude IRES, mars 2013, UCL), crises alimentaires au tiers monde suite à l’exploitation de biocarburants, etc. Il est ensuite environnemental : réouverture des centrales à charbon, les plus polluantes qui soient, hausse des émissions de CO2 suite à la sortie du nucléaire, destruction des milieux naturels pour la mise en culture des biocarburants, etc. Enfin, il est  économique : l’industrie verte intermittente, célébrée hier comme la panacée à la crise économique mondiale, s’écroule de toute part en raison d’un subventionnement massif à l’origine d’une bulle verte qui éclate aujourd’hui. Une étude de l’université Ruan Carlos à Madrid démontre que 2,2 emplois sont détruits pour chaque « emploi vert » créé et cette étude est confirmée par des études similaires en Angleterre, Allemagne, France, Suisse, Danemark, etc. On assiste à une chute alarmante de la compétitivité des entreprises européennes en raison des taxes énergétiques et du renchérissement du prix de l’énergie.

Fiasco social, environnemental et économique, la politique énergétique durable, telle que pratiquée par le gouvernement Olivier, n’est pas «durable». Avec une docilité frôlant la servilité, la Belgique se targue de figurer parmi les meilleurs élèves de la classe où est dispensée cette idéologie suicidaire. À cet égard, elle offre, surtout en Wallonie, un cas clinique chimiquement pur. Omniprésents dans les gouvernements, l’administration, les ONG, les universités, les écoles et les salles de rédaction, les zélotes du développement durable prônent la sobriété énergétique, incitent, « éduquent » et contraignent les gens à consommer moins. Ce faisant, ils ont, paradoxalement, élevé le gaspillage des ressources au rang des beaux-arts. En effet, les ressources naturelles sont, serinent-ils, limitées mais les mesures ruineuses qu’ils infligent aux consommateurs d’énergie laissent à penser que les ressources budgétaires des ménages sont illimitées. L’ignorance, l’aveuglement, le conformisme et l’antilibéralisme viscéral de nombreux idéologues et décideurs n’expliquent pas tout. Et si cette contradiction flagrante était, en réalité, révélatrice d’une volonté inavouée des plus retors d’entre eux de saboter insidieusement la production énergétique bon marché et d’appauvrir la classe moyenne afin d’édifier la société pauvre, égalitariste et décroissante auxquelles ils aspirent ?

S’écartant de la logique optimisatrice d’un marché libre, les mécanismes mis en œuvre pour forcer à la « transition énergétique » conduisent à un gaspillage insensé et suicidaire des ressources naturelles, humaines et budgétaires. Un marché énergétique non faussé par ces politiques interventionnistes permettrait le développement d’un secteur énergétique renouvelable intermittent rentable. Mais aujourd’hui, en raison de la hausse hallucinante du coût de l’énergie imputable à cette politique démentielle, nombre d’entreprises européennes énergivores (en particulier le secteur chimique qui, directement et indirectement, emploie 237.000 personnes en Belgique) se délocalisent en Amérique où le coût de l’énergie a été divisé par trois suite à la révolution du gaz de schiste dont les pays de l’UE refusent d’entendre parler. Le CEO de Solvay a déjà tiré la sonnette d’alarme à deux ou trois reprises. 22 usines chimiques ont fermé depuis 2009 en Angleterre sans qu’aucune nouvelle ne soit créée. Le géant allemand BASF désinvestit en Europe pour la première fois de son histoire. Etc. N’est-il pas urgent que l’Europe change de paradigme énergétique ?

Fiasco Énergétique : le gaspillage écologique des ressources, éditions Texquis.

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  • « d’appauvrir la classe moyenne afin d’édifier la société pauvre, égalitariste et décroissante auxquelles ils aspirent ? »

    Egalitaire? non, ce que souhaitent les théoriciens de l’écologie c’est devenir les nouveaux seigneurs et haut clergés d’un nouveau Moyen Age. Ces systèmes archaïques permettent néanmoins d’offrir une vie confortable à quelques individus « élus ». Voilà le plan.

    • Entièrement d’accord. Le plan des écolos c’est de devenir les chefs, parce que les chefs, eux, ne souffrent jamais des effets de leur politique, des pénuries, etc…

    • Détrompez vous. ils n’ont aucune aspiration au confort, et sont près à se contenter de vivre dans un étable avec un petit troupeau de maigres chèvres pour subvenir à leurs besoins. Et c’est bien le problème : le confort, ils ne se contentent pas de s’en passer, il exige aussi que les autres s’en passent !
      Avec des cyniques qui cherchent juste à pomper un max pour leur profit, comme vous l’imaginez, on pourrait s’entendre, mais avec ces fous furieux fanatiques, c’est impossible.

      • T’a vu la baraque de pauvre de Joseph Bové? T’appel ça une étable à chèvre?

        • non, pas vu. Par contre j’ai bien vu qu’aller en tôle ne le dérange pas, alors que des gens qui recherche le confort évitent ça, même en quartier VIP.

          • Il est éduqué, donc il a assumé, et dans une certaine mesure, la case prison l’a fait passer pour un martyr.
            Il a un status et des actions nationales, on peut comprendre qu’il ne va pas vivre dans une yourte pour autant, Bové est un mec plutot sensé pour un écolo je trouve.

            Si vous regardez objectivement, je pense qu’aucun écolo politiquement actif ne vit dans une cabane à chèvre.

            • Les gens qui cherchent le confort évite le martyre, bis. C’est pas les poires qui manquent pour le subir à leur place.
              Le pape non plus ne vit pas dans une cabane à chèvre, diriez vous que le confort du Vatican était le but de sa vie ? Les écolos c’est pareil ; leur logement ne sont pas forcément des cabanes à chèvres, mais ne doutez pas que leur principale confort, c’est leur pureté idéologique, pas le moelleux d’un canapé ni la largeur de diagonale d’un téléviseur.

              • Salut P
                D’un autre coté quand on voit Nicolas Hulot et l’autre (le photographe qui pleurniche dans ses reportages) on a affaire à deux drôle de zigoto. Tout le temps en avion ou en helico pour faire du sky surf dans le iles rodrigues (pour NH).
                Faut pas dire qu’ils vivent dans l’ascèse. LOL

      • tu rigoles , tu as deja vu un écolo vivre en accord avec ses principes ?? un ecolo , c’est souvent un bobo qui vit en ville avec tout le confort . Je rêve d’en coller un dans les montagnes à garder les moutons cerné par les loups qu’ils aiment tant (en photo)

    • Exact, il n’y a qu’à regarder les primaires de leur parti pour comprendre.

      si l’écologie était vraiment leur cheval de bataille, chaque membre du parti s’en cognerait de savoir si untel ou untel sera le dirigeant du parti : peu importe l’individu, on est dans le même parti, donc on défend les mêmes valeurs.
      Mais non, les écolos se fond la guerre entre eux, la lutte pour le trône. affligeant.

      • Ce sont des psychopathes persuadés de détenir LA vérité, et là où vous voyez « les mêmes valeurs », eux voient des désaccords de fond insurmontables (l’alternative serait qu’il reconnaissent être motivés par un ego de chiotte, ce qui n’est pas compatible avec leur esprit) ; car chez les purs, l’autre n’est jamais assez pur, et donc ça purge, s’étripe, exclut ou fait sécession à qui mieux mieux .

  • Le « développement durable » est une aberration. Ce n’est pas le durable qui pose problème, mais le « développement ». Faire du « développement durable » sous-entend que l’on pilote l’économie et sa caractéristique naturelle qu’est le développement. C’est du planisme étatique digne du communisme.

    Ce qu’on fait est l’équivalent d’administrer un traitement médical lourd à un patient bien portant, et s’étonner qu’il va de plus en plus mal. (Bien portant mais déja fortement fragilisé par des années de socialisme).

    Il serait temps d’arrêter avant d’avoir tué le patient.

  • Vision à court terme typique des libéraux qui visent une rentabilité immédiate alors que l’exploitation des énergies renouvelables n’en est encore qu’à ses balbutiements et comme toute innovation demande au départ un financement pour se développer : laisser d’ailleurs la recherche au privé dans ce domaine ne risque pas de la faire avancer beaucoup étant donné que ce dernier se fait un max de blé avec les énergies fossiles … d’ou les levées de bouclier libérales sans doute…
    Cette transition indispensable montre à quel point on ne peut pas compter sur le privé et sa loi du marché pour amener l’humanité a autre chose qu’un comportement parasite vis à vis de tout ce qui l’entoure.

    • Ah je vous arrête tout de suite. S’il y a une chose qui encourage un « comportement de parasite », c’est bien la subvention.

    • « laisser d’ailleurs la recherche au privé dans ce domaine ne risque pas de la faire avancer beaucoup étant donné que ce dernier se fait un max de blé avec les énergies fossiles »

      La plupart des entreprises privées du secteur énergétique ont investi dans les énergies durable. Et y ont laissé leur chemise. Mais ça c’est un fonctionnement normal : l’entreprise investit et cherche à se diversifier, c’est un échec, alors elle laisse tomber.

      Votre modèle à vous, c’est le modèle communiste. Ca ne marche pas donc on investit plus d’argent jusqu’à ce que le contribuable soit ruiné, car évidemment dans ce modèle on investit l’argent des autres sans leur demander leur avis et surtout sans leur rendre de compte quand ça marche pas.

      • C’est bien ce que j’ai dit : laisser la recherche aux entreprises privées qui visent une rentabilité immédiate est vouée à l’échec.
        Sinon , je n’ai pas vraiment de « modèle » : ne pas aimer les dictatures financières n’est pas forcément être communiste , républicain suffit.

        • Donc selon vous les américains (démocratie ininterrompu depuis 1783) ne sont pas des républicains ? Parce que les Etats-Unis sont exactement ce que vous appelez une « dictature financière ».

        • Toutes mes excuses, je n’avais pas compris que l’échec des énergies renouvelables était prévu et voulu. La ruine de nos économies est donc bien plannifiée. Il faut mettre une pancarte à Pole Emploi : « Vous êtes au chomage, ne vous inquiétez pas, tout est sous controle ».

          • cher pragma , je vous donne raison , le fait qu’il y ait autant de chômeurs est effectivement un choix de société . (pas le mien , mais celui de l’état)

        • Les entreprises privées visent la rentabilité, tout court. La rentabilité immédiate « et après moi le déluge », avec dans le viseur la prochaine élection ou la prochaine purge (l’an prochain), c’est l’apanage des républicains et des communistes, et pour ça ils adorent les dictatures financières, à base de nationalisation générale du système financier, nomination de potes et arrangement entre amis.
          A ce sujet, très bel article ce jour :
          http://www.contrepoints.org/2014/06/12/168493-jean-philippe-bidault-lavenir-du-dollar-et-de-l-euro-est-en-sursis

          • les libéraux sont libéraux, pas républicains ou monarchistes. L’important pour un libéral, c’est l’état de droit (« rule of law »), pas le mode de désignation du chef
            « valeurs républicaines », c’est la novlangue qui sert à un parti fondé par un collabo (Mitterrand) pour faire passer pour nazi un parti fondé par volontaire FFI (le Pen) ; amusant …
            La droite, la gauche … on s’en branle un peu. En matière sociale la victoire libérale est a peu près totale : divorce, avortement, contraception, dépénalisation de l’homosexualité, etc. Par un remarquable retour de bâton, la gauche est maintenant plus conservatrice que la vieille droite (exemple : prohibition de la prostitution, que la « gauche » réalise quand la droite n’en a que rêver sans succès) et le libéralisme ne peut plus guère trouver à revendiquer que ce qu’on trouve plutôt à droite : la liberté économique.

            • « valeurs libérales » : le pognon ? et la liberté en option ?
              J’aime bien les libéraux pour leur opinion sur les libertés individuelles par rapport aux autres droites mais tu sais très bien que les avancées dans ce domaine se font à gauche (même si c’est vrai il y a eu un petit recul avec l’exemple cité) .
              Sinon arrêtes de te mentir t’es à droite parce l’argent est ta priorité et que la gauche est plus redistributrice c’est tout.

              • Misère… Mais qu’il est c**…

              • Et c’est reparti pour un nouveau lâcher d’étrons …

              • « mais tu sais très bien que les avancées dans ce domaine se font à gauche »
                MdR
                dépénalisation de la sodomie, donc de l’homosexualité : Code pénal de 1810 (Napoléeon)
                contraception : Neuwirth, De gaulle ; opposition forte du PC, principale composante de la gauche
                avortement : Weil, Giscard
                etc.
                 » la gauche est plus redistributrice ». LOL … bel aveu 🙂 Tu es à gauche parce que ça te permet de justifier le pillage public à ton profit.
                Comme si détourner l’argent et la force publics au profit de sa clientèle électorale était une qualité, comme si c’était autre chose qu’un viol de la République … quelle expression tu as utilisé plus haut, déjà ?. « valeurs républicaines » ? Clown !

          • « c’est la nouvelle oligarchie à décapiter ?^^ »

            Bien, je vois que tu penses déjà à commettre des purges…

            « Il est loin le temps ou les libéraux étaient de gauche : aujourd’hui ils se sont attachés à un nouvel ordre établi , celui de l’argent , et sont passés à droite . »

            Les libéraux ne sont ni de droite ni de gauche. Ils sont réalistes, ne sont pas des avares ou des obsédés de l’argent, mais défendent leurs biens pour lesquels ils ont travaillé.
            Par contre, s’il y en a bien qu eux ne pensent qu’à l’argent, enfin, celui des autres, ce sont bien les socialistes et les zozos… Ils sont alors de droite ?

            • Ah quel bon sens ce Robespierre …çà n’a rien de personnel , c’est pour le bien commun, faire quelques exemples tu vois …hop une ou 2 tête qui volent çà fait réfléchir … on commence à se dire que finalement l’argent ce n’est pas si important …
              « Les libéraux ne sont ni de droite ni de gauche » : comme le FN en fait , il dit la même chose.
              « Ils sont », « ils ne sont pas » : t’utilisent toujours « ils » et à la place de « je » .T’es combien dans ton petit costume ?

              • « « Ils sont », « ils ne sont pas » : t’utilisent toujours « ils » et à la place de « je » .T’es combien dans ton petit costume ? »

                Et toi donc ? Tu as donc autorité pour les classifier ?

                Allez !va-z-y ! Demande leur ! T’es au bon endroit, camarade racaille !

        • Pourquoi les entreprises privées qui visent une rentabilité à long-terme ne s’intéresseraient-elles pas à la recherche ?

          Le transistor a été inventé aux Bell Labs (bon, ok, c’est un prix du gouvernement français en 1880 qui a permis de les fonder…), le circuit intégré chez Texas Instruments, etc., etc., etc. La seule invention que je connaisse par un fonctionnaire public est la poubelle, mais vous pouvez sans doute m’en citer d’autres.

        • Et donc, il faut une recherche publique investissant massivement dans des choses qui seront peut-être rentable dans 10.000 ans ?
          Lol.
          Ce n’est pas en détruisant l’économie que vous rendrez rentable ce qui ne l’est pas.

          « les dictatures financières »

          Gné ?

          « républicain suffit. »

          Bien, être républicain, c’est être communiste, comme le démontrent les Nords Coréens, les Soviétiques, les Chinois…

          Ah oui, ne pas aimer les dictatures financières c’est aussi être nazi.

          • Ne pas aimer les gros lards qui ne pensent qu’à s’engraisser , c’est être un communiste et un nazi : ok c’est noté.

            • Ne pas aimer les gros lards, non. Vouloir leur imposer tes conneries socialistes, si.

            • Les gros lards qui n’ont rien d’autre à penser que s’engraisser, j’en croise pas mal, effectivement. Je ne savais pas les communistes n’aimaient pas les rmistes, ils devraient aller leur dire.

    • Le problème est que l’Europe a agit comme si ce problème était une urgence absolue ce qui n’est pas le cas (on attend toujours que le pétrole disparaisse, et le réchauffement climatique n’a pas été constaté sur une période de 17 ans). En Allemagne, cela a mené a vouloir faire la transition énergétique tout de suite « alors que l’exploitation des énergies renouvelables n’en est encore qu’à ses balbutiements », entraînant les problèmes mis en lumière par l’article.

    • La transition n’est pas possible avec des ENR qui coutent 7 fois plus cher si on prend en compte tout les couts (réseau, stockage, instabilité). La seule solution est de taxer le CO2 pour financer des programmes de recherche sur la surgénération nucléaire et la fusion. Tout le reste c’est de la b********

      • le nucléaire n’est pas une solution libérale : c’est trop concentré comme énergie, donc nécessairement au mains de l’Etat.
        On a de toute façon pas besoin de se préoccuper de transition avant 1 ou 2 siècles, et d’ici là, si l’Homme existe encore, la technique aura encore fait des progrès qui l’auront rendu moins chère. Et, si les politiciens ne la dérange pas, elle se fera toute seule, comme l’électricité à remplacer la vapeur : sans grand plan de « transition »

        • Heureusement que le nucléaire reste sous controle d’état, regardez Fukushima…la centrale était sous le coup de plusieurs avertissement de l’AIEA, et rien a été fait pour des questions de rentabilité.

          Bon chez nous l’état contrôle, mais plus pour très longtemps, la logique financière s’impose de plus en plus, décentralisation, gestion par des sociétés qui sous traite à d’autre, qui elle meme fond appel à encore d’autre…
          Certaines centrales (Gravelines entre autre) ont même des concessions différentes d’une tranche à l’autre, et ça se voit visuellement au niveau de l’entretient et du bordel de câble.
          paradoxalement des vieilles centrales comme Fessenheim sont super clean et en bon état, et des plus récentes dont on ne parle pas mériteraient sérieusement qu’on s’en occupe…mais c’est trop cher répond t-on.

        • Juste pour vous préciser , au cas où cela vous aurez échappé , que les centrales nucléaire fonctionnent en faisant bouillir de l’eau , celle ci transformée en vapeur fait tourner les turbines qui font elles mêmes tourner les générateurs , donc rien n’a vraiment changé , on en est toujours à la vapeur ! 🙂

    • Bonjour Navyh
      C’est typique du raisonnement des collectivistes.
      -Le système libéral n’est pas parfait( on ne dit pas le contraire)
      -Donc le système collectiviste va résoudre les problèmes. CQFD

      Et si ça fonctionne tjs pas c’est parce que la politique n’a pas été assez collectiviste.

      • Marxisme et libéralisme ont ce point commun entre autre : « si çà ne marche pas c’est parce que ce n’est pas assez… libéral ou collectiviste… »

        Je ne vois pas çà dans mon raisonnement mais plutôt « quand quelque chose ne marche pas , il faut essayer autre chose … »

        • Quand on essaie autre chose, il vaudrait mieux choisir parmi ce qui marche ailleurs ou ce qui n’a pas encore été essayé…

          • Ce n’est pas faux : il ne reste plus qu’à trouver quoi …

            • hydraulique, solaire (thermique uniquement), thorium, biomasse des déchets…

            • La première chose à faire est de ne pas répéter les mêmes erreurs. C’est là la différence entre le libéral qui laisse tout seul ce qui a planté, et le collectiviste qui le recommence en deux fois plus fort.

              • L’idéal …. ce truc vers quoi on tend mais que l’on n’atteint jamais … entasser de la tune n’est pas un idéal …. quand on a un idéal l’argent n’est là que pour y arriver .
                Avec le libéralisme c’est l’argent qui te dit ou tu dois aller : comme si tu voulais aller à Paris et ta voiture te disais « ah non tu vas à Lyon »…

                • « L’idéal …. ce truc vers quoi on tend mais que l’on n’atteint jamais »

                  C’est de la théorie socialiste dont vous parlez ?
                  Les libéraux ne prétendent pas réaliser une société idéale ou parfaite, contrairement aux socialistes qui prétendent apporter la solution politique parfaite aux « problèmes » de l’état naturel de la société capitaliste sans en perdre les avantages, selon eux…

                  « comme si tu voulais aller à Paris et ta voiture te disais « ah non tu vas à Lyon »… »

                  Et le socialisme, c’est lorsque tu arrives à Lyon, t’as plus d’essence et pas d’argent pour en acheter, parce qu’un socialaud t’a piqué 60% de ton argent ou que t’as plus de travail parce que la réglementation t’interdit de travailler.

                • « entasser de la tune n’est pas un idéal »

                  Ben si, pour ceux que ça amuse, c’est un idéal. Tout comme d’autres ont pour idéal de trouver la sérénité dans un monastère au Tibet ou d’inventer le moteur à eau.

                  Où est le problème ? Le problème est que vous imaginez qu’un entrepreneur ne pense qu’à l’argent. En fait vous inversez le problème ; être libéral, c’est entreprendre ; entreprendre c’est réaliser, l’argent n’est qu’une récompense. Si vous ne comprenez pas pourquoi on entreprend et pourquoi la récompense est importante, c’est que vous n’avez jamais rien fait de vos dix doigts et n’avez aucune phsychologie. (On travaille pour l’argent, ou la reconnaissance, ou l’admiration des autres, ou la célébrité … Un entrepreneur peut difficilement obtenir une autre récompense que l’argent – et surtout pas la reconnaissance dans ce pays).

                  Quant aux fanatiques qui considèrent que l’argent est LEUR réalisation primaire et non pas la récompense de la réalisation (ils existent effectivement), qu’est-ce que ça peut vous faire qu’ils s’enrichissent au lieu de profiter de la vie : il génèrent en général de l’activité et ce sont leurs héritiers qui dilapideront le pactole.

        • Navyh : « Je ne vois pas çà dans mon raisonnement mais plutôt « quand quelque chose ne marche pas , il faut essayer autre chose … » »
          —————————
          Pour un type qui veut nous faire croire que « l’exploitation des énergies renouvelables n’en est encore qu’à ses balbutiements », t’es quand même légèrement con !

          Barry Commoner en 1976: « Les installations mixtes solaires/conventionnelles pourraient devenir l’alternative la plus économique dans la plus grande part des USA dans dans quelques années »

          Worldwatch Institute en 1984: « Les subventions sont essentielles pour la viabilité économique des fermes d’éoliennes mais ne seront plus nécessaires dans quelques années »

          American Wind Energy Association en 1986: « L’industrie de l’éolien a démontré un niveau de fiabilité et de performance qui la rend très compétitive. Au point que la Commission à l’Energie de l’état de Californie a prédit que l’énergie éolienne sera la source d’énergie au coût le plus bas dans les années 1990, surpassant même les grands barrages hydroélectriques. »

          Solar Energy Industries Association en 1987: « Le consensus tel que je le vois est qu’après 2000, entre 10 à 20% de notre énergie pourrait venir des technologies solaires, très facilement »

          • Salut MiniTAX … alors toujours aussi radin(e) ?
            T’as raison les énergies renouvelables se sont hyper développées depuis quelques décennies …

            • Traiter de radin, alors que vous voulez que les autres payent vos croyances personnelles… Vous seriez le premier â vous plaindre si l’on voulait vous faire payer pour une grosse statue de Jesus. Personnellement vous n’êtes pas assez imbécile pour lancer vos économies dans un mensonge démenti par des notions de physique élémentaires, mais vous êtes assez idiots si c’est quelqu’un d’autre qui paye.
              La double pensée me fascine dans un sens, mais elle coûte cher à l’humanité.

            • Non, les EnR ont été hyper subventionnées ces dernières décennies.

            • « alors toujours aussi radin(e) ? »

              Qu’est-ce que t’en as à faire que d’autres soient radins, vu que tu veux leur prendre leur bien de force ?
              Depuis quand un voleur se soucie du consentement de sa victime ?
              Peut-être as-tu un problème sur la conscience et c’est pour ça que tu cherches à troller comme tu fais, camarade?

              • Me de quoi je me mêle toi ? : tu veux dire que tous les 2 … enfin tu vois ? Ou t’es juste là à faire le malpoli ?

                Par contre pourquoi je traîne sur contrepoints.org c’est une bonne question :
                Déjà , je l’ai déjà dit , les articles concernant les libertés individuelles (sociales) , je suis plutôt en accord et ils offrent des arguments intéressants .
                Pour les articles ou je suis en désaccord(comme ici) , le but n’est pas de troller à l’origine , juste de marquer franchement ce désaccord .Après ce sont certaines personnes comme toi finissent par me conduire à troller…étant assez doué pour faire ch… les gens , c’est génétique je crois.

                • « Ou t’es juste là à faire le malpoli ? »

                  Tu parles de toi ?

                  « Déjà , je l’ai déjà dit , les articles concernant les libertés individuelles (sociales) , je suis plutôt en accord et ils offrent des arguments intéressants . »

                  Tout le monde se dit pour la liberté d’expression… En réalité, beaucoup se réjouissent de voir leurs adversaires censurés.

                  « Pour les articles ou je suis en désaccord(comme ici) , le but n’est pas de troller à l’origine »

                  Vraiment ? Alors pourquoi tu sors de telles absurdités ?

                  « Après ce sont certaines personnes comme toi finissent par me conduire à troller… »

                  Tu vois, je pense exactement la même chose de toi… Le troll, c’est toujours l’autre…

                • Si ton but n’est de pas troller, pourquoi tu viens poster des commentaires ?

              • Ah oui j’oubliais , à par toi peut-être et quelques autres, il a quand même des gens intelligents et cultivés qu’il est également intéressant de côtoyer , çà me change des frontistes …

            • Allez MiniTAX , tu peux y arriver , laisses pas l’autre andouille répondre à ta place

              • Bien, racaille. Il ne te reste que les insultes… Comme toutes les racailles et les voleurs, en fait…

                • Celà ne me dérange pas de répondre à l’insulte par l’insulte , çà défoule …du moment que ce n’est pas haineux : MiniTAX m’a traité de con et toi aussi avant que je vous nomme « radin(e) » et « andouille »

                  • Ben non, mon premier poste ici est à 17h57. Tu es déjà bien insultant dès 15 h 31.
                    A 10h54, tu commences déjà avec « Vision à court terme typique des libéraux qui visent une rentabilité immédiate »… Si ce n’est pas insultant… 🙂

                    Quant à mes insultes avant, dire « Misère… Mais qu’il est c**…» lorsqu’on lit : « Sinon arrêtes de te mentir t’es à droite parce l’argent est ta priorité et que la gauche est plus redistributrice c’est tout. » n’a rien d’insultant, mais c’est une constatation. Il faut vraiment être con pour dire une chose pareille. :mrgreen: Tu aurais peut-être préféré que je dise d’une autre façon, genre « c’est pas possible de débiter tant de conneries » ? Mais le fond serait exactement la même chose. :mrgreen:

                    Et après, tu te plains qu’on réagisse pas bien avec toi ?

                    Comme tout socialaud, tu t’accordes des dérogations aux exigences qui tu fais aux autres…

                    • Ce n’est pas des insultes çà , c’est ce qui me semble être la vérité : après je reconnais que c’est un peu « généraliser » mais dans l’ensemble comme tu dis « c’est une constatation ».C’est çà que t’appelles des conneries ? Peut-être que tu ne te sens pas concerner , je ne te connais pas assez mais le vote par « identité fiscale » est très courant tout comme l’appât du gain rapide des actionnaires.

                    • Tout socialiste est un chien.

                    • « tout socialiste est un chien »
                      On n’en sait rien, des socialistes, des vrais qui vivent selon les principes qu’ils proclament, j’en ai jamais vu. Ça existe peut-être, chez Emmaüs par exemple, mais il faudra me les montrer pour que j’y crois.
                      Par contre des gens qui veulent privatiser à leur profit le bien des autres, ça oui, y’en a plein le PS, les syndicats, etc.

            • T’as raison les énergies renouvelables se sont hyper développées depuis quelques décennies …

              Correction : les énergies renouvelables ONT ÉTÉ hyper développées depuis quelques décennies

              Le test c’est : on coupe TOUTES les subventions et on voit ce qui arrive…

        • Le problème c’est que le libéralisme ça marche, mais ça marche sans l’état. Et cela l’état ne le supporte pas. Il ne supporte pas de voir tous les gens se débrouiller sans lui. L’état c’est le pouvoir et il ne supporte pas de voir les gens se débrouiller sans lui., être libre.

          • Et tu connais une zone sans Etat pour dire que çà marche ?
            L’Etat c’est aussi sa population et ce qui chagrine aussi les libéraux leur monde merveilleux du « tout payant » est loin de faire l’unanimité .

            • Vous déformez mes propos ce qui n’est pas très fair-play.
              Un libéral n’est pas anarchiste.
              L’argument démocratique ne tient pas
              Vous êtes minoritaire donc vous avez tort (André Laignel) est tout sauf digne d’une démocratie libérale.
              Je vous rappelle aussi que l’état n’est pas propriétaire de la population contrairement à ce que vous dites (lapsus?).
              Cordialement quant même.

            • 1. « Et tu connais une zone sans Etat pour dire que çà marche ? »

              Non par contre on peut ordonner les pays en fonction de combien d’état ils ont en terme de poids et là le constat est sans appel: moins il y en a, mieux ça marche.

              2. « L’Etat c’est aussi sa population et ce qui chagrine aussi les libéraux leur monde merveilleux du « tout payant » est loin de faire l’unanimité . »

              Ce n’est pas une question d’unanimité, on se contrefout de l’unanimité, c’est une question de pouvoir disposer de soi et de ce qu’on produit, même si d’autres ne sont pas d’accord et veulent piller leurs voisins.

              Imagine une femme au milieu de bandits de grands chemins qui ont pris d’assaut sa voiture sur une aire d’autoroute parce qu’ils veulent la violer.

              Là toi et moi nous discutons. Mon argument consiste à dire qu’il n’est pas tolérable qu’ils puissent avoir un rapport sexuel avec elle sans son consentement, c’est du viol.

              Ta réponse consiste à dire mutatis mutandis : « le groupe c’est aussi les bandits, et ce qui chagrine cette femme et son monde merveilleux du chacun choisi librement ses partenaires sexuels est loin de faire l’unanimité ».

              Tu vois le problème de ta réponse?

              La démocratie moderne coco, ce n’est pas de l’ochlocratie.

              Ici personne n’est contre les énergies renouvelables ou pour les énergies non renouvelables. En fait nous nous en foutons pour la plupart, ce qui compte c’est le critère par lequel on aboutit à l’utilisation d’une énergie ou d’une autre. Et ce que les libéraux contestent le plus souvent, c’est le critère sur lequel on peut décider qu’une énergie particulière est indispensable pour tous comme tu le dis plus haut (qui le décide pour les autres et sur quelle base?) et donc que ça doit être développé de force, entendu choisis par certains mais payé par d’autres, à coup de subvention ou d’aides.

              Ce que tous te répondront ici coco, d’une part pour les libéraux conséquentialistes c’est que ce n’est pas efficace, d’autre part pour les libertariens c’est que c’est du vol.

              Tu peux le tourner dans tous les sens comme tu veux, quand mon voisin vient pour me prendre ma propriété sans mon consentement, c’est du vol, quoi qu’il veulent faire avec, même si c’est pour la bonne cause, les pauvres, les subventions à la culture ou les énergies renouvelables. Et si mes voisins sont deux, trois, dix ou une écrasante majorité, parce qu’ils ont discuté entre eux et ont voté ensemble pour me piller, ça ne change rien à la nature de l’acte, c’est toujours du vol. Et s’ils s’organisent collectivement en mafias ou groupes collectifs en nommant cela « Etat » et qu’ils désignent l’un d’entre eux fonctionnaire dévoué à la tâche de venir me prendre mes biens, ça ne change toujours rien à la nature de l’acte, cela reste du vol.

              Tu peux utiliser toute la novlangue que tu veux avec des mots comme « justice sociale » ou « durabilité », ou renvoyer à l’unanimité ou la majorité tant que tu veux, ou dire que telle politique est indispensable comme pour les énergies renouvelables et vouloir les subventionner, au bout compte quand on épure la situation de toutes ces fioritures artefactuelles et inutiles qui visent à faire passer des vessies pour des lanternes, la question fondamentale, c’est de savoir si tu te ranges du côté des libéraux ou du côté des voleurs et des brigands.

              Et si tu veux contraindre les gens à payer pour tes lubies qu’elles qu’elles soient, il va falloir trouver autre chose que de simplement dire que l’on ne fait pas l’unanimité pour nous convaincre. Si tu penses le contraire, baisse ton froc on arrive, parce que ton refus de te faire violer ne fais pas non plus l’unanimité, et sans me vanter, tu vas avoir mal au cul. Et, si tu miaules et tu gémis, comme tu le fais ici, en plus on t’insultera en te traitant d’égoïste et d’avoir une vision à court terme de ton propre intérêt.

  • L’OPEP peut dire merci aux politiques énergivores.

    Aujourd’hui, l’OPEP gagne 5 fois plus d’argent que les années 90.

    1000 milliards de dollars par an contre 200 milliards de dollars (dollars corrigés de l’inflation) par an que les années 90.

    L’OPEP gagne même 2,5 fois plus qu’au moment du 1er choc pétrolier.

    Comme le pétrole a peu de chance de descendre sous les 100 dollars le baril et que l’OPEP peut maintenir son niveau de production pendant plus de 50 ans, l’OPEP est assuré de gagner encore 50 000 milliards de dollars.

    Source
    OPEC net oil export revenues
    http://usaoilandgasmonitor.com/wp-content/uploads/2013/07/opec.png

    • Merci aux écolos qui luttent contre le nucléaire.

      • Le nucléaire sert à produire de l’électricité.

        Or, dans le monde, seul 4,8% de l’électricité est produite grâce au pétrole.

        Les rares pays qui utilisent encore le pétrole pour produire de l’électricité sont souvant des pays pauvres, qui n’ont pas les moyens d’achêter des centrales nucléaires. Comme le Sénégal.

        Donc, il ne faut compter sur le nucléaire pour réduire la consommation mondiale de pétrole.

        Source
        Agence internationale de l’énergie
        http://img4.hostingpics.net/pics/244708IEAelectricitygeneration.png

        • J’en déduits que pour un écolo, le Sénégal doir rester un pays pauvre.

          C’est ça qui me fascine dans l’altruisme des écologistes : tous doivent faire des efforts mais les pauvres doivent rester pauvres pour le bien de la planête. Ou même crever de faim quand on transforme les céréales en bio-carburants.

          • « Ou même crever de faim quand on transforme les céréales en bio-carburants. » ça c’est les Allemands :
            http://www.amisdelaterre.org/Mais-methanisation-et-electricite.html

            Là on voit bien la doctrine escrologiste : les pays pauvres doivent rester pauvres.
            Simplement qu’ils sont pauvres, donc ils ne peuvent pas acheter tout le business vert et les cafetières bio, les vélo bio, les bouteille d’eau recyclées…l’économie de marché ne peut s’implanter, donc on les laisse en prétextant que c’est pour le bien de la planète.
            Pourtant ces pays pauvres sons souvent pollueur, car le semblant d’activité qu’ils ont se fout royalement de l’environnement (dénivellement de chose qu’on ne veut plus chez nous, agro intesive…)

          • Nan, pour eux il faut qu’il n’y est plus de pauvre, mais pas en réduisant la pauvreté mais en réduisant leurs fertilité, comme l’a dit Al Gore à propos des Africains

            • C’était un effet d’annonce, je pense plus que la limitation de la fertilité devrait etre opéré sur les classes moyennes et supérieures, de fait il ne reste que les cas-sosse pour se reproduire ; et on sait qu’un enfant de cas sosse ne sera probablement pas une lumière, donc un futur adulte pauvre, manipulable, au service de la machinerie mondial dont parlait Al Gore.
              Idiocracy est un film cucu et comique qui fait une allusion à ce principe, très bien mis en image au début du film, à voir c’est sympa.

              • J’ai du mal à savoir si votre commentaire est comique ou non…

                • rdv dans 2 générations et vous aurez la réponse.
                  Regardez autour de vous, consultez les stats de l’INSEE, et si vous connaissez des gynécos, demandez quelle CSP a le plus besoin d’assistance hormonale pour procréer.
                  Vous élargirez la recherche par la suite, et constaterez que la france n’est pas un cas isolé, et que les memes tendances se retrouvent ailleurs.

        • Sauf si on remplace le parc auto actuel par un parc électrique. il faudra alors une énergie disponible et abondante, et la consommation de pétrole baissera (peut être).

          • sauf si … si ma tante en avait …
            La mobilité a besoin d’énergie à volume et poids minimum, exactement le contraire ce ce que l’électricité propose.
            Le pétrole continuera à prospérer dans les transports quand il aura été chassé de toutes les autres applications.

            • Surtout que si on le chasse d’un peu partout, son prix risque de baisser, favorisant encore plus le transport.
              Et juste un instant, est-ce qu’on peut imaginer les poids lourds et les cargos sans pétrole ? pour l’instant et pour encore longtemps, la réponse est non, donc le pétrole reste une énergie d’avenir dans le transport.

              On peut meme imaginer que sans taxes lourdes, le pétrole pourrait redevenir interessant dans le chauffage, car les installations sont durables (une chaudière moderne peut vivre une vingtaine d’année à moindre cout d’entretien) et peu couteuse au regard des joules qu’elles produisent.

        • Ce que vous racontez n’a aucun sens, en France le nucléaire à remplacé le charbon, avec un gain indéniable (maitrise du cout de l’énergie et réduction de la pollution atmosphérique). Vous mélangez deux éléments sans rapport, c’est un simulacre de raison, mais ça ne change rien à la réalité: seul le nucléaire est capable d’assurer la production de base d’énergie indispensable à tout société moderne.

    • Oh mon dieu. Des affreux qui VENDENT ce qu’ils produisent. C’est ignoble. quel manque de savoir-vivre, vraiment, alors qu’il pourraient le donner, ou encore laisser Total se servir gratuitement pour que luc puisse se chauffer, se nourrir et même produire des isolants écolos et des panneaux solaires pour son logement.
      LOL

      • Je crois que luc cherche juste à montrer que l’une des conséquences des politiques de DD est la hausse de la demande en pétrole… Paradoxal vu la haine des écolos pour ce secteur.

    • Décidément, c’est le rassemblement des bots.

  • Il y a 30 ans, la baisse de la consommation de pétrole avait donné des résultats positifs.

    La consommation de pétrole n’a baissé d’une seul fois, sur une longue période, entre 1979 et 1984.

    La consommation mondiale est passée de 64 millions de barils par jour en 1979 à 59 millions de barils en 1984.

    Cette baisse a contribué à faire baisser les prix du pétrole, qui sont passés, en dollar corrigé de l’inflation, de $100 à $64.

    Tout en réduisant lourdement le poids des pays du Moyen Orient dont la production était tombée à 11 millions de barils par jour.

    La guerre Iran-Irak n’avait plus aucun effet sur les prix du pétrole.

    Puis, en 1985, l’occident a décidé d’arrêter les politiques d’économie d’énergie. La consommation est rapidement reparti en hausse.

    Aujourd’hui, le monde consomme 50% de pétrole de plus qu’en 1985.

    En occident, les dernières réserves de pétrole facile à exploiter (Alaska, Mexique et Mer du Nord) sont épuisées

    La production des pays du Moyen-Orient est passée de 11 millions de barils en 1984 à 28 millions de barils par jour en 2012.

    Et le pétrole coûte 100 dollars le baril depuis 3 ans.

    • Et pourquoi l’Occident a-t-il arrêté cette politique ? La raison est assez simple il me semble: elle n’était pas viable.

      • non, c’est pas ça du tout. Les politiques d’économie d’énergie n’ont jamais cessé, simplement elles ont des rendement fortement décroissants ; par exemple il est relativement facile et peu couteux de faire passer la consommation d’une voiture de 10 l/100 km à 6 l/100km et ça vous fait économiser 4 l ; passer de 6l à 4 l est compliqué et cher et ça ne vous fait économiser que 2 litres. Pareil pour l’isolation : quelque rouleaux de laines de verres sous le toit et vous divisez votre facture par deux ; isoler complétement (les 4 murs, les fenêtres etc.) vous coutera 10 fois plus pour un gain moitié moindre.
        Ce qui a été gagné au début a eu un gros impact qui s’est vu ; ce qu’on grappille depuis n’a que des effets marginaux

    • En occident, les dernières réserves de pétrole facile à exploiter (Alaska, Mexique et Mer du Nord) sont épuisées

      Augmentation des prix à prévoir, simple 🙂

  • Super article !
    Mais, on se demande comment de nombreux « verts » soient au pouvoir réel, en douce presque partout, après avoir fomenté un tel fiasco.
    J’espère que les générations futures sauront leur faire le sort qu’ils méritent.
    La génération actuelle « bisounours », de droite comme de gauche, a encore les yeux humides en rêvant aux « grenelles » du climat qui nous font si mal, et pour encore plusieurs générations.

  • On peut se poser la question si des droits de douanes et accises plus élevées sur les énergies ne feraient pas l’affaire sur le plan économique. Pourquoi faire compliqué avec des systèmes de taxations qui favorisent le parasitisme voire la fraude, et mènent à un chaos. industriel, et pour le surplus, ressemblent à une vilaine pyramide de Ponzi, avec un tas de dette à payer dans le futur.
    Mais voilà, augmenter de 1 EUR le litre de carburant ou d’huile de chauffage à l’entrée sur le territoire, ce qui ne laisse pas de dette, et laisser les entreprises s’organiser le plus simplement possible, ce n’est pas porteur, même pour les socialistes qui craignent de perdre le pouvoir plus que de voir partir l’industrie partir en Chine, ou aux USA, car on a Montebourdes, le grand défenseur de l’industrie.
    Plutôt que de de subventionner n’importe comment, on devrait se porter sur l’efficacité énergétique, par la technologie et l’organisation.
    Est-il sensé de faire 100 km par jour pour aller travailler, ceci même en transports en communs? Est-il normal d’avoir des logements trop chauffés, même si l’on en a les moyens ? J’en ai vu à 27 degrés en octobre, d’autres le chauffage en fonction même en août. Alors qu’en dessous de 60 ans, on supporte bien 16-17 degrés.
    Les Danois et les Suisses ont des politiques plus sensées avec le turbinage-pompage, même si la Suisse aura quelques difficultés avec l’arrêt de ses centrales nucléaires.

    • efficacité, sobriété, et ses effets sur la consommation et le PIB

      http://www.manicore.com/documentation/primaire_final.html

    • « Plutôt que de de subventionner n’importe comment, on devrait se porter sur l’efficacité énergétique, par la technologie et l’organisation. »
      ————————–
      Faire des efforts d’efficacité énergétique, c’est un truisme. C’est comme dire « faire du mal, c’est pas bien ».
      Soit dit en passant, le meilleur moyen d’y arriver (s’il y a mieux, qu’on me le cite !), c’est… le profit et l’appât du gain, notions fanatiquement combattues par les mêmes propagandistes de l’efficacité énergétique. La loi des conséquences inattendues a encore frappé.

      Et un léger détail concret, histoire qu’on n’en reste pas aux belles intentions et autres vagues banalités : l’efficacité énergétique n’a JAMAIS fait diminuer la consommation d’énergie, ça a été formulé dans le paradoxe de Jevons il y a déjà plus d’un siècle. C’est d’une reproductibilité aussi implacable que la gravité.

  • A en croire les zozos verts, les milliers d’années de développement qui ont passé depuis l’aube des temps n’ont rien de durable…

    • Arretez, dites le pas trop fort, les verts vont nous sortir que les précédents réchauffements et ères glacières ont été provoqué par les hommes de l’époques, des anciennes civilisations avancées qui ont toutes disparues.

  • « Une étude de l’université Ruan Carlos à Madrid démontre que 2,2 emplois sont détruits pour chaque « emploi vert » créé et cette étude est confirmée par des études similaires en Angleterre, Allemagne, France, Suisse, Danemark, etc.  »

    Es-t-ce que l’auteur peut donner les références exactes des publications scientifiques de ces études pour qu’on puisse se les procurer et les lire?

  • lol,j’attendais plein de troll,pas deçu!
    la palme a navyh(c’est yvan best,c’est son pseudo sur libé ou la tribune,bref,un torchon gochiste).Ce gros butor crois que les libéraux crois en la monnaie,quelle tache,c’est ceux qui vivent de subventions ou d’aides qui veulent de la monnaie(du fric imprimé,banae)les libéraux produisent,lors de l’éffondrement,on aura encore besoin d’eux.

    • Les libéraux entreprennent, créent des emplois, organisent, produisent de la richesse …

      Si les chiens étaient aussi bêtes que les acharnés du collectivisme et de la lutte des classes, ils mordraient la main de leurs maîtres.

      Dans ce pays, il vaut encore mieux être voleur ou facho que de tenter de réaliser quoi que ce soit. On est mieux considéré par la majorité de la population.

  • Braine-le-Château, 19 juin 2014.
    Fiasco Energétique – Le gaspillage écologiste des ressources
    C’est un livre peut-être unique en Belgique à l’heure actuelle. Il est focalisé sur l’activité politique énergétique en Wallonie. Ce qui est très rare. Le livre se lit facilement. Il y a des répétitions judicieuses pour faciliter la compréhension des lecteurs qui ne sont pas familiarisés avec les arcanes de la politique énergétique. Des chapitres sont écrits d’une manière humoristique afin d’alléger la rudesse du sujet. Cela permet aussi de mettre en évidence le grotesque de l’écologie politique telle qu’elle est pratiquée.
    Quant au fond, la documentation abondante étaye le développement des idées qui explorent le social, l’économique et l’environnemental. On ne peut pas être plus complet. Ce livre se veut aussi objectif que possible pour ceux qui le lise sans arrières pensées. A certain moment, on croirait lire Jean Ziegler (L’Empire de la Honte).
    Ce livre mérite un grand succès de librairie car il informe les lecteurs sur des sujets qui ne sont pas abordés correctement ou d’une manière partisane par les médias. Ces derniers sont muselés par la propagande de la politique écologique. Qui est au courant du grand retour du charbon au détriment même du gaz pour la production de l’électricité ? Mais tous savent qu’il faut en terminer, à tort, avec le nucléaire grâce au plus anti-nucléaire des lobbies « green peace ».
    Tout citoyen devrait lire ce livre. Mais attention, après la lecture, vous ne serez plus en état de comprendre pourquoi le politique continue à s’abreuver de formules creuses dans lesquelles on y déverse les explications opportunistes du moment, tels que : développement durable et transition énergétique ! Comme si la viabilité d’une activité, d’une entreprise, était un concept nouveau alors qu’il existe depuis l’antiquité. Que l’évolution de la production de l’énergie est stagnante alors qu’elle a évolué d’une manière remarquable si l’on considère ne fusse que les 100 dernières années…
    Mais le comble du non-sens vient de la représentation du développement durable grâce par la théorie des ensembles. Afin d’étayer leurs propos, les partisans de l’écologie politique ont recours à une représentation au moyen de 3 ensembles : l’économique, le social et l’environnemental. La zone d’intersection des 3 ensembles représenterait le développement durable. S’il y a une zone d’intersection, cela signifie que dans cette zone nous retrouvions des propriétés communes aux 3 ensembles. D’où, l’obligation de définir précisément ce que l’on entend par « développement durable » dans les 3 ensembles. Cependant, les artistes de l’écologie politique font l’impasse sur cette obligation. Cela fait des siècles que nous essayons de maîtriser les propriétés qui caractérisent l’économie, le social et l’environnement. La théorie des ensembles est inappropriée. Le recours à la logique floue (fuzzy logic) permettrait peut-être d’établir un modèle qui colle un peu plus à la réalité.
    Même si les wallons ont été mal informés pendant 4 ans, la sanction est tombée vis-à-vis de la politique écologique. Ce qui laisse un peu d’espoir que le bon sens va reprendre le dessus. Il faut que le politique se rende compte du travail intellectuel énorme qui est demandé à la population, pour surmonter le matraquage médiatique quasi universel qui lui est imposé. Que la population parvienne encore à faire preuve d’esprit critique dans ces conditions, c’est à mettre au crédit de notre développement culturel. Les scientifiques se sont mis à parler, un peu tard. Il est bien qu’ils sachent qu’ils sont écoutés.
    Jacques Ledent

  • Braine-le-Château, 19 juin 2014.
    Fiasco Energétique – Le gaspillage écologiste des ressources
    C’est un livre peut-être unique en Belgique à l’heure actuelle. Il est focalisé sur l’activité politique énergétique en Wallonie. Ce qui est très rare. Le livre se lit facilement. Il y a des répétitions judicieuses pour faciliter la compréhension des lecteurs qui ne sont pas familiarisés avec les arcanes de la politique énergétique. Des chapitres sont écrits d’une manière humoristique afin d’alléger la rudesse du sujet. Cela permet aussi de mettre en évidence le grotesque de l’écologie politique telle qu’elle est pratiquée.
    Quant au fond, la documentation abondante étaye le développement des idées qui explorent le social, l’économique et l’environnemental. On ne peut pas être plus complet. Ce livre se veut aussi objectif que possible pour ceux qui le lise sans arrières pensées. A certain moment, on croirait lire Jean Ziegler (L’Empire de la Honte).
    Ce livre mérite un grand succès de librairie car il informe les lecteurs sur des sujets qui ne sont pas abordés correctement ou d’une manière partisane par les médias. Ces derniers sont muselés par la propagande de la politique écologique. Qui est au courant du grand retour du charbon au détriment même du gaz pour la production de l’électricité ? Mais tous savent qu’il faut en terminer, à tort, avec le nucléaire grâce au plus anti-nucléaire des lobbies « green peace ».
    Tout citoyen devrait lire ce livre. Mais attention, après la lecture, vous ne serez plus en état de comprendre pourquoi le politique continue à s’abreuver de formules creuses dans lesquelles on y déverse les explications opportunistes du moment, tels que : développement durable et transition énergétique ! Comme si la viabilité d’une activité, d’une entreprise, était un concept nouveau alors qu’il existe depuis l’antiquité. Que l’évolution de la production de l’énergie est stagnante alors qu’elle a évolué d’une manière remarquable si l’on considère ne fusse que les 100 dernières années…
    Mais le comble du non-sens vient de la représentation du développement durable grâce par la théorie des ensembles. Afin d’étayer leurs propos, les partisans de l’écologie politique ont recours à une représentation au moyen de 3 ensembles : l’économique, le social et l’environnemental. La zone d’intersection des 3 ensembles représenterait le développement durable. S’il y a une zone d’intersection, cela signifie que dans cette zone nous retrouvions des propriétés communes aux 3 ensembles. D’où, l’obligation de définir précisément ce que l’on entend par « développement durable » dans les 3 ensembles. Cependant, les artistes de l’écologie politique font l’impasse sur cette obligation. Cela fait des siècles que nous essayons de maîtriser les propriétés qui caractérisent l’économie, le social et l’environnement. La théorie des ensembles est inappropriée. Le recours à la logique floue (fuzzy logic) permettrait peut-être d’établir un modèle qui colle un peu plus à la réalité.
    Même si les wallons ont été mal informés pendant 4 ans, la sanction est tombée vis-à-vis de la politique écologique. Ce qui laisse un peu d’espoir que le bon sens va reprendre le dessus. Il faut que le politique se rende compte du travail intellectuel énorme qui est demandé à la population, pour surmonter le matraquage médiatique quasi universel qui lui est imposé. Que la population parvienne encore à faire preuve d’esprit critique dans ces conditions, c’est à mettre au crédit de notre développement culturel. Les scientifiques se sont mis à parler, un peu tard. Il est bien qu’ils sachent qu’ils sont écoutés.

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