C’est un scandale ! (d’État). Sarkozy, le coupable, a osé répondre à ses légitimes bourreaux issus directement des tricoteuses de la guillotine. J’ai déjà été, par le passé, obliger d’en parler, étant un spécialiste renommé (dans mon bourg breton) des turpitudes socialistes (pléonasme). La presse subventionnée s’émeut, y a-t-il atteinte à la sécurité de l’État, curieusement confondu par Ayrault avec la République ?
Résumons : sur un très vague soupçon de financement khadafien, l’ex président de la dite République est mis sur écoute depuis un an. Jusqu’ici, rien de nouveau à ce sujet (personnellement, je trouve évident que Khadafi a refilé de l’argent dans des valises à Takhiédine pour être sûr de se faire attaquer par Sarko ensuite). Le juge en profite pour enregistrer 280 heures de discussions sur les dessous de l’affaire Bettencourt (et probablement de la lingerie coquine de Carlita, tant qu’on y est), en toute légalité nous rassure Mme Taubira, qui s’y connaît.
Le secret sacré de l’instruction permet de distiller des phrases hors de leur contexte à des médias complaisants, soucieux de respecter la liberté de l’information orientée et de violer le secret sus-dit. Et cette presse garantit qu’il y aurait des choses louches. Un avocat général bavard, un avocat tout court qui traite les juges de “bâtards” (Il exagère, la plupart ont été élevés par d’honnêtes parents putatifs rouges) sont désignés d’office. La gauche s’indigne, les syndicats de magistrats sont reçus à l’Élysée, mais aussi les bâtonniers-avocats qui sont tout rouges d’indignation. Tout le monde est rouge dans cette affaire. Devant les Français, en direct, la ministre de la Justice ment. Bref, Sarko contre-attaque, surprend tout le monde et accuse un acharnement, des écoutes illégales, des méthodes à la Stasi. Hou, il re-met la République en danger.
Je pourrais continuer longtemps, mais il me vient à l’esprit que le seul présumé(?) coupable dans cette saga, c’est l'(ex) Président de la République, premier personnage de la République, élu par le Peuple qui est accusé des pires actes et intentions, parce qu’il a remis en question l’honnêteté de ceux-là mêmes qui la lui refusent, pour des raisons jusqu’ici plus idéologiques que concrètes. Des juges accusent et refusent d’être accusés, refusent l’idée de collusion avec le Pouvoir hollandiste qu’ils prêtent à l’ex-Président. Eh bien je me permets à mon tour de douter de l’intégrité, de l’impartialité de ces juges, parce que je suis historien et que ma mémoire est encombrée de souvenirs depuis la IIIème République jusqu’à aujourd’hui. Et j’attends des preuves, non pas quelques phrases interprétées à charge. Parce que si un Président est coupable, c’est toute l’Institution qui en pâtit. S’il est innocent, c’est toute la gauche fétide qui le paiera en 2017, et on le sait à l’Élysée, qui s’affole et insulte, mauvais signe.
On voit bien là toute l’hypocrisie nauséabonde de la gauche française.
On dénonce les menteurs au pouvoir, pris la main dans le sac, et c’est les français qu’on insulte. Faut le faire, rappelons qu’ils l’ont déjà fait aussi pendant l’affaire Cahuzac.
Sinistre outrecuidance de la gauche qui se drape des oripeaux de la République qu’elle déchire et souille en permanence.
Hollande a menti aux français pour se faire élire, et s’étant lamentablement planté, après avoir juré devant la France entière qu’il était socialiste dans toute son intégrité, le voila qui pour camoufler ses échecs se déclare social-démocrate et libéral, faisant trémousser de bonheur toute l’intelligentsia de gauche subventionnée.
La Garde de Sceaux ment.
Le Ministre de l’Intérieur ment.
Le Ministre du Travail tricote ses chiffres et ment.
Le Ministre des Finances jette l’éponge après deux de mensonges éhontés et veut se recaser à Bruxelles.
Je vous fais grâce du reste de notre gouvernement, et je n’ose même pas citer le Premier Ministre.
Et ils osent dire que Sarko attaque et insulte la République?
Tartuffes.
Rien à voir avec les écoutes mais avec le Ministre de l’Intérieur.
chacun se souvient du “casse toi pauv’con” de Sarkozy parce qu’une personne avait refusé de lui serrer la main au pretexte que “tu vas me salir” ( les média et le PS ne retenant que la phrase de Sarkozy et ont omis de dire pourquoi il l’avait prononcée)
Donc, revenons à Valls. Il s’est rendu dans une caserne de pompiers en grève et lorsque un sapeur pompier a refuse de lui serrer la main voici la diatribe quelque peu alambiquée que Valls lui a infligée ; je le cite
“Quand on refuse de serrer la main à une quelconque personne c’est qu’on a perdu ses valeurs. Moi, je vous invite, Monsieur, avec l’expérience qui est la votre, vous n’êtes pas un gamin, vous exercez des responsabilités, quand vous avez la visite d’un ministre de l’intéireur, un représentant du gouvernement un représentant de l’état, représentant la république, à vous comporter comme un sapeur pompier. Il y a une hyérarchie chez les sapeurs pompiers et vous devez la respecter. Et si je viens ici pour dialoguer avec les sapeurs pompiers ce n’est pas pour qu’on refuse de me tenir la main, de me serrer la main” !
Encore heureux qu’il ne lui ait pas demandé de se mettre à genoux et de lui baiser la main.
Imaginons un instant unm inistre de droite disant la même chose, Tous les journaux en font leurs choux gras, et là ? Bof, rien.
J’ai déjà été, par le passé, obliger d’en parler
MERCI DE VOUS RELIRE