Rions un peu avec le réchauffement climatique

Les températures mondiales stagnent depuis 15 ans. Une réalité que les zélotes du réchauffement climatique lié à l’activité humaine ont bien du mal à expliquer.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
Refroidissement climatique ? Crédits : pntphoto, Creative Commons

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Rions un peu avec le réchauffement climatique

Publié le 15 avril 2013
- A +

Les températures mondiales stagnent depuis 15 ans. Une réalité que les zélotes du réchauffement climatique lié à l’activité humaine ont bien du mal à expliquer.

Par Stéphane Montabert, depuis la Suisse.

Il y a quelques jours je faisais état de quelques petits soucis dans la théorie controversée du Réchauffement Climatique d’Origine Humaine, notamment le fait que ledit réchauffement était en panne depuis un moment. Crispation, toussotement, voyons-vous-n’y-pensez-pas-madame, la nouvelle était reçue avec un mélange d’incrédulité et d’indignation. Mais petit à petit, l’information fait son trou médiatique pendant que la « science » s’évertue à trouver de nouveaux moyens d’expliquer l’inexplicable.

Décortiquons donc ensemble une petite dépêche de l’AFP apparue sur le portail Romandie.com. Rien qu’avec le titre, le ton est donné :

La hausse du thermomètre fait une pause, pas le dérèglement climatique

Voilà, le thermomètre, tout essoufflé de sa course vers l’ébullition, fait une petite halte. Personnellement, jamais vu un thermomètre faire une pause, mais admettons : pour quoi, vers quoi, combien de temps, la sieste ? Aucune idée. Mais attention, le réchauffement-changement-dérèglement climatique continue, n’allez pas vous croire sorti d’affaire :

La dernière décennie a été la plus chaude jamais enregistrée mais la hausse du thermomètre semble marquer une pause (…) sans toutefois remettre en cause les projections de réchauffement à long terme.

Donc ça va mieux mais tant pis, on est fichus quand même ! Vient ensuite l’inévitable « mise en contexte » de notre petite affaire, convenablement présentée comme il se doit avec d’effrayantes intonations de fin du monde :

La planète vient de vivre, en moyenne, sa décennie la plus chaude depuis le début des relevés de températures en 1880 : la température moyenne mondiale, dopée aux émissions de gaz à effet de serre (GES) d’origine humaine, a grimpé de près d’un degré depuis la fin du XIXe siècle.

Bien entendu, 130 ans d’historique un intervalle absolument risible pour déduire quoi que ce soit à l’échelle des températures terrestres, d’autant plus que si on connait très approximativement celles d’il y a un siècle, et encore, la population humaine de 1880 et son mode de vie n’ont absolument rien à voir avec celle d’aujourd’hui en termes d’émission de gaz. En fait, toute construction théorique impliquant l’homme sans faire exactement coïncider le réchauffement climatique avec le boom de l’activité industrielle mondiale (après la seconde guerre mondiale, en gros) est une escroquerie qui n’a même pas l’apparence de la vraisemblance. Mais peu importe : la théorie est en marche !

Les deux phrases suivantes valent à elles seule leur pesant de CO2 tant elle sont des bijoux « d’information ». Commençons par la première :

Cette réalité du réchauffement global sera confirmée en septembre par le prochain état des lieux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).

Les experts du Giec ne se réunissent pas pour débattre, mais pour confirmer. On imagine la haute tenue des échanges entre des gens tous d’accord entre eux. Mais c’est aussi sans compter avec un détail, une broutille, un tout petit rien, un incident, une bêtise…

Mais elle s’accompagne aujourd’hui d’une petite anomalie : bien que la concentration en CO2 ne cesse de croître dans l’atmosphère, la température moyenne, elle, se stabilise à la surface du globe depuis une dizaine d’années.

Une petite anomalie, soit en gros juste l’exact contraire de la théorie ! Pas de quoi s’énerver ! Pendant la décennie écoulée, où notre civilisation a envoyé dans l’atmosphère environ un quart des émissions de CO2 jamais produites par l’humanité depuis 1750, la température est restée stable.

Le Réchauffement Climatique d’Origine Humaine est K.O. debout.

Bien entendu, les climatologues étant doté d’une incroyable propension à tout expliquer a posteriori, le rétropédalage est en marche. On peut même dire que ça rétropédale dans toutes les directions :

Différentes hypothèses ont été suggérées pour expliquer un tel plateau, mis en avant par ceux qui contestent le réchauffement : éventuelle baisse d’activité solaire, ou encore quantité plus importante dans l’atmosphère d’aérosols d’origine volcanique ou fossile, qui réfléchissent les rayons du soleil. Deux publications récentes tendent elles à attribuer le premier rôle aux océans. (…)

Le soleil se refroidit, la composition atmosphérique et ses effets sont différents de ce qu’on pensait, les océans stockent de la chaleur… Voire, tout en même temps ! Que de champs de recherche défrichés à point nommé pour venir au secours d’une théorie battant de l’aile !

D’ailleurs, le réchauffement est sauf, car même une petite pause de plus de dix ans – une paille – ne remet pas en cause l’édifice théorique. C’est un peu la version réchauffiste du « à long terme, nous sommes tous morts » de Keynes. Le réchauffement doit avoir lieu, il aura lieu :

Plus important, pour les climatologues, ce phénomène ne remet pas en cause les projections à long terme établies par la science. Cela n’a presque aucun sens de parler de pause alors que le concept de climat a toujours été défini sur une période de 30 ans, dit à l’AFP Jean-Pascal van Ypersele, professeur de climatologie à l’Université de Louvain (Belgique). (…)

Qui a décrété que la période de validité devait être de trente ans, et pas dix, ou au contraire cinquante ? Est-ce le onzième commandement rapporté par Moïse du Mont Sinaï ? Ou serait-ce que parce qu’un intervalle plus petit donne aujourd’hui une tendance peu favorable au dogme ?

L’écran de fumée est d’autant plus amusant que, régulièrement, des articles sont publiés faisant état de catastrophes dues au réchauffement sur des intervalles bien plus courts, voire d’une année à l’autre. Mais peu importe, rappelons les tendances lourdes (et de moins en moins vérifiées) :

Au rythme actuel des émission de GES, la planète pourrait se réchauffer de 3 à 5°C d’ici quelques décennies, rappellent les estimations les plus récentes. Et même si le climat s’avérait un peu moins sensible que prévu aux concentrations de CO2, il va rester très difficile de contenir la hausse à 2°C, soit le niveau maximum recommandé par la science pour éviter un emballement du climat, souligne aussi Jean Jouzel.

3 à 5°C, ce n’est jamais qu’une estimation quasiment du simple au double. Et selon un Jean Jouzel accroché à sa théorie comme une palourde à son rocher, il est « très difficile » de contenir la hausse à 2°C – ce, bien que la hausse fasse du sur-place depuis dix ans sans guère d’efforts de la part de l’humanité ! Mais M. Jouzel est aussi vice-président du Giec. La définition du poste implique d’être imperméable aux vents contraires.

Allez, une dernière tranche d’apocalypse pour la route :

D’autant que d’autres indicateurs du dérèglement climatique sont bien loin de marquer une pause, comme la hausse du niveau de la mer, la fonte des glaces arctiques ou les événements météorologiques extrêmes comme les tempêtes ou les sécheresses.

La température n’étant plus un indicateur valable du réchauffement climatique (!) il faut désormais en trouver d’autres, encore moins pertinents. Guettons encore une variation du niveau de la mer qui ne soit pas inférieure au degré d’incertitude de la mesure ; peut-être que d’ici 2100 quelques militants engagés scientifiques parviendront à cette prouesse.

Paré de tous les critères internes de la pseudo-science, la théorie du Réchauffement Climatique d’Origine Humaine continue son petit bonhomme de chemin. J’espère que dans vos chaumières, profitant enfin de ce printemps tardif, vous claquez encore des dents de peur face au Croquemitaine ; il tire son pouvoir de votre culpabilité. Reconnaissons-le, lui et ses alliés de la presse ne ménagent pas leurs efforts face à une réalité de moins en moins coopérative.


Sur le web.

Voir les commentaires (24)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (24)
  • Comment ? Vous riez ? Alors que ce matin encore tous les journaux nous apportent une nouvelle CA-TA-STRO-PHI-QUE : « La fonte des glaces dix fois plus importante que prévu dans l’Antarctique ». Oui, oui, vous lisez bien, dans l’Antarctique, là même où la masse de glace s’accumule ces dernières années. Euh, attendez, il n’y a pas une petite contradiction là ? Meuh non, c’est un phénomène paradoxal typique de la science climatique post-moderne et giecienne. C’est donc CA-TA-STRO-PHI-QUE.

    • Il y a un problème dans votre raisonnement: le changement climatique signifie pour vous fonte des glaces, mais c’est nier la spécificité et le fonctionnement des systèmes glaciaires. Arctique et Antarctique ne sont pas identiques, pourquoi ne pas chercher en quoi ? Ou bien comment les glaciers, les banquises évoluent aux pôles ?

      http://www.nature.com/ngeo/journal/vaop/ncurrent/full/ngeo1767.html

      Si l’on se fie aux cycles d’activité solaire, déjà éprouvés par le passé par le Petit Age Glaciaire par exemple, on devrait « normalement » entrer dans une phase d’optimum climatique… J’ai toujours trouvé étrange de chercher une responsabilité du côté de l’Homme alors que le Soleil est déjà amplement coupable !

      • Philiber Té : « Si l’on se fie aux cycles d’activité solaire, déjà éprouvés par le passé par le Petit Age Glaciaire par exemple, on devrait « normalement » entrer dans une phase d’optimum climatique… »
        ——————————————
        Le cycle solaire 24 actuel a une activité anormalement basse en terme de magnétisme, flux uv, nombre de taches…, comparé aux 3 cycles précédents (les plus intenses depuis 300 ans et coïncidant, comme par hasard, avec l’hystérie réchauffiste).
        Il ressemble au début du minimum de Dalton et cette baisse avait été prédite dès 2000 par Landscheidt à partir de la théorie des barycentres, baisse qui se poursuivrait au delà de 2030. Donc on EST rentré dans une phase de refroidissement semblable à ce qu’avait connu Napoléon à l’époque de la campagne de Russie, moins froid certes que le Petit âge glaciaire mais néanmoins pas très drôle quand même pour l’Humanité et la Nature.
        Je n’appellerai donc pas ça un « optimum climatique » même avec beaucoup d’imagination.

        • Le minimum de Dalton et le refroidissement associé correspondent à une période basse pour le cycle solaire de Wolf, qui possède une cyclicité de 90 ans environ; et qui a également participé au Petit Age Glaciaire avec le cycle de Suess. Si on reprend ces deux cycles principaux, on constate qu’une augmentation de la température aurait dû avoir lieu depuis les années 90. Je partage cette image plutôt simpliste mais qui illustre bien ce que je cherche à exprimer:
          http://www.glaciers-climat.fr/News/cycle_solaire1.gif

    • Hé non Célestin l’ Antarctique ne semble plus vraiment fondre bien au contraire sa calotte glacière s’ agrandi en superficie.

      http://www.tdg.ch/vivre/societe/banquise-s-allonge-antarctique/story/26384453

      D.J

  • Avec les terroristes du GIEC, le plus amusant sera d’écouter leurs pénibles menaces le jour où le taux de CO2 dans l’atmosphère partira à la baisse.

  • Y comprend rien, ce Stéphane, j’te jure !

    Stéphane, pour comprendre (enfin, par « comprendre », je veux dire adhérer…) les réchauffistes, il te faut (et il te suffit) :

    -D’une édition de Nostradamus
    -D’une boule de cristal certifiée aux normes GIEC

    Après, tu pourras faire des articles vachement très sérieux, non mais !

  • Sûr que ça se réchauffe !
    A preuve, tout autour de nous la nature reverdit … :o)

    Bon, lorsque certains osent prétendre d’un JPvYp UCL qu’il s’agit d’un scientifique,
    par ailleurs conseiller souterrain de la mouvance d’écologie politique à-la-belge (…),
    alors là je mériterais vite le titre de docteur en théologie des sciences occultes !

    Bien sûr que tous nos médias corrompus depuis 2007 par les assertions fumeuses d’Al Gore, du GIEC & consorts ne peuvent se dédire. Ils en ont établi une part non négligeable de leur fond de commerce. Alors, chaque année qui passe, les mêmes attendent patiemment le retour de la belle saison pour en tartiner une couche de nature à complaire leurs lecteurs préalablemnt lobotomisés et tous les ignares en attente du dernier scoop auquel ils ne comprennent de toute façon rien ! La bêtise humaine est incommensurable. Avec l’appui de certains parents et enseignants surajoutés au matraquage médiatique, le phénomène se régénère chaque année, sinon à chaque génération …

    • « Sûr que ça se réchauffe !
      A preuve, tout autour de nous la nature reverdit … 😮 ) »

      En effet, le beau temps revient et les pseudo études sur le terrrrrible réchauffement climatique débarquent.

    • « scientifique-conseiller de la mouvance écologiste », c’est un oxymore, comme « honnête escroc » ou « travailleur corse ».

  • « réchauffement-changement-dérèglement climatique ». Tout est dit dans ce glissement sémantique : d’abord réchauffement, puis changement, puis dérèglement.
    A noter aussi, pour les ouïes fines, que les températures sont tantôt au dessus des normales et en dessous des moyennes.
    L’augmentation de la teneur en GES à un effet certains sur certains cerveaux.
    Une autre chose remarquable, l’emballement climatique, la rétroaction positive est une autre façon de présenter le mouvement perpétuel avec rendement supérieur à 1.
    Bref, fumisterie.

  • L’hiver 2011 avait été très sec. C’était un signe du réchauffement ou quel que soit le nom du bazar en question. Prédiction de Madame Soleil: il y aura de plus en plus d’hivers de ce type. L’hiver 2013 a été très humide. Encore un signe du réchauffement. Ces rigolos sont totalement incohérents et ça ne les étouffe même pas. A croire qu’ils souffrent d’un Alzheimer en phase terminale. J’en rirais si tout cet activisme enragé ne conduisait pas à des avalanches de taxes.

  • Beaucoups mettent en avant la fonte continuelle des glaciers et des pôles ( j’ai récemment lu que les bords de l’Antarctique regèlent et s’agrandissent ) pour prouver que la Terre ne cesse de se réchauffer. En oubliant le facteur hivernal qui peut faire pencher la balance dans les moyennes des températures. Il faut savoir que plus il fait froid l’hiver, moins il y a des précipitations de neige.

    Si il neige moins l’hiver et que les été sont plus chaud, il est forcé que les glaciers diminues toujours. Sans pour autant avoir une hausse moyenne des températures globales.

    Certains mettent les récents hivers rigoureux en Europe et en Amérique du nord sur le compte du réchauffement climatique. Leur théorie est que quand les pôles fondent cela refroidi les océans et l’atmosphère avec. N’étant pas climatologue je ne peut évidemment pas prétendre que la théorie est fausse. Par contre j’ai une bonne mémoire. Il y a 10 et 15 ans ans, ces mêmes climatologues nous avaient promis mordicus en affolant la planète entière des hivers de plus en plus doux à cause du réchauffement mais jamais que ce réchauffement pourrait aussi refroidir les hivers. Vérité scientifique ou tour de passe-passe?

    Je doute que cette simple théorie qui refroidis l’eau et les hivers par la fonte des pôles n’était pas encore connu il y a dix ans.

    Si cette théorie est vraie, on peut dire que la nature c’est régler à lui tout seul le thermostat de la Terre pour compenser des hausses globales de température qu’elle soit humaine ou non; contrairement aux états et leur politique anti-Co2 qui coûte des centaines de milliards de dépense et certainement pour des prunes.

    D.J

  • Comme le GIEC ne sait pas expliquer le plateau de T depuis 1997, de 2 choses l’une: soit le GIEC a tout faux, soit un ou des processus inconnus masquent le RC. Je penche pour la première assertion… Mais dans les 2 cas, les modèles numériques sont faux.
    Cas 1: évident.
    Cas 2: les modèles ne connaissent pas ces processus inconnus, donc ils sont faux.
    En bridge, cela s’appelle un squeeze…

  • C’est une blague chinoise, on rit jaune. Décidément un drôle d’humour potache.

  • Tres bonne idée d’avoirs quelques intervenants du monde suisse.
    UDC
    PLR
    Verts liberaux (qui condamnent les subventions au publiques au nucléaire) et ne sont pas « vert pastèques ».

  • Bravo, quelle belle démarche scientifique, vous savez comité de relecture, validation par les pairs…Ce qui est sûr : disparition des espèces, raréfaction des ressources naturelles (pas infinies, hein vous en conviendrez., ne serait-ce que par définition, scientifique , elle !!)), hausse des maladies liées aux différentes pollutions (respiratoires, cancers…) mais tant qu’on peut continuer à trouver des arguments aussi bêtes que le climat et la météo c’est pareil, les océans stockent la chaleur, quand les glaçons fondent dans un verre l’eau ne monte pas… allons-y.. bref pour ceux que ça intéresse et qui ont un peu de temps pour lire : http://www.manicore.com

    • « Les océans stockent la chaleur ». Très juste, et je dirais même plus : la chaleur est stockée dans les océans. Ce n’était pas le cas avant. Et les océans ont pris l’initiative de stocker, un beau jour, de la chaleur. C’est CA-TA-STRO-PHI-QUE.

      Célestin Dupont (avec « t »)

    • usuel étalage d' »arguments » vides et stupides.

      Néanmoins je ne peux que plussoyer la recommandation du site Manicore. C’est un excellent site en terme de chiffrages divers en rapport avec l’énergie. L’auteur est clairement climato-catastrophiste, mais c’est un aspect qu’on peut facilement écarter : la valeur du site ne dépend pas de la validité de cette hypothèse (voire : le site ne fera que gagner en pertinence une fois que sera clair pour tout le monde l’absurdité de l’hypothèse GIEC).

      • P, « la valeur du site ne dépend pas de la validité de cette hypothèse (voire : le site ne fera que gagner en pertinence une fois que sera clair pour tout le monde l’absurdité de l’hypothèse GIEC). » Vous jouez souvent au poker ? 🙂

  • Il défend les intérêts de qui cet informaticien d’extrême droite? 😀 J’adore les mecs qui ne pompent rien à la science et qui brassent du vent. Attention, à cause de l’effet papillon son brassage d’air pourrait amener le refroidissent soudain de la terre… Qui sait?

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

Certains prophètes de l’apocalypse, incluant des politiciens, déclarent que le nucléaire ne serait pas compatible avec le réchauffement climatique car les centrales consommeraient trop d’eau et réchaufferaient exagérément les rivières.

Or c’est faux.

 

Ni consommation, ni réchauffement excessif

Les réacteurs nucléaires eux-mêmes ne consomment pas directement de l’eau.

Les centrales nucléaires (comme toutes les centrales thermiques fonctionnant au gaz, au charbon, ou avec de la biomasse) empruntent, pour l’esse... Poursuivre la lecture

La question du réchauffement climatique souffre d’être confisquée par une écologie politique manichéenne qui clôt le débat plus qu’elle ne l’ouvre. Tel pourrait être le point de départ du dernier livre de Philippe Charlez Les 10 commandements de la transition énergétique, qui entend nous expliquer comment l’innovation technologique peut donner des solutions efficaces pour décarboner notre société.

Plutôt que de se laisser enfermer dans la confrontation taillée sur mesure par les écolos entre « climatosceptiques » et « climato-alarmiste... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles