Face à la résurgence du tout collectif, revenir aux leçons de Jean-François Revel
La crise du Covid-19 s’est accompagnée d’un retour à l’exaltation des valeurs collectivistes au détriment des valeurs individuelles.
La crise du Covid-19 s’est accompagnée d’un retour à l’exaltation des valeurs collectivistes au détriment des valeurs individuelles.
Relire 1984 en temps d'épidémie de Covid-19 incline le lecteur à la tentation de l'appeler dorénavant Covid-1984... en hommage à l'écrivain britannique.
Une tentation totalitaire qui demeure bel et bien, même si le contexte n’est plus le même.
Une bonne gestion comprend une épidémie contenue, une économie prospère et une société harmonieuse. Pour y parvenir nul besoin de coercition. Au contraire il faut respecter la liberté, la propriété et la personnalité.
Le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires montre que les politiciens français sont étatistes. Ils croient en la nécessité d’une autorité centrale pour contrôler les rapports entre les êtres humains.
La campagne soviétique pour remplacer les symboles de Noël est un chapitre culturel intéressant dans l'histoire de ce que Ronald Reagan nommait l'empire du mal.
Le Conseil d’État ou le Conseil constitutionnel réagiront-ils à ce despotisme de moins en moins doux qui s’insinue par tous les pores de notre société ?
Ce qu'il faut craindre, c'est qu'avec le temps les Français finissent par s'habituer à ce que les hommes de l'État agitent la carotte et le bâton pour les faire avancer.
Nous ne vivons plus que pour travailler. Nous ne vivons plus que pour payer notre tribut au Moloch étatique. Métro, boulot, dodo.
Les Français peuvent prendre le métro mais pas aller au ski. Ni en France, ni à l'étranger.
Que de similitudes troublantes avec l’actualité de ce monde-ci dans cet ouvrage écrit bien avant la pandémie.
Initialement, la majorité de la population s’est ralliée à la cause. Deux semaines sont devenues 30 jours, puis 7 mois. Cette politique publique est désormais la nouvelle norme.
OPINION : ce qui a existé un jour, les faits qui se sont produits hier, ne peuvent pas, par pur révisionnisme, devenir autre chose aujourd’hui.
Les décisions politiques et économiques qui sont prises au niveau national et mondial nous emmènent tout droit vers le collectivisme.
L’actuelle pandémie de Covid-19 offre l’opportunité pour l’autoritarisme de se développer. L’argument de la santé fut, quoique sous des formes un peu différentes, un outil terriblement efficace pour détruire la liberté.
Le totalitarisme « nounou » égalitaristo-festif marquera-t-il la fin de l’Histoire ?
"Dès lors qu’on vous impose votre bien, sans vous demander votre avis, dit Diane Ducret, le monde devient invivable. Peut-on faire le mal au nom du bien ? »
par h16 Les derniers suffrages en France, les élections européennes, avaient assez facilement permis de dégager la tendance qui allait s’imposer pour les mois qui…
La transformation fondamentale du message chrétien ne fait qu’étendre aux Églises chrétiennes l’esprit de la révolution conservatrice opérée par Xi Jinping.
Non contente d’être la plus grande prison du monde pour les journalistes, la Chine risque de vouloir étendre ses prisons et ses camps, rebaptisés pour l’occasion « Modèle chinois », à l’ensemble du monde.