Kenya : l’abandon du plafonnement des taux d’intérêt
Le retour à la libéralisation du taux d’intérêt relève du bon sens car elle correspond à la loi naturelle de l’offre et de la demande.
Le retour à la libéralisation du taux d’intérêt relève du bon sens car elle correspond à la loi naturelle de l’offre et de la demande.
Cette fois-ci, c’est la bonne : la crise arrive ! La courbe des taux l'affirme, elle ne se trompe jamais : à chaque fois qu’elle s’inverse, la récession arrive. Puisque tout est déjà écrit, alors la messe est dite. 13 réponses plus ou moins sérieuses.
Le système financier est-il en danger ?
Les taux d’intérêt factices de la Fed ont peut-être requinqué les prix des actions, mais ils n’ont pas entravé le déclin de l’économie réelle ; ils l’ont empiré.
Malgré leur indépendance institutionnelle, les banquiers centraux font face à une ingérence permanente du monde politique, qui a sans doute eu pour effet de retarder cette normalisation, contribuant ainsi paradoxalement au ralentissement du PNB.
En France, la hausse des taux aura des répercussions sur les prix de l’immobilier.
Des taux d’intérêt faibles empêchent les entreprises improductives de faire faillite : ce sont des zombies qui survivent grâce à la dette.
La Fed a supprimé le processus de découverte du prix le plus important de l’économie : le taux d’intérêt. Dès lors, tout est faussé.
La politique monétaire actuelle prépare la crise économique de tous les temps.
La politique de taux d'intérêts ultra bas menée par les banques centrales est inédite depuis 3 000 ans et met gravement en péril nos économies.
L'écart entre les taux allemands et français flirte désormais avec les 1% à cause du risque politique Le Pen - Mélenchon.
À l’heure de l’euphorie sur les marchés financiers, et en ce début d’année 2017, peut-on penser que l’économie française est sortie d’affaire, que « ça va mieux » ?
Le chemin jusqu’à la hausse des taux d’intérêt risque d’être cahoteux. Mais la Fed devrait rester pragmatique et adoucir son discours si les turbulences devenaient trop fortes.
Janet Yellen, présidente de la Fed, pourra-t-elle vraiment augmenter les taux d'intérêts ou est-elle coincée ?
Que se passe-t-il quand les crédits ne sont plus financés par l'épargne ?
Les actions ne sont pas dans la tourmente, malgré les déclarations des médias.
Selon le Wall Street Journal, "les investisseurs ont des attentes limitées pour 2016". Pourquoi ?
Encourager l'endettement et la dépense, cela ne relance pas l'économie.
Petit état des lieux des évolutions récentes en France : tout se dégrade ou stagne.
Vont-ils saliver dès le tintement de la cloche « Quantitative Easing » alors qu’ils n’ont plus grand-chose à se mettre sous la dent ?