Décarboner et relocaliser l’industrie grâce au nucléaire
La filière nucléaire constitue le cœur d’une réindustrialisation des territoires car elle peut produire une électricité décarbonée et bon marché.
La filière nucléaire constitue le cœur d’une réindustrialisation des territoires car elle peut produire une électricité décarbonée et bon marché.
L’appellation « renouvelable » auréole d’une éternité écologique les énergies les moins vertueuses et les moins durables qui soient.
Le coming-out du Président en faveur du nucléaire est remarquable. Mais il cultive un "en même temps" pour les énergies renouvelables, ce qui n'est pas clair.
Vous connaissiez la réglementation thermique 2012, voici la RE 2020. Encore plus absurde !
La fragilité extrême de la production française d'électricité va conduire inexorablement à un programme de restrictions et de rationnement.
Le train hybride fonctionnant à la fois sur des lignes frugales partiellement électrifiées par caténaires et en autonomie sur batteries représente probablement le futur du trafic ferroviaire « zéro émission ».
À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?
"Il n'y aura pas de coupure cet hiver" nous assure-t-on. Mais la réalité des chiffres de notre production d'électricité nous incite à penser le contraire.
Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse.
L’éolien et le photovoltaïque ne sont pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
Une méthode que les politiques affectent particulièrement : celle de fixer un objectif sans définir les moyens techniques et économiques pour l’atteindre.
L’imposition réglementaire des énergies dites renouvelables, mais aléatoires et intermittentes, est absurde. Voici quelques calculs qui le démontrent.
Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Civaux a acquis récemment une notoriété mondiale en se classant deuxième pour la production électrique en 2019.
Si le pétrole devait se raréfier bientôt (ou pas ?…), la noix de coco pourrait être le nouvel eldorado de demain dans certains pays tropicaux.
La France ne doit pas gaspiller ses ressources. Alors pourquoi sacrifier une centrale qui fonctionne très bien, évite un déficit commercial important au pays, et qui plus est permet de rester dans le cadre des accords de Paris au sujet des gaz à effets de serre ?
Notre État détériore notre puissance stratégique par des décisions conscientes. S'agit-il d'un sabotage stratégique ? En tous cas ce sont des décisions dangereuses.
La commission du débat public manipule les Français avec de pseudos débats publics chargés uniquement de donner une caution populaire à des conclusions globalement déjà orientées à l’avance.
La production d’électricité nucléaire du parc actuel est rentable. Son exploitation doit être poursuivie aussi longtemps que possible.
Pour l'instant, les énergies renouvelables ont tué les turbines à gaz. La déconfiture de General Electric a bien d’autres causes, et date de plus longtemps. Mais sa conversion au « Green » pourrait bien lui porter le coup de grâce.
Mieux comprendre comment fonctionne la production d'électricité permet de mieux comprendre les erreurs politiques mises en oeuvre.