En marche vers l’étatisation de l’immobilier parisien
Les interventions de la mairie de Paris nuisent à l’efficience du marché. Surtout elles représentent un coût considérable pour le contribuable.
Les interventions de la mairie de Paris nuisent à l’efficience du marché. Surtout elles représentent un coût considérable pour le contribuable.
Aucune crise passée n’a de point commun avec celle-ci dont le déclencheur est sanitaire et pas économique.
Pourquoi l'immobilier est-il si cher à Paris ?
Malgré des taux bas, à 1,46 % en moyenne, la production de prêts immobiliers flanche de plus de 15 % en un an. Pour acheter, l'emprunteur moyen s'endette désormais sur 224 mois, un plus haut historique.
La hausse des prix de l'immobilier est finie quasiment partout en France. Va-t-on vers une baisse des prix de l'immobilier, lente ou même rapide ?
Les Français changent-ils plus souvent de logement en 2015 qu’avant ?
Pour gagner 150 millions, nos édiles ne se rendent pas compte que cela va leur coûter beaucoup plus cher et que l’affaire va s’avérer désastreuse.
L'effondrement du marché immobilier français est dû au choix politique délibéré visant à valoriser à tout prix le "logement social".
Créons le crédit de droit de mutation afin de favoriser l’utilisation efficiente du parc immobilier et lutter contre le chômage.
Un marché qui s’écroule en volume et qui ne bouge pas en valeur.
Les taux des prêts immobiliers n’ont jamais été si bas, les prix restent stables ou en très légère baisse, les ventes reprennent.
Un marché immobilier surévalué dans une économie chancelante.
La situation du marché de l’immobilier évolue mais le fameux "éclatement de la bulle" que certains prédisent depuis plus d’un an ne pointe toujours pas.
La « crise du logement » ne peut être résolue que par la libération du marché immobilier entravé par les réglementations et la fiscalité. Ce sont les conclusions de la brochure de l’UNPI destinée aux candidats
Plusieurs distorsions massives du marché immobilier par l'Etat entrainent les prix du marché immobilier canadien vers des sommets, avec un très fort risque d'explosion de la bulle.
Des facteurs forts viennent contre-balancer les tendances baissières du marché immobilier, au point que la réalité de sa baisse est discutée.