La cruauté d’État, un autre aspect de la misogynie en Iran
Les informations faisant état de la pendaison du corps sans vie d'une femme accusée d'avoir tué son mari mettent en évidence la cruauté du pouvoir religieux en Iran.
Les informations faisant état de la pendaison du corps sans vie d'une femme accusée d'avoir tué son mari mettent en évidence la cruauté du pouvoir religieux en Iran.
En Iran, une catastrophe se produit dans le silence le plus complet. Pourquoi Khamenei est-il opposé à l'importation de vaccins ?
La pandémie a occulté de très dangereuses tendances qui avaient commencé avant elle et qu’elle a parfois exacerbées.
Alors que les pays du monde entier mettent en œuvre des plans de vaccination de leurs populations pour la Covid-19, l'Iran se distingue par son approche face à la pandémie.
Malgré les conséquences néfastes que la pandémie laisse non seulement en Iran mais dans le monde entier, Khamenei l'a considérée comme « une bénédiction. »
L’opposition iranienne a appelé les instances internationales à prendre des mesures urgentes pour obtenir la libération des manifestants détenus, qui sont soumis à la torture et à des exécutions.
Témoignage d'une rescapée des prisons iraniennes, aujourd'hui militante des droits humains.
En posant les problèmes avec une brutalité certaine et peu diplomatique à Beyrouth, le président français prend un risque.
Les instances internationales et les ONG devraient mettre la pression sur le régime pour protéger sa population et ne pas recourir à des solutions extrêmes.
Le Guide Suprême Ali Khamenei est dans une situation tellement critique qu'il ne peut pas attendre 15 mois de plus pour la fin du mandat de Rohani.
Le régime iranien est en train de prendre en otage la santé du pays à ses propres fins.
Les Iraniens dont le pays est devenu l’épicentre de la pandémie du coronavirus au Moyen-Orient, sont en colère contre la gestion calamiteuse de celle-ci par leurs gouvernants.
Le régime des mollahs abuse de la situation de crise pour s'enrichir ou avoir accès au capital gelé, non pas pour faire face à l'épidémie de Covid-19, mais pour réprimer la population et soutenir ses alliés stratégiques.
La catastrophe en Iran est un problème immédiat et urgent qui n’est pas limité aux frontières iraniennes et qui a déjà touché les pays de la région.
Le 9 mars, le Liban a fait défaut d’une échéance de sa dette en devises de 1,2 milliard de dollars, détenue principalement par les banques libanaises, mais également, à un niveau significatif, par certains fonds spéculatifs.
Force est de constater que la constitution de la république islamique ne laisse aucune place aux libertés individuelles, pas plus qu’aux droits humains.
Les élections et les luttes au sommet du pouvoir ont toujours créé des lacunes dans le régime et préparé le terrain au soulèvement de la population.
Le fait d'avoir tué plus de 1500 personnes lors du soulèvement de la mi-novembre a complètement érodé la confiance entre le peuple et le pouvoir.
Les mollahs iraniens sont attaqués de l’intérieur et de l’extérieur et sur tous les plans. Leur chute est inéluctable.
Le refus de considérer les décideurs d’un État comme interlocuteurs valables sur la scène internationale peut renforcer leur légitimité sur la scène nationale et les inciter à pratiquer une politique au bord de l’abîme.