Les Houthis et l’Iran vont-ils enflammer le Moyen-Orient ?

Le mouvement Houthi n’est nullement le résultat d’une génération spontanée… Décryptage par Gérard Vespierre.

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Les Houthis et l’Iran vont-ils enflammer le Moyen-Orient ?

Publié le 5 février 2024
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Le mouvement yéménite a-t-il l’autonomie et le pouvoir d’amorcer une crise internationale de grande ampleur, ou bien l’Iran est-il le véritable parrain de cette crise ? La priorité consiste à identifier les racines de cette situation, puis le déroulement des attaques récentes en mer Rouge. Enfin, vers quelles perspectives, l’intervention militaire des États-Unis, et diplomatique de la Chine, vont-elles faire évoluer cette situation ?

Le mouvement Houthi n’est nullement le résultat d’une génération spontanée, il est le produit d’un processus historique et d’une rencontre politique contemporaine.

 

Houthis : géographie et histoire

La première spécificité géographique de ce mouvement est de se situer dans la partie extrême sud-ouest de la péninsule arabique, région très montagneuse de l’actuel Yémen. Ses habitants ont été historiquement des guerriers, caractéristique fréquente des populations montagnardes. Vers la fin du premier millénaire, l’Empire perse qui y exerçait son influence, y envoya un religieux afin d’y rétablir la paix. Issu de la branche zaïdite du chiisme, il y répandit ce courant particulier de l’islam chiite. Cette population montagnarde et guerrière se trouva ainsi dotée d’une troisième spécificité, religieuse.

Actuellement leur influence s’exerce sur seulement un quart du territoire du Yémen, celui où se trouve la capitale, Sanaa.

 

Le basculement de 1979

Cette particularité religieuse d’appartenance au courant chiite allait représenter une importance particulière pour les ayatollahs iraniens, chiites, qui prennent le pouvoir à Téhéran en 1979.

La nouvelle stratégie de Téhéran va être dès lors d’utiliser systématiquement, dans tout le Moyen-Orient, majorité (Irak) ou minorités religieuses chiites, au service d’une nouvelle politique iranienne.

C’est dans cette vision stratégique qu’une partie de la famille Houthi, issue de cette région montagneuse et chiite du Yémen, fut invitée à venir vivre en Iran, dans la grande ville religieuse de Qom.

Une quinzaine d’années plus tard, il lui fut proposé de revenir au Yémen. Elle y organisa une montée en puissance politique, et par un jeu d’alliance avec l’ancien président Saleh, prit militairement le pouvoir à Sanaa, à l’automne 2014.

Téhéran mettait ainsi en place un pouvoir politique chiite à la frontière sud de l’Arabie saoudite, son rival sunnite. Elle s’arrogeait aussi indirectement un droit de regard et d’intervention en mer Rouge, comme elle l’a dans le golfe Persique. Elle acquérait ainsi une capacité complète de nuisance sur les deux côtes est, et ouest, de la péninsule Arabique.

 

Le regard iranien vers l’ennemi de l’islam

La stratégie de construction d’un « arc chiite » de Téhéran à Beyrouth en passant par Sanaa, allait être mise au service de l’autre grand objectif de la République islamique d’Iran : la lutte contre Israël.

Dans les années 1970, avant son arrivée au pouvoir, l’Ayatollah Khomeini avait écrit qu’Israël « était l’ennemi de l’islam ». En mai 1979, trois mois après sa prise de pouvoir, il créait le corps des Gardiens de la révolution, et en leur sein, la force Qods (Jérusalem) destinée aux opérations extérieures. Les moyens pour atteindre l’objectif étaient mis immédiatement en place.

En retraçant ainsi toute cette architecture, on constate que l’attaque du 7 octobre est l’aboutissement d’une stratégie patiemment et minutieusement mise en place depuis des dizaines d’années. Cela fut d’ailleurs confirmé par le pouvoir iranien lui-même. Deux jours après l’attaque du Hamas, le conseiller pour les Affaires internationales du Guide suprême, Ali Akbar Velayati (ancien ministre des Affaires Étrangères) a déclaré à la presse iranienne : « Si les États-Unis ont cru, en éliminant le général Soleimani, priver l’Iran de sa capacité d’action extérieure, les évènements récents leur donnent tort ». Par ses paroles, provenant du sommet de l’État, l’Iran a reconnu la paternité des attaques du 7 octobre.

 

Le déclenchement des actions des Houthis

L’analyse de l’intervention des Houthis nécessite de regarder à la fois la carte et le calendrier. Les missiles et drones lancés depuis le Yémen, situé à plus de 2000 km des frontières de l’État hébreu, n’ont pas été mis en œuvre contre Israël, dès les premières heures du 7 octobre. Seuls les mouvements directement au contact du territoire israélien, Hamas, Hezbollah, groupes pro-Iran de Syrie, sont entrés en action. Concernant la chronologie, les premières attaques de navire sont intervenues six semaines après le déclenchement de l’attaque contre Israël, et quatre semaines après l’entrée de l’armée israélienne dans la bande de Gaza.

L’intervention yéménite est donc totalement découplée de l’attaque initiale. Son objectif est lié à l’intervention de Tsahal à Gaza, et vise à forcer Israël à arrêter son opération militaire contre le Hamas. La création d’un désordre dans le trafic maritime mondial a pour but d’amener les pays européens et asiatiques, touchés économiquement par ce désordre, à demander à Israël l’arrêt de son intervention.

 

Les limites du plan iranien

Téhéran demeure l’architecte de cette intervention puisque l’Iran est le seul fournisseur des 160 missiles et drones utilisés à ce jour contre les navires, en mer Rouge et dans le golfe d’Aden.

Cette stratégie de nuisance a certes créé des perturbations, mais ces dernières n’ont pas été suffisantes pour atteindre l’objectif souhaité. Deux interventions sont venues contrarier ce plan, l’une militaire menée par les États-Unis et la Grande-Bretagne, l’autre diplomatique, conduite par la Chine.

L’intervention militaire n’avait pas pour objectif de faire cesser les frappes, mais de les réduire en détruisant simultanément les stocks de missiles et les radars de surveillance maritime. L’intervention de Pékin demandant à Téhéran d’intervenir auprès des Houthis est tout à fait complémentaire.

La Chine s’inquiète de plus en plus de son ralentissement économique intérieur. À ce titre, les exportations revêtent donc une importance encore plus grande. Toute entrave à la circulation maritime vers le marché européen, troisième au classement mondial des exportations chinoises, est donc à proscrire.

 

Que faut-il donc maintenant attendre de cette situation ?

L’Iran ne pourra faire la sourde oreille vis-à-vis de la Chine devenue son premier client pétrolier. Le nombre de missiles lancés depuis le Yémen va donc significativement diminuer, et probablement se concentrer sur des navires militaires, en priorité américains. En effet, d’une certaine façon, un arrêt complet signifierait perdre la face, en se montrant aux ordres de Pékin, tant pour Téhéran que pour les Houthis.

L’arrêt des perturbations en mer Rouge est lié à l’arrêt de l’intervention à Gaza. Si dans les prochaines semaines, voire les prochains jours, une trêve d’une certaine durée se profilait autour de la libération progressive des otages, la circulation maritime vers le canal de Suez devrait retrouver son calme.

Drones et missiles iraniens lancés depuis le Yémen ne seront certainement pas le prélude à un élargissement du conflit au Moyen-Orient. Mais la situation reste instable, surtout après le bombardement d’une base américaine en Jordanie, et l’attente d’une réplique de Washington.

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  • L’Iran est un pays de 90 millions d’habitants. Grosso modo 45 millions de femme persécutées par un régime fasciste religieux n’hésite pas à tuer les jeunes filles qui laissent dépasser une mèche de cheveux de leur voile. Sur les 45 millions d’hommes qui restent, une bonne partie n’approuve pas ces persécutions moyenâgeuses. Les mollahs assoient leurs autorités grâce aux gardiens de la révolution une police de type Gestapiste qui en bon musulman violent les jeunes filles vierges avant de les exécuter pour leur interdire l’entrée au paradis d’Allah. La population n’est tenue que grâce a une répression d’une violence extrême. Tout ça pour dire que l’Iran n’a pas les moyens de s’engager dans une véritable guerre, ils ne survivent qu’en vendant leur pétrole à bas prix(beaucoup moins cher que le prix officiel) à la Chine qui en profite pour continuer à inonder les pays occidentaux avec des biens de consommation très bon marché. Peut-être que si les Américains n’avait pas fait chuter Sadam Hussein, sa guerre avec l’Iran aurait déjà fait, peut-être, disparaître ce régime d’un autre âge. C’est ce régime qui a déclenché les attaques contre Israël pour faire chuter les négociations diplomatiques entre Israël et l’Arabie Saoudite. Les Israéliens/palestiniens sont des victimes collatérales de la lutte sunnite/shiite de domination du Moyen-Orient.

    • les guerres font rarement disparaître les régimes coercitifs (sauf occupation militaire complète comme au Cambodge en 1979, Allemagne/Japon 1945). Je doute que les USA aient les moyens militaires pour faire la même chose en Iran…

      • Tres souvent le problème n est pas militaire mais politique car renverser un régime est a la portée de la puissance américaine mais pour faire quoi ???
        Les récents exemples libyens et irakiens montrent une victoire militaire et une défaite politique….

    • @francois et nous qui avons biberonné Khomeiny….

      • Évidemment puisqu’il était contre un affreux facho de droite : le Shah….
        Les religions monothéistes sont des sectes qui ont réussi et qui tiennent les populations par la peur de la mort en promettant la vie éternelle dans l’au-delà. Toute les religions s’appuient sur se concept. Le socialisme et le communisme promettent les jours radieux pendant la vie terrestre, ce sont aussi des sectes. On a pu voir que lorsqu’elles ce sont appliquées elles ont conduit à la destruction des pays et des vies individuelles parfois sur plusieurs générations au profit d’une petite classe dirigeante corrompue.

    • Oui, mais bon, ne vous laissez pas abuser par les lectures néo-féministes non plus.
      Dans le pays musulmans qui font des sondages, les femmes sont les premières à soutenir l’islam radical, les premières à élever de parfait petit mâles musulmans et les premières à dénoncer les consÅ“urs qui ont envie d’être libres. Les femmes sont très conformistes et dans les régimes moralistes elles votent toujours curés/mollah/macronie.
      .
      D’autre par lequel des 34 régimes musulman n’est pas « d’un autre âge » !?

      • Les iraniennes soutiennent l islam politique ( 537 morts en 2023 dans les violentes manifestations contre le port du voile ) ????……🤣🤣🤣
        Les femmes conformistes ???
        Merci pour tous ces vieux poncifs
        Quelle misogynie !!!!

        -3
        • Si on se ramasse une insulte de Doda, c’est qu’on a écrit une vérité qui dérange…

        • @Doda, comme d’habitude vous ne savez rien sur rien et avez trop écouté Libération qui a transformé une révolte complexe en « combat néo-féministe ».
          Que vous le vouliez ou nom, l’islam radical est une tendance politique stable qui est aussi soutenue par les femmes. Croire que de tels régimes se maintiennent contre 50% de la population est une idée puérile, bien dans l’air du temps.

          • Les régimes autocratique sont soutenus par une minorité de la population soit environs 15 a 20 % qui tirent avantage de cette dictature grâce à la corruption, a la distribution de prebendes……tous les autres subissent sous la violence de la répression…..

  • La géopolitique sur contrepoints, c’est vraiment le top..

  • Ce sont donc encore des adeptes de la religion de paix et d’amour qui fo.tent le b.rdel. Qu’on les appelle « rohingyas », « ouïghours » ou « rebelles », ce sont toujours les mêmes qui se posent en victimes après avoir tenté de modifier le mode de vie des pays dans lesquels ils s’installent. Ils veulent conquérir le monde et grâce à nos bénis-oui-oui européens, c’est bien parti pour réussir en Europe. Je n’arrive pas à comprendre comment on peut les laisser faire quand on voit la vie en Iran ou en Afghanistan !

    • Les rohingyas en Birmanie et les ouïghours en chine sont des minorités musulmanes persécutées par la junte militaire et le PCC
      Alors que les proxy chiites de l iran sont tous au moyen Orient avec de très fortes capacités de nuisances

      • Pauvres minorités musulmanes. Mais bien pire est la situation des chrétiens d’Orient, dont on n’entend jamais parler et pour laquelle absolument personne n’est condamné car victimes de ce que sait faire la minorité musulmane lorsque devient majoritaire. Situation à éviter absolument.

      • @Doda
        Vous « oubliez » de dire que les rohingyas et les ouïghours ont « un peu » massacrés leurs voisins au nom de la grandeur du très haut. Ça ne justifie pas les exactions, mais ça pourrait être une explication.
        D’autre part, on s’interroge sur cette appétence des « humanistes » de gauche pour ce que la planète a engendré de pire comme idéologie (à part la gauche bien entendu) à savoir l’islam.
        Les chrétiens sont de très loin la communauté religieuse la plus persécutée de la planète et on n’en entend jamais parler. Peut-être parce qu’ils ne décapitent personne, ne pratiquent pas le terrorisme de masse et l’esclavage ?

    • Le Turkestan oriental n’a pas été envahi par les Uyghurs mais par la Chine qui l’a rebaptisé Xinjiang (nouvelle frontière) et tente d’y imposer sa théocratie communiste.
      Affinez vos préjugés!

      -1
      • Il vaut bien mieux la théocratie communiste à la charia.
        Désolée d’avoir des « préjugés » liés à ce que je vis auprès des musulmans importés en France.

      • Vae victis !
        Il y en a marre de soutenir ceux qui ont perdu, alors que s’ils avaient gagné ils se seraient montrés bien cruels envers leurs victimes, comme ils l’ont montré au cours de l’histoire.

        • Certes c’est plus rentable de soutenir ceux qui gagnent et sont bien cruels envers leurs ennemis, comme ils l’ont montré tout au long de leur histoire …
          Courage, fuyons!

          -1
      • Le Xinjiang n’a pas été « envahie par la chine » pour la bonne raison que ces peuples se mélangent depuis des siècles, la chine sera même un empire mandchou/mongol suivant les périodes et les islamistes sont arrivés sur le tard dans la région.
        Le seul préjugé ici c’est l’inévitable islamo-gauchisme.

        • Le Xinjiang est peuplé de turcophones qui ne se reconnaissent pas dans la culture han…….les ouïghours subissent des tortures récurrentes dans les centres de rééducation du charmant camarade Xi.
          Vous êtes un fervent apôtre du communisme……..😅😅😅

          -1
    • Welcome back Lauranne, vous nous aviez manqué.

  • Les responsables de toutes ces problèmes se sont les divers gouvernements et presidents Français, Khomeini, les brigades rouges etc… ensuite comme d’habitude on appelle les USA au secours

  • Il ne faut pas oublier que si l’iran est une puissance comme aujourd’hui s est bien à cause des politiques menées par les occidentaux.
    La France par exemple qui a signé (Jacques Chirac alors premier ‘ministre) les premières ventes de centrales nucléaires en 1974 (contrat Eurodif,ect…)
    1979 la France a affrété un avion pour le retour de Khomeiny.

    • C’est inexact, la France n’a pas vendu de centrale nucléaire à l’Iran, les premiers réacteurs prototypes ont été installés par les américains du temps du shah puis l’appel d’offres pour la construction de deux tranches de 1000MW sur le site de Bushehr a été remporté par la firme allemande KWU devenue Siemens en 1975. En raison des soubresauts politiques ultérieurs ces centrales n’ont jamais été terminées par KWU mais les russes ont installé un réacteur VVER 1000 dans les bâtiments existants de la plus avancée des deux tranches.
      L’Iran a bien racheté en 1975 du temps du shah la part de la Suède dans Eurodif (10%) après le désistement de cette dernière. L’investissement iranien se montait à environ 1,2 Md de dollars et donnait le droit à l’Iran de bénéficier de 10% de la production d’Eurodif. Après 1979, donc sous la présidence Giscard la France a refusé de livrer de l’uranium enrichi à l’Iran. En 1995 sous Mitterrand le contentieux a été soldé, la France remboursant une somme tenue secrète à l’Iran.
      Donc si on résume le programme nucléaire iranien ne doit rien à la France.

      • @Raoul volfoni
        Je me permets de vous signaler que je me base sur wikipédia pour l écrit de mon billet.
        Par exemple wikipédia situe les 10% de session en 1974 et non en 1075.
        Autre exemple il précise bien que M D’ornano Michel , ministre de l’ industrie et de l recherche a signé le 18 novembre 1974 pour ventes de centrales et d’équipements à Téhéran.
        Soit wikipédia publié de fausses informations,soit vos informations sont erronées.
        Et si vous avez raison vous pouvez corriger wikipédia .
        Et publier vos sources.
        Amicalement.

        • Les infos Bushehr viennent de mon expérience personnelle, j’ai travaillé avec KWU (Offenbach à côté de Francfort) pour un simulateur de formation des opérateurs, projet évidemment avorté par la suite. KWU s’est retiré en 1979 après 4 ans de travaux (menés avec Thyssen-Krupp) et le plus avancé des réacteurs a été terminé par les Russes en 2009.
          Quant à Eurodif après vérification l’offre de prêt de 1 Md $ (avec une petite rallonge ultérieure) a bien été signée comme vous le dites en 74, le 24 décembre pour être précis, en disant 75 je n’étais pas si loin.
          L’accord d’Ornano envisageait bien la construction de réacteurs sur le site de Karoun mais il n’y a pas eu le début d’un commencement d’exécution de ce projet, le seul résultat concret a été le développement avec l’aide de Tecnicatome d’un petit centre de recherche à Ispahan.
          Au moment de la révolution islamique toutes les coopérations ont été gelées et les livraisons d’uranium enrichi n’ont pas eu lieu.
          Je maintiens donc que la France n’a joué aucun rôle actif dans le programme nucléaire iranien.

          • @Raoul Volfoni
            En 1998 Jacques Chirac signé un accord avec les Iraniens pour le remboursement de la dette,la relation diplomatique entre les deux pays et la cessation des 10% de l uranium enrichi produit par Eurodif.
            Référence Fabrice Tessel sur libération.fr le 19 février 2002.
            De plus le site de Tricastin en 2009 était toujours détenu par Téhéran.
            Je pense que la France a participé au programme nucléaire de l Iran même
            à minima mais elle a participé.

        • @Tiberle
          Wokipedia publier de fausses information (ou ne pas donner tous les éléments) sur des sujets politisés ?
          Impossible, Il aurait fallu que les activistes de gauche s’en emparent et on aurait eu le créateur de wikipedia et d’autres personnes qui dénonceraient cet activisme, voir qui dénonceraient l’intervention sourcée d’agences gouvernementale corrompues.

  • Juste après la guerre la première préoccupation des alliés fut la dénazification. Or une telle démarche n’a pas été entreprise dans les pays musulmans sous contrôle Occidental comme l’Irak ou l’Afghanistan visant à les désislamiser. Comment sortir de l’obscurantisme des masses immenses, est une question fondamentale pour l’avenir de la civilisation Occidentale.

    • Ça a raté en occident, les nazis occupaient toujours les plus hautes fonctions après la guerre et le socialisme est actuellement l’idéologie qui a tous les pouvoirs. Elle a changé quelques modalités, c’est l’homme blanc, voir le chrétien qui est maintenant l’ennemi dans son propre pays, mais les gauchistes sont toujours aussi haineux et toujours aussi toxiques.

      • @Guillaume P
        Vous avez entièrement raison voilà quelques personnages Albert Speer, favoris d’Hitler
        ministre de la production du Reich auteur de best sellers qualifié par le wall street journal »comme le nouveau st Augustin »
        Et que dire de Kurt Waldheim secrétaire de l’ONU qui a caché son passé nazi.
        La liste est longue.
        Source Revue de la défense nationale.

        • Un pays ne peut pas vivre de purges répétées après une guerre
          Il faut savoir réintroduire une concorde nationale sinon on tombe dans le ressentiment perpétuel
          C est ce qu a très bien compris le GdG qui n a pas hésité à recycler des seconds couteaux de vichy comme d ailleurs les allemands avec succès

          -1

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