Pourquoi le président Roosevelt n’a-t-il fait qu’aggraver la crise de 1929 ?
1929, 2007 : les points communs intéressants entres les deux crises.
1929, 2007 : les points communs intéressants entres les deux crises.
Dans La descente aux enfers de la finance, Georges Ugeux remonte aux tenants et aboutissants de la crise financière de 2008 pour noter que pas grand-chose n’a changé dans l’univers de la finance.
Pour la majorité, c’est une affaire entendue, la crise financière de 2007-08 qui a secoué le monde est due au dysfonctionnement du marché des subprimes aux États-Unis. C’est vrai mais insuffisant.
Il y a dix ans la banque Lehman Brothers faisait faillite. L'occasion de revenir sur la crise. Et de constater qu'on mène toujours le même type de politique monétaire depuis.
C’est à tort que les crises actuelles sont dites « crises du capitalisme ». En fait nous faisons face à la crise d’un modèle d’organisation étatique qui ne parvient pas à s’adapter à l’évolution du monde. Explications.
Nous pensons être à la fin du cycle économique selon l’économie autrichienne. Dans ce cas, la gueule de bois qui suit l’abondance de liquidités est pour bientôt.
Loin d’être une solution miracle, le Glass-Steagall Act, qui prévoit la séparation entre banques de dépôt et d'investissement, ne préviendrait en rien les risques de panique bancaire et financière.
Les parents ou les psys qui s’inquiètent de la prolifération d’enfants-roi devraient jeter un œil sur le monde de la finance. Ils verront ce qui arrive, à long terme, quand on gâte et pourrit ces grands bébés.
Il serait réducteur de dire que les banquiers ont provoqué la crise de 2008. Si ceux-ci ont évidemment prêté à des ménages insolvables et joué au casino sur la valeur de SPVs qu’ils étaient incapables de valoriser, ils ont bien été poussés au crime par l’État.
La prochaine crise financière majeure pourrait coûter jusqu’à 40 fois ce que la crise des subprimes a fait perdre à l’économie mondiale.
Comment expliquer cette épidémie de taux négatifs ? Quelle en est la signification ? Que faut-il en attendre ? Telle est la seule et véritable question qui aujourd'hui interpelle les économistes du monde entier.
Représentant à fin 2014 quelque 80 000 milliards de dollars, sur un total de 200 000 milliards d'endettement au niveau mondial, la finance de l'ombre a pris le contrôle dans le sens qu'elle empêche la remontée des taux d'intérêts.
La crise immobilière de 2008 fut celle de l'intervention publique, et c'est le marché qui a permis d'assainir la situation.
Le tabou concernant la restructuration des dettes souveraines est à l'origine des pires erreurs économiques récentes.
Taux négatifs : comment expliquer ce phénomène et quels sont les risques ?
La crise de 2007-2008 n'a pas eu l'ampleur de celle de 1929, alors qu'elle a répété les mêmes erreurs.
La France a joué et la France perdra. Elle a joué avec le shadow banking tandis qu’il était essentiel de prévoir et de réguler.
Êtes-vous prêt pour une réforme en profondeur du système ou attendez-vous son effondrement ?
La réduction des dépenses publiques plutôt que l’augmentation des déficits publics est susceptible de stimuler l’économie.
Qu’est-il arrivé dans le monde de l’argent tandis que nous suivions les traces d’Ulysse ?