Gilets jaunes : la sortie de crise n'est pas pour demain
Le mouvement des Gilets jaunes ne prendra fin qu'au prix de réformes libérales clairement expliquées à la population. Dit autrement, la sortie de crise n'est pas pour demain.
Le mouvement des Gilets jaunes ne prendra fin qu'au prix de réformes libérales clairement expliquées à la population. Dit autrement, la sortie de crise n'est pas pour demain.
Sur l’esplanade des Invalides mardi dernier, il était un peu question de critiquer la loi Travail. Il était surtout question d’en découdre avec la police.
Avec ses raffineries bloquées, ses mouvements de grève et ses journées d’action prévues contre la loi Travail, la France de François Hollande est tout sauf apaisée, ce qui devrait l'inquiéter à moins d'un an des présidentielles.
Casseurs à Rennes, Paris, Nantes, manifs qui dégénèrent... L'État utilise-t-il à son profit le chaos social pour se maintenir ?
Violence symbolique, de l'État, de la police, etc. On a entendu beaucoup parler de violence cette semaine au risque de banaliser l'utilisation d'un mot qui a pourtant un sens précis.
Les Français les plus égaux sont les casseurs ; naguère on les appelait des hors-la-loi, aujourd’hui ils dictent leur loi.