Fonction publique : ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas
Les consultants n’apparaissent ni dans les effectifs de la fonction publique ni dans la masse salariale. Ils pèsent pourtant très lourd.
Les consultants n’apparaissent ni dans les effectifs de la fonction publique ni dans la masse salariale. Ils pèsent pourtant très lourd.
On comprend très bien pourquoi la haute fonction publique est arc-boutée contre toute politique de maîtrise et de réduction de la dépense publique.
Le fonctionnaire existe ailleurs qu'en France. Mais ailleurs, son statut a été considérablement modifié, voire abrogé.
« J’aime les taxes, parce qu’elles me payent. » C’est ce qu’avait le culot de me dire un ami fonctionnaire il y a 3 mois… c’était avant les Gilets jaunes, bien sûr.
Si les impôts sont le prix et les services publics la prestation, force est de constater que les Français ne semblent pas convaincus.
Les salaires et les primes inexpliquées à l'Assemblée nationale : un récit édifiant !
C'est la beauté de la fonction publique : une faute n'est pas sanctionnée, elle est même récompensée...
Ouf ! La Poste ne sera pas privatisée ! Un billet d'humour qui explique à quoi nous avons échappé.
L’administration est responsable de l’immobilisme économique et politique du pays.
Une commission d’enquête parlementaire sur les "mutations de la haute fonction publique et leurs conséquences sur le fonctionnement des institutions de la République" va être lancée au Sénat. Va-t-elle permettre la réforme nécessaire ?
Le gouvernement ouvrait cette semaine la concertation avec les fonctionnaires sur la réforme de la fonction publique, dans un climat de conflit et de forte hausse des dépenses.
Si l’on se réfère à sa population, la France compte 158.000 fonctionnaires de trop, hors contrats aidés. Le plus inquiétant reste cependant le taux fonctionnarisation des agents.
Lors du vote du dernier budget, le gouvernement n'avait finalement supprimé que 1 600 postes de fonctionnaires au lieu des 10 000 prévus pour l'année 2018…
Nous sommes un pays où l’emploi public ne cesse de progresser, alors même que son importance excessive pose déjà problème. La France se soigne non avec des remèdes, mais avec le poison lui-même.
Le despotisme éclairé de la technocratie au pouvoir est-il en mesure de réussir ?
50 000 suppressions de postes promis par Macron sur 5 ans, ce n’est vraiment pas beaucoup : cela représente tout juste 2,09 % de l’ensemble des effectifs de la fonction publique d’État. Cela ne peut être qu'une première étape pour une réforme plus grande.
En matière de rémunération, les fonctionnaires savent faire valoir leurs droits. De coup de pouce en petit geste, on en vient à donner des coups de poing dans le budget de l’État et donc, faut-il le rappeler, dans les revenus et patrimoines des Français.
La fonction publique est en grève aujourd’hui pour dénoncer les « attaques » dont elle serait l’objet de la part du gouvernement. Aucun des motifs invoqués ne tient la route. On regrette que personne au gouvernement ne l’explique clairement.
En annonçant que la journée de carence va être rétablie pour les fonctions publiques, le gouvernement d’Édouard Philippe répond aux revendications des Français sur l'égalité entre secteur public et secteur privé.
Selon les dernières informations transmises, le droit à l’erreur devrait être intégré dans le projet de loi « relatif à la transformation des relations entre l’administration et le public » : s'agit-il d'une révolution des relations entre administration et usagers ?