Universités fermées, 19 degrés chez vous : crise sanitaire, la répétition générale ?

À quel point la crise sanitaire a-t-elle embarqué les Français sur la route de la servitude ?

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Universités fermées, 19 degrés chez vous : crise sanitaire, la répétition générale ?

Publié le 29 septembre 2022
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Il y a quelques jours, on apprenait que l’université de Strasbourg décidait de fermer ses portes aux étudiants pendant deux semaines supplémentaires cet hiver, par souci d’économie. Le président de l’université à en effet précisé qu’il s’agirait d’« une troisième semaine de congés de Noël début janvier et [d’]une semaine complète de cours en distanciel en février ».

Pendant que l’éducation est une fois encore reléguée au second plan, Élisabeth Borne nous apprend à gérer notre consommation énergétique : « La règle, c’est de chauffer à 19 degrés ». Elle a également ajouté pour notre compréhension :  « S’il fait 15 degrés, naturellement, on peut allumer le chauffage ». Vous croyiez que la règle, c’était de faire ce qui vous semble bon sous votre propre toit pourvu que les factures soient payées ? Détrompez-vous.

On se demanderait quelle mouche les a piqués, on remettrait bien leurs décisions et paroles en question, mais tout cela nous est-il vraiment inconnu ? Ce n’est pas comme si nous n’avions pas déjà été confrontés aux fermetures intempestives, au gouvernement qui vient mettre le nez sous notre propre toit.

 

La crise sanitaire, une simple répétition ?

À quel point la crise sanitaire a-t-elle embarqué les Français sur la route de la servitude ? À quel point sommes-nous prêts à encaisser à nouveau sanctions et restrictions, sous prétexte cette fois de crise énergétique ? Avons-nous bien fait nos devoirs pendant deux ans ? Sommes-nous prêts pour l’escalade ?

Même sans décisions officielles à ce sujet, d’autres établissements scolaires pourraient suivre l’université de Strasbourg au nom de la sobriété énergétique. Une décision pourtant gravissime, dans un contexte où le niveau de l’éducation française laisse clairement à désirer, et après plus de deux de prise en otage des étudiants. Pourtant, cette information n’a pas fait réagir comme elle aurait pu. En temps de crise, qu’elle soit énergétique, sanitaire, économique, on ne semble pas se poser la question de l’importance d’un apprentissage de qualité.

Quand Élisabeth Borne parle de « règle » de chauffage chez les particuliers, là non plus, il n’y a pas vraiment de réactions outrées ou révoltées. Après tout, si les dirigeants montrent l’exemple en portant un pull à col roulé, pourquoi ne pourriez-vous pas le faire chez vous ?

Des enfants en bas âge à la maison ? Des personnes âgées ? Sortez-les doudounes ! Après tout, les Français ont pris l’habitude d’obéir aux règles, peu importe qu’elles soient sensées, justifiées ou acceptables : ne sortez pas de chez vous, portez un masque en extérieur, ne vous rassemblez pas en famille, ne chantez pas, ne fumez pas…

Ainsi, selon un sondage OpinionWay, 71 % des Français seraient prêts à baisser le chauffage chez eux en réponse à la crise énergétique : « plus de 80 % d’entre eux sont ainsi favorables à la limitation du chauffage à 19 °C dans les bâtiments publics et les entreprises lorsque 71 % des interrogés se disent même prêts à faire pareil chez eux ».

Le sondage précise que « 57 % est favorable à la limitation temporaire de l’approvisionnement en énergie de certaines entreprises aux heures de pic de consommation. Appliquée aux foyers, cette dernière mesure rassemble 40 % ». Chacun y met du sien pour « éviter les coupures » nous dit-on. Est-ce aux Français d’y mettre du leur pour ne pas payer le prix des décisions écolo-politiques de leurs dirigeants européens ? Après tout, ils ont accepté de payer le prix des restrictions sanitaires imposées par le gouvernement.

Bien sûr, en ce qui concerne la gestion de la crise énergétique, le gouvernement se veut rassurant : il est question de « convaincre plutôt que contraindre ». Cela ne vous rappelle pas une certaine gestion de la crise covid ? « L’idée est plutôt d’accompagner les foyers », a assuré le ministère de la Transition écologique. Laissez donc l’État vous prendre par la main encore une fois. À force d’incitations et de discours alarmistes, on ne peut que se poser la question : doit-on s’attendre à de nouvelles sanctions au nom de la crise énergétique ?

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  • Bonjour, en ce qui me concerne je n’écoute plus du tout ces clowns et leurs pitreries…non, ce qui m’embête profondément c’est de voir mes impôts partir dans ce genre de discours qui prend les gens pour des demeurés. Mais, au fait, n’est ce pas la même qui voulait faire de notre Pays une nation-vélo ?😹

  • les riches qui donnent des leçons de pauvreté..

    comme si les pauvres n’etait pas OBLIGES de baisser quelque chose..

    ils n’ont pas le droit de choisir…c’est le chauffage pas les vacances..pas le pif, pas le téléphone..
    alors ça n’entre pas dans la définition de la dépense « contrainte »…mais est ce que ça ne devrait pas?

  • Comme quoi les « complotistes » avaient raison d’être inquiets !
    Le col roulé de Nono, la doudoune de Zabeth, l’étendoir du gendre idéal… Nous attendons la suite avec impatience.
    En ce qui concerne le sèche-linge de Le Gendre, il faudrait faire un calcul que je ne sais pas faire mais je ne suis pas certain qu’il soit plus économique d’étendre son linge à l’intérieur quand il fait froid. En effet, pour sécher du linge il faut transformer l’eau liquide en vapeur d’eau. Si on étend son linge humide sur un étendoir, la température de la pièce baissera car l’évaporation de l’eau « pompe des calories ». Pour compenser cette baisse de température, la régulation compensera par une surconsommation du chauffage.
    J’attends avec impatience un calcul argumenté de l’ADEME pour savoir si je dois mettre mon linge au sèche-linge ou sur un étendoir.

  • Effectivement impressionnant de voir que les français ne sont pas choqués de l’intrusion du gouvernement dans l’intimité de leur vie…

    • Et bien, pour ma part, je suis très choquée par ces propos débilitants de nos gouvernants. Je pense, ou du moins j’espère, que les Français sont suffisamment adultes pour savoir comment se comporter sans avoir besoin de recommandations complètement infantilisantes en cas de temps froid ! Idem concernant d’autres domaines de la vie en société ou chez soi.

  • La servitude a commencé avec l’acceptation des radars routiers
    Ces radars ne cessent de nous fliquer davantage et il a été prouvé statistiquement par des corrélations mathématiques qu’ils n’ont servi strictement à rien dans la diminution des accidents.
    La servitude a continué avec l’acceptation de toutes les lois liberticides dont je ne ferai pas la liste
    Enfin le contrôle général des medias subventionnés (qui explique l’existence de sites comme Contrepoints)
    plus l’interdiction de soulever nombre de sujets achèvent le tableau.

  • Au risque d’être à contre-courant des opinions exprimées dans l’article et les commentaires, je ne suis pas choqué par la recommandation de baisser le chauffage des logements individuels… quand cela est raisonnablement possible (la présence de personnes fragiles, comme des bébés ou des personnes âgées, pose évidemment un problème).
    En effet, nous sommes dans une situation difficile et je préfère que les particuliers – moi le premier – baissent le chauffage à domicile plutôt que des entreprises, seules réelles productrices de richesse, subissent des coupures, délestages ou autres mesures néfastes pour leur activité. Nous sommes malheureusement dans l’urgence et toute mesure efficace – fût-elle injuste ou désagréable – doit être prise.
    Mais cela ne doit surtout pas faire oublier les raisons de ce désastre ni pardonner aux coupables qu’il est facile d’identifier.

    En effet, on doit évidemment rappeler que cette situation de pénurie est essentiellement due à 2 séries d’énormes erreurs :

    1) Les mesures inspirées par les escrologistes soutenus par leurs complices en France (M. Macron) et à l’étranger (essentiellement l’UE télécommandée par l’Allemagne), en particulier :
    – la politique antinucléaire fondée sur des émotions et non sur une analyse compétente et honnête de la situation ; en découle notamment le grave affaiblissement de notre industrie électronucléaire : fermeture de Fessenheim, désinvestissement massif concernant l’entretien et la construction de réacteurs mais aussi la recherche visant à mettre au point des réacteurs de nouvelle génération bien plus performants, ce que font d’autres pays en-dehors de l’UE, etc. ;
    – le gaspillage démentiel (et qui continue : nième application du tristement célèbre « en même temps » de M. Macron) de dizaines de milliards d’euros dans les énergies intermittentes, lesquelles cumulent tous les défauts :
    . hors de prix à produire,
    . nécessitant la construction de centrales (au gaz, au charbon ou au lignite) de même puissance pour relayer éolien et solaire lorsqu’ils ne fonctionnent pas, ce qui est fréquent (absence de vent, nuit, etc.)
    . polluantes : extraction des métaux et terres rares dans des conditions écologiquement catastrophiques, rejets (notamment de soufre) par les centrales « « de secours » (gaz et, surtout, charbon et lignite), dégradation des conditions de vie des populations vivant à proximité des éoliennes, défiguration du cadre bâti par les panneaux solaires et non bâti par les éoliennes, etc.
    – le refus d’exploiter et même de prospecter les gisements de gaz de schiste, lesquels existent aussi en France métropolitaine, si dépourvue de ressources énergétiques.
    En l’espèce, ces soi-disant politiques incarnées par la « transition énergétique » entraînent une augmentation importante de la consommation de gaz, donc une forte augmentation de son prix et, par conséquent, du prix des autres sources d’énergie.
    Enfin, on ne doit pas oublier que, en-dehors des illuminés escrologistes qui sont incapables de raisonner, d’autres responsables de ces décisions erronées les ont prises en toute connaissance de cause parce que donnant cyniquement la priorité à d’autres critères :
    – M. Macron veut, plus que jamais, se concilier les faveurs de l’électorat escrologiste dans la perspective de nouvelles élections législatives peut-être dès 2023, tant l’absence actuelle de majorité lui complique la tâche ;
    – l’Allemagne veut anéantir un des rares avantages compétitifs de la France par rapport à elle, à savoir son secteur électronucléaire qui produit de l’électricité pour un coût bien inférieur aux centrales à énergie allemandes : astucieusement, les Allemands ont su noyauter l’UE et travaillent ainsi à imposer à la France des mesures désastreuses pour l’économie de notre pays.

    2) À cet ensemble de décisions catastrophiques s’ajoute l’effet des politiques stupides vis-à-vis de la Russie, notamment :
    . l’absence de réaction face aux violations continue par les différents gouvernements ukrainiens des accords de Minsk qui visaient à tenter de régler les conflits dans le Donbass et dont la France et l’Allemagne étaient des parties prenantes importantes,
    . l’absence de réaction face aux meurtriers combats dans le Donbass depuis 2015,
    . sans compter l’obstination à nier le caractère incontestablement russe de la Crimée.

    Les pays européens contribuent à tirer les marrons du feu au profit de l’empire étasunien dont l’objectif depuis la fin de l’URSS est d’affaiblir la Russie. Maintenant, tout est envenimé, la Russie réagit avec une grande brutalité [mais pas plus que les Séoudiens au Yémen ou les Chinois vis-à-vis des Tibétains ou des Ouïgours]… et les Européens – ainsi que les pays les plus pauvres des autres continents – subissent de plein fouet la baisse, voire la cessation, des exportations de gaz russe vers les pays d’Europe centrale et de l’ouest.

    La plupart des responsables de cette crise énergétique sont donc identifiables et doivent être sanctionnés, en commençant par voter contre M. Macron, les escrologistes et les européistes.

    • Bonjour, vous dites des vérités que d’aucuns esquivent par confort, c’est appréciable.
      Néanmoins, je vous rappelle que la température conseillée dans les bâtiments publics comme dans les logements particuliers depuis longtemps est de 19°C…! mais bien entendu, pour l’exemple vous pouvez aisément vous promener en tenue légère dans les mairies (en tout cas, celle que je fréquente) et les plateaux TV sont bien loin de l’appliquer (tout comme la « sobriété » d’énergie électrique d’ailleurs).
      M’enfin, faut bien culpabiliser le peuple pour cacher ses propres incompétences.

    • Moi aussi, animé par le désir de la contradiction et la sincérité de l’honnête homme, je dois rappeler – bien qu’il m’en coûte – que nos célèbres escrologistes ne sont pour rien dans les petits soucis de corrosion sous contrainte découverts récemment dans nos centrales nucléaires. Une quizaine de réacteurs concernés.
      Gageons qu’après avoir joué à se faire peur, la situation devrait se normaliser pour le coeur de l’hiver. Promesse d’EDF.
      Notre vrai et seul souci vient du gaz. A l’origine de 10 % de notre électricité. A quoi ça tient notre petit confort !
      Si la perspective d’un 19°C – la norme depuis 40 ans – ne me remue même pas la première des deux, elle s’embellit d’un réel enthousiasme à Ecr.l’inf. Poutine. A mon modeste niveau.

      -1
      • @Abon Neabcent
        1) Toute installation industrielle, surtout si elle est complexe comme une centrale nucléaire, peut subir des problèmes, comme c’est le cas dans certaines de nos centrales. Mais :
        – d’une part, certaines de ces difficultés sont dues à un sous-investissement systématique depuis des années dont les escrologistes sont responsables en raison de leur fanatisme antinucléaire irrationnel qui les a incité à multiplier pressions et actions en ce sens ;
        – d’autre part, les dysfonctionnements qui ont affecté le niveau de production d’électricité d’origine électronucléaire ont des conséquences préoccupantes parce que :
        . sous la pression des escrologistes qui ont chèrement négocié leur soutien électoral au minable prédécesseur de M. Macron, la décision aberrante de fermer la centrale de Fessenheim a été prise ; et toujours sous la pression des escrologistes dont M. Macron cherche le soutien, ce dernier a commis l’impardonnable erreur de tenir l’engagement de son prédécesseur alors que rien ne l’y obligeait ;
        . surtout, le gel de la construction de réacteurs supplémentaires et les énormes retards dans la mise au point de réacteurs de nouvelle génération (point crucial sur lequel la France se fait dépasser par ses concurrents) sont notamment dus aux manœuvres et pressions agressives et constantes des escrologistes, lesquels, entre autres mensonges impardonnables, n’ont pas hésité à affoler les citoyens en laissant entendre que ce qui s’est passé à Tchernobyl et à Fukushima [qui n’était pas un accident nucléaire mais un dégât dû à une cause externe, à savoir un tsunami] risquait de survenir en France alors que ces accidents sont d’une nature et d’une origine qui n’ont rien à voir avec le contexte de l’industrie électronucléaire française ; amalgames douteux, mensonges, rejet de toute réflexion technique et scientifique rationnelles au profit d’émotions primaires et irrationnelees, le terrorisme obscurantiste constitue l’outil privilégié et, hélas, redoutablement efficace de la secte escrologiste qui n’a pas oublié certains procédés de l’extrême-gauche, ô détestables pastèques !
        Alors, avoir le toupet de prétendre que les escrologistes n’ont aucune responsabilité ni dans l’affaiblissement de notre industrie électronucléaire ni dans le recours massif au gaz naturel constitue une escroquerie de première grandeur et une peu glorieuse fuite devant ses responsabilités.
        Le président Lincoln disait que l’on peut tromper quelqu’un tout le temps et tout le monde un certain temps mais point tout le monde tout le temps. J’espère donc que cette « nuit de l’intelligence et de la rationalité » finira et que les Français comprendront – enfin ! – à quel point les « idées » et les agissements des escrologistes sont néfastes.

        2) Ne fréquentant pas les réseaux dits « sociaux », je ne suis pas certain de comprendre ce que vous écrivez sur la Russie.
        Mais un fait reste incontournable : quand on fait la folie d’adopter depuis des années une politique (= la soi-disant « transition énergétique ») ayant notamment pour conséquence d’augmenter considérablement le recours au gaz, on ne commet pas la sottise de se brouiller avec l’un de ses principaux fournisseurs. Je laisse la morale de côté… à moins que vous soyez prêt à boycotter la Chine au régime brutal à l’intérieur comme à l’extérieur, l’Arabie séoudite dont les procédés ne sont pas plus aimables à l’intérieur comme à l’extérieur de ses frontières et quelques autres « vilains pas beaux », comme le Quatar…

        • Ah la la, cher Liger, vous me condamnez à jouer l’avocat du diable. Pas sympa.
          Le gaz tout d’abord : dois-je vous apprendre que la part des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) dans la production électrique a baissé depuis 30 ans ? Le gaz en plus, c’est juste du charbon en moins. Le tout diminuant. Tout homme, même non écolo, ne peut que s’en réjouir.
          L’affaissement du nucléaire, ensuite. Notre souci de corrosion sous contrainte a tout du vice de fabrication, sinon de conception. Ce qui ne date ni d’hier ni d’une perte de compétence au fil de l’eau.
          [Au passage, on aura aussi des soucis sur le vieillissement du béton des barrages, mais c’est une autre histoire]
          Que nos écolos soient responsables du désastre Fessenheim, aucun doute. Qu’ils le soient aussi de ces ennuis spécifiques qui s’ajoutant aux opérations habituelles de maintenance nous promettent un hiver délicat s’il est rude et précoce, que nenni !
          Voilà. Et merci d’avance de ne pas provoquer à nouveau mes talents d’avocat à défendre des gens peu recommandables.

          -1
        • PS : pour la Chine, laissez-moi, pour aviser, le temps qu’elle envahisse un pays voisin et souverain.

        • Ou l’Azerbaidjan, spécialiste du pogrom d’Arméniens.

      • C’est sûr que pour les sans dents qui pratiquent déjà le 19°C depuis 40 ans (et parfois même le 18°C ou le 15°C) ça va changer radicalement de passer de 19° à ……19° ?
        Mais soyons confiants, quand quelques centrales mal réparées et démarrées en hâte par les écolos auront explosé, il fera bien plus clair et chaud dans les chaumières!

    • Et n’oublions pas le refus d’exploiter le pétrole au large de la Guyane. Nos ecolos à 2 balles y sont 100% opposés. Les pauvres français goûteraient au Lux et fini le vote à la gauche caviar

      • @JR
        Merci de cette information que j’ignorais. Décidément, avec nos chers (ou plutôt ruineux) escrologistes, l’imagination est au pouvoir quand il s’agit de mauvaises idées ou d’actions désastreuses : dans leurs cerveaux malades, « Que cent fleurs s’épanouissent ! », comme le proclamaient autrefois leurs mentors maoïstes…

        Et delenda est escrologia !

  • Bon petits français moutons de panurges et moutonneux suivants les bons bergers qui les emménent droit dans le mur qu’ils on préparés pendant 30 ans ! En détruisant entre autre le nucléaire qui nous donnait une compétivité sans égale que les Allemands se sont efforcé de saborder pour le remplacer par le gaz Russe car il est inutile de parler des gadgets à nous escroquer que sont éoliennes et panneaux solaires qui ne produisent qu’à peine 8 % de nos besoins, ce qui veut dire qu’avec les arnaques de macron et borne nous arriverons au mieux à 16 % si les gens ne se révoltent pas avant et bien sur la quasi obligation d’avoir une voiture éléctrique d’ici 15 ans mettra par terre cette éllucubration, car il faudra plus que doubler la production actuelle d’éléctricté. Quant les Français cesseront ils enfin de suivre et d’écouter tous les arnaqueurs sortant généralement de l’ENA et ou de sciences politiques ? Tous plus véreux les uns que les autres accoquinés avec la clique de buxelles infiltrée majoritairement par les verts alleamnds mais aussi les industrielles du même pays. Nous sommes devenus bien dociles aprés deux guerre mondiales, fut un temps cela seserait apssé tout a fait autrement, mais peut être que nous nous réveillerons comme les Italiens viennet de le faire.

  • « doit-on s’attendre à de nouvelles sanctions au nom de la crise énergétique ? »
    La réponse est dans la question!
    Et ceux qui croient le contraire feraient bien d’aller fissa faire leur 4° ou 5° injection de vitamines et acheter des doudounes car ça va cailler dans les chaumières, incitations ou sanctions énergétiques ou pas!

  • « Ainsi parlait le pull-over »… je ne crois pas fondamentalement en l’adhésion des gens à ce style d’injonctions. Pour ma part par exemple, hors de question de changer quelques habitudes qu’il soit, surtout pour un pays ayant décidé de combiner un marketing punitif à l’anglo-saxonne à un style de gouvernance absolument verticale, se réclamant de toutes les crises internationales « bankables », immanquablement se transformant en un cloaque sans nom une fois passé entre les mains des clowns dits « <macroniens ».

  • Si certains pensent que nos gouvernants élus par nous électeurs vont ce priver pour nous remettre une dose de restriction tous azimuts au non de la crise énergétique alors ils se trompent et son bien naïfs
    Pourquoi changer une formule qui a très bien fonctionnée pour le COVID.
    Comment se sortir de ce pétrin quand les gens auront froid,faim, malheureux ,peut être ?

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Nicolas Tenzer est enseignant à Sciences Po Paris, non resident senior fellow au Center for European Policy Analysis (CEPA) et blogueur de politique internationale sur Tenzer Strategics. Son dernier livre Notre guerre. Le crime et l’oubli : pour une pensée stratégique, vient de sortir aux Éditions de l’Observatoire. Ce grand entretien a été publié pour la première fois dans nos colonnes le 29 janvier dernier. Nous le republions pour donner une lumière nouvelles aux déclarations du président Macron, lequel n’a « pas exclu » l’envoi de troupes ... Poursuivre la lecture

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