Les écolos nous mentent, de Jean de Kervasdoué

Le dernier livre de Jean de Kervasdoué, « Les écolos nous mentent », passe en revue la stratégie des écolos pour nous convaincre avec des idées fausses.

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Les écolos nous mentent, de Jean de Kervasdoué

Publié le 7 mars 2021
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Par Francis Richard.

« Plusieurs éditeurs ont refusé d’envisager la publication de cet ouvrage, considérant que critiquer la bien-pensance écologique dominante, fût-elle infondée, était inenvisageable. »

La censure s’étend effectivement.

Ce n’est hélas pas l’apanage du secteur public comme d’aucuns le pensent ou le disent, car le secteur privé condamne aussi très bien les opinions qui lui déplaisent.

Le secteur public pratique surtout la censure pour empêcher la contestation de son pouvoir. Le secteur privé le fait quand il est au service d’une idéologie plutôt que de ses clients, ce qu’il paie tôt ou tard.

 

Les écolos

Par « écolos », Jean de Kervasdoué entend les écologistes politiques et non pas l’écologie, qui est une science. S’ils mentent, c’est parce que leurs arguments ne sont pas scientifiques mais idéologiques.

L’auteur donne de nombreux exemples de ces mensonges, qui, à force d’être répétés par des activistes ou par des médias peu curieux, finissent par être tenus pour vrais par ceux qui ignorent les faits.

Muni de l’arme de la raison, Jean de Kervasdoué démonte ces mensonges. Il le fait non pas par plaisir de confondre les menteurs, mais parce que l’obscurantisme a toujours de terribles conséquences.

 

Les menaces imaginaires des écolos

Par exemple, ce sont des menaces imaginaires que de dire :

On va manquer d’eau.

On ne peut pas consommer l’eau :

« La molécule (H2O) est stable, indestructible, indéfiniment recyclable et recyclée. En revanche, elle voyage, elle tombe et change d’état pour devenir glace ou vapeur qui, après une dizaine de jours, retombera sous forme de pluie ou de neige, et le cycle recommencera ici ou ailleurs. »

Les incendies de forêt menacent la planète

Le taux d’oxygène de l’air est de 21 %, « taux stable depuis des millions d’années » :

« L’oxygène vient de l’atmosphère, et le gaz carbonique provient de la biomasse, quelle qu’elle soit. Cette biomasse rend kilo pour kilo, mètre cube pour mètre cube, les mêmes quantités de dioxyde de carbone que celles qui ont été précédemment absorbées. Les incendies libèrent cette même quantité de carbone, simplement ils le font plus rapidement. »

La biodiversité est menacée

Sur de longues périodes, les espèces qui ont habités la Terre sont venues et s’en sont allées :

« La biodiversité est dynamique, même sans incursion humaine, et l’équilibre entre espèces a toujours été et sera toujours instable. »

La production de miel va s’effondrer à cause des pesticides et des insecticides

Or, aucune relation de cause à effet n’a pu être établie avec la mortalité des abeilles :

« Il y a de bons et de mauvais apiculteurs, et c’est ce facteur qui explique la différence de production des ruches, selon une étude de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments. »

Les poissons vont disparaître

Si la surpêche est avérée, depuis les années 1970, l’aquaculture s’est développée de manière considérable dans le monde :

« Aujourd’hui, en 2020, la production aquacole de poissons, de coquillages et de crustacés dépasse le tonnage exploité par la pêche traditionnelle ».

L’exploitation des forêts nuit à la biodiversité 

Globalement ce n’est pas le cas et en Europe la forêt naturelle ne représente que 1 % des surfaces boisées. D’ailleurs :

« Moins une forêt est exploitée, plus elle se couvre, ce qui réduit la luminosité ; la biodiversité diminue alors, à moins de faire artificiellement des puits de lumière. »

 

La culpabilisation

L’humanité est coupable.

La population de la Terre s’accroît et ce sera une catastrophe :

« La régression de la famine mondiale n’est pas due à la destruction des forêts mais à l’amélioration de l’agriculture. »

Les hommes qui consomment de la viande consomment beaucoup d’eau.

Encore une fois, un être humain pas plus qu’un animal ne consomme de l’eau :

« C’est la pauvreté et le sous-développement qui créent le manque d’eau potable, y compris dans des pays très humides. »

L’agriculture conventionnelle n’est pas protectrice de l’environnement :

« L’agriculture biologique nécessite plus de surfaces pour une production donnée et donc plus de terrains défrichés ; or les impacts environnementaux sont proportionnels aux surfaces concernées. »

Les produits de l’agriculture moderne avec ses pesticides sont moins bons pour la santé que les produits bio. Or « il n’y a pas d’agronomie sans pesticide, pas plus qu’il n’y a de médecine sans médicament ».

Selon une étude de 2014 de European Food Security Agency, « 98,8 % des produits bio étaient exempts de résidus dépassant les limites autorisées. Donc guère mieux que les produits non bio, issus de l’agriculture conventionnelle (taux de 97 %, soit un différentiel de 1,8 %). »

La viande rouge est dangereuse.

Denis Corpet a calculé que la surconsommation de viande était la cause de 4000 décès par an parmi les personnes décédées d’un cancer colorectal, dont le nombre total était de 17 117 en 2018 selon Santé publique France :

« En reprenant les calculs avec un risque relatif de 1,18 on peut estimer le nombre de décès dus à la consommation excessive de viande à 595, soit environ à un millième de décès en France en 2019, à supposer que le risque des « très carnivores » ne soit pas associé à d’autres facteurs… »

Les OGM sont mauvais :

« La sélection génétique a été une des raisons majeures de la croissance considérable des rendements agricoles depuis un demi-siècle. Historiquement cette sélection s’est faite de manière empirique en reproduisant les bons sujets ou en faisant muter des graines, notamment par irradiation, pour trouver de nouvelles variétés. N’est-il pas préférable de maîtriser ce processus ? »

 

Les écolos se contredisent

Ils luttent contre les émissions de CO21 et rejettent l’énergie nucléaire qui représente en France 70,9 % de l’énergie électrique, qui est une énergie décarbonée et qui est « la technologie la moins coûteuse en vies humaines ».

Ils tentent de parer leur idéologie des habits de la science et de « faire croire contre toute évidence que les OGM, les ondes téléphoniques, le glyphosate à dose d’usage courant, le compteur EDF Linky, etc. sont dangereux pour la santé. »

Soi-disant scientifiques, ils font pourtant des généralisations hâtives, confondant concomitance et causalité et oubliant qu’une démonstration n’est convaincante que si le lien est avéré toutes choses étant égales par ailleurs ; ils ont même recours à la pensée magique quand ils se font les chantres de la biodynamie

 

Conclusion

Les écolos sont des manipulateurs.

Pour véhiculer la peur, ils s’appuient sur des images de catastrophes : inondations, sécheresse, famines etc.

Ils abusent de la confusion entre risque et danger, entre expériences et modèles, entre météorologie et climat, entre le local et l’universel.

Ils exigent de leurs contradicteurs qu’ils démontrent que leurs cibles – énergie nucléaire, pesticides agricoles, additifs alimentaires – ne seront jamais dangereuses pour la santé.

« En l’absence d’arguments, ils sortent leur arme universelle, leur couteau suisse : le principe de précaution. »

Ils excommunient les mal-pensants.

Leur incontestable victoire ? La Convention citoyenne pour le climat :

« Combien coûtera-t-elle à la France et aux Français ? On en aura assez vite une idée. »

Sur le web

  1. Le rôle de l’énergie électrique devrait croître avec les appareils électroniques, la 5G et les véhicules électriques ; les énergies dites renouvelables ne pourront jamais être que des énergies d’appoint en raison de leur intermittence.
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  • Autant je suis d’accord avec le titre, autant certains arguments me paraissent faibles ou faux, de même d’ailleurs que certaines allégations prêtées aux écolos.

    Par exemple, pour l’eau, l’argument écolo pour faire peur est « il n’y a qu’un pour cent de l’eau qui est potable » est idiot puisque ce pour cent se renouvelle continûment. Il n’y a par contre pas lieu de nier que certaines régions sont surpeuplées est un facteur qui, avec l’augmentation de consommation d’eau liée au développement, génère un stress hydrique ingérable dans certaines régions.

    Pour le nucléaire, c’est la répétition en boucle des  » 150.000 morts de Tchernobyl » ( fantasme de Greenpeace repris même par Paris Match, tout récemment ), des « terres contaminées pour l’éternité » et surtout la confusion délibérée entretenue par Greenpeace entre les morts du tsunami de Fukushima et ceux résultant de la destruction de la centrale qui auraient dû être mis en exergue.

    • On peut aussi dessaler l’eau de mer, ce que fait déjà Israël.

    • Notre planète est une machine thermique, à l’équateur l’évaporation de l’eau est importante et donc achèche la terre, l’eau transportée dans l’atmosphère se dépose plus au nord donc sur des terre déjà arrosée par contre les zones arides croissent. Les pluies deviennent plus fortes au nord lors de la rencontre d’un obstacle (par ex inondations dans le sud). Sur mer rien a changé, le pot au noir est toujours à la même place.
      La solution est de reverdir le Sahara, mais il faudrait bosser, pas pleurnicher.

      • les vents dominants vont de l’ouest vers l’est, pas du sud au nord. La pluie des « épisodes cévenols » ne vient pas de l’équateur, mais de la Méditerranée, portée pour le coup par des vents du sud qui perdent leur humidité très vite en rencontrant la barrière des Cévennes. Je suppose que des phénomènes similaires se produisent de temps en temps plus à l’est, quand les vents buttent sur les Alpes.
        Par contre, il n’y a absolument rien de neuf à ces phénomènes, le faire croire (et en accuser l’Humanité) est une escroquerie. L’Humanité est coupable de construire et de bétonner dans des zones connues pour être à risque. Pas (encore) de faire tomber plus (ou moins) de pluie.

        Même remarque pour les feux de forêt en zone méditerranéenne. Si des arbres locaux ont cru bon de se construire une écorce qui les protège des feux (les chênes-liège), c’est peut-être parce-que le feu y est un phénomène naturel. Il participe du nettoyage naturel de la forêt. Ce qui est moins naturel, c’est de remplacer une zone qui vient de brûler par des immeubles – là aussi, c’est un autre problème.

  • Non, l’2colo ne ment pas, il est totalement abruti et ne sait pas que ce qu’il raconte est débile. Le problème est donc bien plus grave qu’il n’y parait. tout échanges ou discutions avec un écolo est un non sens. Tout les politicards en mal d’élections étant prêt a récupérer des voix écolos, ce pays est foutu.
    NB : Ce constat vaut aussi pour l’Islam. Doublement Foutu, CQFD

  • Bonjour, beaucoup nous mentent mais la plupart sont des croyants, et ceux qui ne croient pas ou plus préfèrent se mentir à eux mêmes ou faire illusion.
    Les arguments développés sont intéressants mais ça fait 10 ans que chacun se les renvoie à la figure. Sur le plan rationnel, les sceptiques l’emportent presque toujours mais ça n’est pas l’important.
    Ce que les ecolos ont réussi d’incroyable en à peine 10-15 ans, c’est de confisquer le débat : quels que soient vos arguments, vous êtes d’emblée un beauf régressif qui se fout de la planète et des générations futures si vous émettez un doute ou une critique. Dites quoi que ce soit et beaucoup vous dévisageront comme un curé à qui on aurait dit que Dieu n’existe pas.
    Et c’est vrai dans presque tous les milieux y compris ceux de la science, de la politique, des médias, bref de tous les espaces traditionnels du debat, en plus de l’administration. C’est pourquoi les scientifiques, universitaires ou journalistes sceptiques ne s’expriment qu’une fois à la retraite (il faut voir ce qui arrive aux dissidents…), pourquoi les politiques votent tous pareil, sauf à vote secret, et pourquoi vous êtes blacklisté de la commande publique si vous n’avez pas l’image d’un croyant radical. À partir de là, la question des arguments est secondaire : seuls les convaincus ou les déjà sceptiques les entendent.

    • Votre comparaison avec la religion est tout à fait juste.
      L’argument principal est le même :L’Homme est né coupable et tout ce qui arrive à la planète, des fourmis aux éléphants est de sa faute.
      S’il veut gagner le paradis, il doit passer sa vie à racheter ses pêchés.
      Comme toute religion, l’écologie comporte son lot d’hypocrites, qui donnent des leçons tout en possédant plusieurs résidences secondaires !

      • Oui, mille fois oui !
        Il y a un parallélisme surprenant avec la doctrine de l’église catholique romainecdontbils ont repris les codes.
        Dieu le Père – Gaïa la terre mère
        Jésus le fils – le climat
        Les Saintes martyres – Greta, jeune fille un peu simplette et présumée vierge (?)
        Le péché originel – l’empreinte carbone
        Les pénitences – se déplacer à vélo quand il gèle ou qu’il pleut
        Les offrandes – les sacs blancs, bleus, verts, roses, les conteneurs à piles ou à lampes usagées
        Les Juifs du bitume – les automobilistes: stigmatisés, rejetés hors des villes, maudits, responsables de tous les maux mais on a besoin d’eux comme boucs émissaires et surtout pour leur pomper leur fric
        Les crucifix géants à la mesure des cathédrales – les éoliennes ont trois pales
        Les conciles – la COP 23, 24, 36…
        Le catéchisme – l’écologisme à l’école chez les petits, l’école sans déchets, les cantines sans viande…
        La peur de l’an mil – le réchauffement climatique va nous faire bouillir dans des chaudrons, à cause de nos mauvaises actions
        À Bruxelles, la société Engie (anciennement Suez) affiche en grand le slogan: « Un avenir décarboné, l’essentiel c’est d’y croire »
        Tout est dit.

        • … et l’infaillibilité papale en matière de dogme …

        • Rien à ajouter, c’est exactement ça !

        • À Bruxelles, la société Engie (anciennement Suez) affiche en grand le slogan: « Un avenir décarboné, l’essentiel c’est d’y croire »
          Tout en exploitant deux centrales à charbon au Chili (troisième en construction) dont l’énergie sert à extraire le minerai de cuivre (ne parlons pas des dégâts humains dans les mines).
          La « com' » QUE la « com' »

      • les idéologies reposent sur des dogmes, elles ont toutes des similarités..la vérité révélée..

    • Le monde évolue par grandes croyances. Curieusement, il semble que le hommes ne peuvent se passer de croyances, quelles qu’elles soient.
      Au début, il y eut l’animisme, puis le panthéisme des grecs, puis le christianisme qui domina le monde occidental pendant 19 siècles, un record. Au XIXème siècle apparut le socialisme/marxisme qui sévit jusqu’en 1989 et qui, depuis, se poursuit en bruit de fond mais avec des effets toujours aussi délétères.
      Puis, le communisme ayant cessé de faire briller les yeux des jeunes, il fallut trouver autre chose: ce furent d’un côté les écolos, souvent des marxistes recyclés d’où le nom d’écolo-pastèques ainsi qu’un pourrissement total de l’esprit avec des âneries du genre BLM, théorie du genre, cancel culture et tous ces crétins finis qu’on enrobe sous le nom de « woke ».
      Nous sommes en pleine décadence, comme il y en eut déjà dans le passé.
      A quand la prochaine Renaissance?
      Sans doute pas de mon vivant.

      • « Croire » ne fait que remettre en fonction de vieux circuits neuronaux dans la profondeur du cerveau, ayant probablement des implications dans la préservation de l’individu, dans la gestion de la peur et autres mécanismes fondamentaux (croire qu’un bruit est lié à un danger plutôt que d’aller voir pour savoir que ce danger va vous dévorer, …). Plus profond et à l’arrivée des premiers systèmes d’analyse neuronaux, il va être dans les premiers à répondre. Comprendre, savoir, analyser sont des mécanismes beaucoup plus tardifs dans l’évolution et plus complexes à mettre en marche.
        On ne peut pas « ne pas croire », c’est plus ou moins automatique ou réflexe.

    • « Pour ceux qui croient, aucune preuve n’est nécessaire ; pour ceux qui ne croient pas, aucune preuve n’est possible. » (Stuart Chase)

  • Une religion n’a que faire des arguments de la raison.

  • je vous mets au défi de donner une definition de l’ecologisme qui permette de juger de façon claire si une action a un moyen d’etre qualifiée d’ecologique ou plus écologique qu’une autre…sauf à le pas s’abstenir de la faire..
    paradoxalement la recherche de performance et de preserver ce qui » importe » sont très bien achevés par l’economie et le prix!
    l’ecologisme est une liste de trucs biens et de trucs pas biens..

  • Les quelques extraits de ce livre sont tout à fait pertinents.
    Depuis René Dumond lors de la campagne présidentielle de 1974, on nous dit que l’eau va manquer même en France.
    C’est évidemment archi faux et le fait d’économiser l’eau où elle ne manque pas ne va pas en donner aux habitants des zones désertiques.
    L’interdiction du glyphosate pose de véritable problèmes aux communes rurales qui ne peuvent plus désherber les trottoirs, celles qui en ont les moyens choisissent de tout bitumer, ce qui n’est pas terrible d’un point de vue environnemental.
    Quant à la biodynamie, tant vantée par les vignerons branchouilles, c’est presque un problème de santé mentale pour les consommateurs qui se font avoir par cette farce.
    Ces idées ne peuvent avoir du succès que parce que nous nous sommes beaucoup trop éloignés de la nature.
    N’importe quel jardinier sait qu’il n’obtiendra pas longtemps de belles récoltes sans apport d’engrais chimique.
    Il y a encore quelques années, je récoltais mes pommes de terre pour ma consommation personnelle, je les conservais jusqu’à la récolte suivante grâce à un produit anti-germinatif.
    Je n’achetais pratiquement aucuns légumes et j’étais ce qu’on appelle maintenant un locavore.
    Le produit anti-germinatif est maintenant interdit.
    Voilà où nous conduit ce climat général qui consiste à remplacer les faits par des opinions.

  • Des associations telles que Greenpeace, FNH, WWF, FNE sont des associations de charlatans qui nous prédisent le pire depuis des années et qui reculent sans cesse la date de l’apocalypse.
    Entièrement d’accord pour dire que la victoire des écolos est la CCC qui a été une grosse mascarade qui va nous coûter des milliards pendant des années, jusqu’à ce qu’un président de la république conscient de sa charge et de ce qu’il doit au pays décide enfin de faire marche arrière, mais il sera sûrement trop tard.
    Je voulais à l’origine dire « ouvre les yeux » mais je ne peux pas croire qu’un président soit assez stupide pour ne pas se rendre compte de ce qui se passe dans son pays et de ce que son pays va devenir.
    Pour parler du problème de l’eau : les gros navires qui naviguent sont capables de dessaler l’eau de mer, des usines de désalinisation existent, les industriels ont les connaissances techniques pour fabriquer l’eau douce, mais un frein les retient, lequel ?
    Eux et les politiques le savent.

  • Bah, si les gurus ne mentaient pas ils auraient bcp moins d’adeptes naïfs. On peut aussi dire ça des politiques. Moi même, si un p’tit mensonge peut aider…

  • Curieusement, l’auteur oublie le mensonge fédérateur des écolos : « Le climat se réchauffe à cause des émissions de CO2 d’origine et donc de l’accroissement de la teneur en CO2 de l’atmosphère ». L’autocensure a de beaux jours devant elle.

    • Non, l’élément fédérateurs gauchos, verdates, religions c’est que l’homme est mauvais par essence. Il a bouffé une pomme et il n’avait pas le droit. Donc panpan féfesses au descendants d’Adam.

  • La production de miel augmente chaque année. C’est vérifiable et vérifiée.

    Que les ecolos retournent étudier Mein Kampf, leur livre de chevet.

  • merci de nous le rappeler mais c’est une évidence pour tout cerveau normalement constitué !!! de fait le seul but des écolos est le pouvoir absolu assisté des rouges si nécessaire !!!!

  • Un certain sensationnalisme écologiste finit par lasser beaucoup de gens. Malheureusement Jean de Kervasdoué singe le même type de message. Dommage.

    • Très juste. Rien que la réfutation des deux premiers points ne tient pas la route.

      Pour la question de l’eau, le point important tient dans les derniers mots :  » le cycle recommencera ici ou ailleurs. » C’est le ici ou ailleurs qui est problématique, pas la quantité d’eau globale disponible.

      Pour le deuxième point, idem, c’est la fin qu’il faut lire : « simplement ils le font plus rapidement. » Bah oui, c’est là toute la question…

      On voudrait enfumer les gens aussi bien que ne le font les écolos, on ne s’y prendrait pas autrement.

      • Non: le discours écolo, c’est que nous allons manquer d’eau. Donc, irriguer des cultures ou d’avoir une piscine est un péché.
        Déjà, rien que d’évoquer le fait de sa répartition inégale sur terre est déjà un bon début de réflexion, chose qu’un militant écolo refuse de faire ou alors, difficilement.

  • J’ai adoré l’introduction : « Le secteur public pratique surtout la censure pour empêcher la contestation de son pouvoir. Le secteur privé le fait quand il est au service d’une idéologie plutôt que de ses clients, ce qu’il paie tôt ou tard. »

    Il paiera… ou pas : ou bien ses prévisions s’avéreront correctes et il empochera le bénéfice ou dans le cas contraire, il aura vite fait de s’adapter à la nouvelle donne, faites confiance à la capacité d’adaptation du privé ! Ou encore le censeur ne sera plus là depuis longtemps quand on lui présentera la facture. Donc il s’en fiche un peu.

    Réaction de dépit d’un libéral lorsqu’il se trouve du mauvais côté de la barrière, à savoir lorsqu’un privé exerce son droit à la discrimination sur sa propriété privée à ses dépens.

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