Liquider le monde d’avant

En faisant le bilan du monde d'avant, on sait ce que doit être le monde d'après, et ce qu'il ne sera jamais, idéologie collectiviste oblige.
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Liquider le monde d’avant

Publié le 27 avril 2020
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par h16

Ah, que n’entendons-nous pas au sujet de cet inconnu dans lequel ce méchant virus nous aura tous plongés d’un coup, au détour d’une pandémie que nos dirigeants se sont appliqués à ne pas prévoir ni voir même lorsqu’elle était là ? C’est sûr : à lire la presse, le monde d’après prend déjà forme !

Et dans ce monde d’après, on va forcément remettre en cause toutes ces choses que le néolibéralisme ultracapitaliste aura poussées à l’extrême. Puisque cette pandémie est évidemment la faute du libéralisme et de la mondialisation, certaines actions fermes et concrètes devront être entreprises pour que ces errements lamentables ne se reproduisent plus.

Comptez-bien sur tout ce que le pays comporte de collectivistes pour s’y employer : à l’évidence, le monde d’après sera composé d’écologie, de solidarité et de toutes les bonnes idées socialistes de distribution facile d’argent gratuit des autres. Bref, réjouissez-vous, le paradis collectiviste est à portée de virus !

Communism : it's a party

Cependant, tant qu’à se lancer dans la prospective sur le monde d’après, si l’on s’en tient aux faits, on peut raisonnablement douter que le résultat soit conforme à ces visions où l’État intervient partout encore plus et où tout le monde se syntonise avec Gaïa.

Eh oui : force est de constater que dans le monde d’avant, on nous a largement vanté et forcé (fiscalement autant que légalement) à prendre les transports en commun en dénonçant l’individualisme scandaleux des conducteurs au volant de leurs voitures polluantes ! Si la crise sanitaire a bien montré plusieurs faits saillants, c’est que, d’une part, la pollution automobile est très loin d’être aussi prépondérante que ce que les bobards gouvernementaux tentaient de nous faire croire.

Par ailleurs, difficile de nier l’importance des transports en commun à la fois comme vecteurs et comme principal lieu de propagation des virus : les métros et les bus bondés entraînent une promiscuité qui rend impossible toute distanciation physique indispensable à casser les chaînes de propagation virale. Quant aux poignées, barres, fauteuils et portes, ils sont régulièrement enduits des miasmes des passagers qui se succèdent à un rythme effrayant.

Pas de doute, si on doit mettre en place un « monde d’après », ce sera celui du retour en grâce de l’automobile individuelle, seule garante de la distanciation sociale et de la limitation virale !

Dans le monde d’avant, il était de bon ton de combattre les emballages plastiques, source d’une (bonne) partie des malheurs du monde (en ce compris les interventions de Greta Thunberg). Pas une paille au McDo, pas un gobelet de Starbucks, pas un emballage ni le moindre sachet ne pouvaient trouver grâce aux yeux de ces militants d’un monde d’après résolument déplastifié…

Manque de pot, la crise sanitaire nous rappelle (quitte à tuer pour le faire) que le plastique, c’est fantastique, ça fait plus que dépanner les personnels soignants dépourvus, ça emballe bien ces fruits et ces légumes sur lesquels se jettent maintenant les consommateurs qui se sentent ainsi mieux protégés d’une éventuelle contamination. Le plastique, c’est aussi ces plexiglas qui permettent de protéger les caissières particulièrement exposées. Et puis les gobelets en plastique jetables, c’est la possibilité d’éviter la propagation du virus par les tasses et autres verreries des selfs, cantines et autres aux pauses café des entreprises…

S’il y a, un jour, un monde d’après, on voit mal comment il pourra se passer de plastique, et comment il pourra souffrir d’y trouver des militants acharnés contre ce qui sera une vraie barrière contre les pandémies…

Il y a plus fort encore ! Dans le monde d’avant, il semble évident et sans discussion possible que la santé ne peut être une marchandise : rendez-vous compte, si le marché devait envahir ce secteur, nul doute que les pauvres seraient exclus de tous les soins et que les capitalistes avides de profit s’en mettront plein les poches sur le dos des mourants !

Cependant, la crise sanitaire nous a posé une démonstration éclatante de la force de la sociale-démocratie, ainsi que les effets formidables du retrait hors du marché des produits sanitaires indispensables pour que tout un chacun puisse lutter contre la pandémie : grâce à la pertinence des réquisitions d’État sur les masques et le gel, grâce aux décrets interdisant puis pénalisant tout marché (tout achat, toute vente) sur ces produits, il est maintenant impossible de trouver ces marchandises de santé indispensables.

Eh oui : c’est bien joli de faire disparaître un marché, mais comme il s’agit du seul moyen qu’a jamais trouvé l’Humanité pour subvenir à ses besoins, le faire signifie se créer de nouveaux soucis, logistiques notamment. Bien joué pour le monde d’avant !

Pour le monde d’après, il semble indispensable que l’État retire ses gros doigts boudinés de tous les pots de confiture, de tous les marchés où il s’est inséré de force et où il n’a pas arrêté de créer distorsions, connivences et chasses-gardées. S’il y a un monde d’après qui doit tenir la route, il ne pourra se faire que grâce au marché.

Et puis, finalement, dans le monde d’avant, les technophobes dénonçaient – généralement sur les réseaux sociaux technophiles, en utilisant des moyens technologiques assez avancés – la présence des smartphones et de tous les outils technos modernes. Le constat d’une société toujours davantage basée sur les écrans, dont le côté numérique voire virtuel ne cesse de s’accroître, les hérisse tant tout cela conduit forcément à la destruction du vivrensemble et l’évidente déliquescence des liens sociaux.

Pourtant, force est de constater qu’en termes de destruction de liens sociaux, on trouvera difficilement plus violent que l’État, que ces pourfendeurs de technologies appellent bruyamment de leurs vœux : qui, sinon l’État, a confiné des millions d’individus, leur imposant les plus humiliantes démarches pour simplement pouvoir sortir de chez eux ? Qui, sinon l’État, a imposé que nous nous éloignions tous les uns des autres ? Et inversement, qui nous a rapproché, qui a permis la perpétuation des liens sociaux, l’atténuation de l’isolement, sinon ces technologies abhorrées par ces thuriféraires d’interdictions idiotes ?

En toute bonne logique et si l’on devait apprendre de nos erreurs, si l’on devait tirer un enseignement de ce monde d’avant et des catastrophes qu’il a engendrées, on en tirerait comme conclusion que le monde d’après devra se passer d’État autant que possible, qu’il devra faire confiance au marché, que l’écologie ne devra certainement plus s’inscrire dans les combats idiots qu’on nous propose stérilement depuis des décennies et qui ont amplifié le problème actuel au lieu de l’atténuer.

Mais en réalité, on n’apprendra rien.

À la France d’avant succédera le monde de l’à-peu-près, cet à-peu-près rempli des clowns à roulettes qui nous ont gratifiés de leur excellente performance globale dans la gestion d’une crise sanitaire historique et qui, n’en doutons pas, remettront le couvert lors de la future gestion de la crise économique historique qui s’en vient.

Forcément, ça va bien se passer.


—-
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  • La citation de Darmanin pour terminer l’article, est pathétique!
    La guerre anti-voitures, antiplastique et anti-activité industrielle va devoir réviser ses principes: depuis un mois que cette activité a sérieusement diminué, rien de changé sur le taux de CO2. C’est ballot.
    https://fr.co2.earth/daily-co2

    • @LA petite bête
      Bonjour
      La guerre anti voiture, menée par l’Etat lequel prévoit l’arrêt de la production de véhicules thermiques dans 10 ans, soit la mort du secteur automobile.
      Toutefois, dans sa grande magnanimité, l’Etat va secourir Renault à coups de millions d’euro, comme il l’a fait après la crise de 2008.

      • Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. Cette citation attribuée à Bossuet (apocryphe) n’a jamais été aussi vraie, et on pourait l’appliquer à bien d’autres secteurs de l’économie française. Nos voisins sont moins bêtes que nous

        • Dexter : Plus concis, Einstein : » Il ne faut pas demander de résoudre un problème à ceux qui en sont la cause. »

        • Tout à fait d’accord pour liquider le monde d’avant et ne pas oublier d’exterminer TOUS LES POLITICHIENS QUI NOUS ONT MIS DEDANS

  • Ils veulent construire le monde d’après avec tout ce qui n’a pas marché dans le monde d’avant.

    Pas de problème, il suffit de réécrire l’histoire et d’expliquer que les problèmes viennent du neolibéralisme, de l’individualisme et de la pollution.

    Mais pour réécrire l’histoire, il faudrait encore attendre quelle soit écrite.

  • Il est évident qu’ils n’ont tiré aucune leçon de cette crise! Bien au contraire, ils sont bien décidés à poursuivre leurs conneries. Einstein avait raison, la bêtise humaine est infinie!

    • Le seul côté positif est que la plupart des pays proches (Allemagne, UK, Pays-Bas, Suisse…etc) vont repartir dans le bon sens.
      L’écart va grandir entre ces pays et la France.
      Au bout d’un moment (qui peut encore être long malheureusement), le discours de nos collectivistes écoconscientisés ne sera plus tenable.
      Mais on n’a pas fini d’en baver.

      • On parie ? Quand ça arrivera, ils trouveront encore le moyen de dire que tous nos problèmes sont causés par ces pays égoïstes qui refusent de partager avec nous le fruit de leurs économies.

  • Dans une société qui refuse le moindre risque inconnu aussi faible soit-il et préfère une démarche suicidaire plutôt que de l’affronter, comment peut-on penser que cette même société fera confiance à l’initiative privée, donc risquée, plutôt qu’à un Etat obèse qui prospère sur les peurs qu’il entretient lui-même pour justifier son inefficace omniprésence?

  • Le monde d’après, c’est le monde d’avant avec les poches vides.. Donc il vous est possible de fabriquer vos masques pas chers, pour vos mains, l’eau de Cologne fait l’affaire et sent bon pour moins d’un euro le litre…. Ils ont eu du nez les chinois de revendre l’aéroport, souvenez vous..

  • « ce sera celui du retour en grâce de l’automobile individuelle »

    Pour fêter ça, certaines mairies suppriment dans l’urgence des voies de circulation automobile en inventant des pistes cyclables supplémentaires. Le déconfinement va se traduire par un immense bouchon, là où il aurait fallu fluidifier. Le monde d’avant, avec ses nuisibles et leurs décisions stupides, n’est pas tout à fait terminé.

    Mais ça tiraille quand même un peu sur les bords :
    https://www.20minutes.fr/sport/2768079-20200426-jo-projet-paris-2024-obsolete-deconnecte-realite-estime-guy-drut

    • Ce sera amusant à voir.
      Plus il fermeront l’accès aux voitures, moins les commerces de centre ville auront de clients et plus ils fermeront. Pareil pour les entreprises et/ou leurs sièges sociaux: l’accès sera source de retard et de surcouts poussant les entreprises à déménager en périphérie.
      On entendra alors un concert de couinements: ceux des maires devant la baisse des rentrées fiscales et ceux de certains habitants devant la hausse des impôts et taxes.

      On verra nos politiques pousser en avant des projets de Grand Paris, Grand Lyon, Grand Strasbourg…etc Ceci pour mettre la main sur cette périphérie afin de récupérer des financements leur permettant de continuer leurs politiques débiles le temps de qq mandats électoraux.

  • Il n’existe aucune raison de penser que, sur le plan sanitaire, le
    confinement soit efficace. Bien au contraire, les chiffres indiquent qu’il favorise la mortalité.
    Parmi les dix pays ayant le plus grand nombre de morts par million d’habitants, on en trouve 7 qui pratiquent le confinement.
    Voir http://www.scmsa.eu/archives/BB_confinement_2020_04_27.pdf
    Récemment, dans la presse, M. Olivier Veran, Ministre de la Santé, déclarait que le confinement avait sauvé 60 000 vies. Nous ignorons comment il mène son calcul. Nous, de notre côté, nous pouvons dire que la politique sanitaire retenue par le gouvernement français s’est traduite par un excès de mortalité de 18 000 personnes. Voici notre calcul : en Allemagne,
    mortalité de 70 personnes par million d’habitants. Rapporté à une
    population de 63 millions (la France), cela fait 4 410 décès ; comme nous en avons eu 22 614 (au 24/04/2020), cela fait 18 000 en trop : décès que nous n’aurions pas eus si nous avions suivi l’exemple allemand.

    • Exemple Allemand que l’n ne pouvait suivre faute de masques, de tests, de lits de réanimation et de respirateurs. Gestion de la crise d’un pays pauvre.

    • Les 4 pays ayant le plus grand nombre de morts par million d’habitants pratiquent le confinement du fait qu’ils étaient très mal partis. On a un biais de recrutement à ce niveau

    • Je ne pense pas que ce soit le confinement en tant que tel, mais le fait que le confinement sert à masquer les cruelles insuffisances en masques, en tests de dépistage, en liberté de soigner pour les médecins de ville, toutes choses beaucoup plus efficaces que le confinement.

      • Sans oublier les multiples contrôles de la population par des forces de police sans masque ni gants, qui plus est, ne respectant pas la distanciation sanitaire dans leurs véhicules de fonction. Une réussite sanitaire française…

  • J’ai un gros coup de déprime . J’ai confié sur FB à faire partager ses 10 meilleurs livres. Une de mes meilleures amies a posté un livre de Keynes « théorie générale de l’emploi des intérêts de la monnaie » , c’est déjà dur mais le pire vient des commentaires « c’est du lourd » « ça pourrait revenir à la mode » … que dire …

  • ENFIN NOUS POUVONS ETRE OPTIMISTES
    Il faut toucher le fond pour pouvoir remonter! Et là, on aurait tendance à décoller le carrelage du fond de la piscine… Les policiers réussissent à survivre à des épisodes d’agressions, de violences verbales, physiques, menacés par des QI qui rappelle les années sombres…et ils résistent! Vraiment j’en serais bien incapable: moi, armé, face à une menace aussi terrifiante, je crois que je péterais un câble…non, j’en suis sûr.
    Économiquement, on a fait disparaître l’essentiel de l’industrie productrice au profit de « conseils régionaux », arts vivants, technostructure qui ne fonctionne bien que quand on ne l’utilise pas et bien entendu une classe de politiciens au chaud mais toujours à l’affut du Crime fasciste qui rampe, de l’injustice faite aux minorités, de la pensée qui éradiquerait la planète…si ils la laissaient prospérer…
    Des dettes? Oui, et alors… C’est gratuit puisque c’est l’Etat qui paye! Euh les malheureuses générations suivantes paieront, tout simplement par cession collective de leur pays, à la découpe. Patience.
    Évidemment il n’y aura pas de guerre civile; il faut des projets communs pour cela, au moins deux… Or chacun est dans son chacun pour soi (et sa famille…si si, ça existe dans la vie réelle)

    De tout ça, comment ne pas être optimiste? Aller plus loin, plus profond nécessiterait un imaginaire que je ne possède pas. Donc une réaction va se produire…

  • Ce virus qu’il faut classer au rang des fortes grippes n’ est que le prétexte pour une reprise en main vigoureuse de l’état. Nos libertés vont s’envoler.
    De la crise sanitaire au totalitarisme…,chronique du 21 ième siècle naissant. Un chapitre d’un futur livre d’histoire.
    Un lien très instructif pour ceux que ça intéresse.
    https://swprs.org/coronavirus-un-medecin-suisse-parle/

    • @Alberto
      Bonjour,
      « Nos libertés vont s’envoler. »
      C’est déjà fait, depuis des décennies.

      • On ne nous a jamais assignés à résidence…

        • j’ai une cousine par alliance Chinoise. Mais Chinoise de Chine…révolution culturelle fille de cadre du parti et le tuttim. La titillant sur le Tibet, elle m’a dit que les Tibétains avaient maintenant tous des télé et autres outils modernes et surtout que maintenant »ils avaient le droit de penser ce qu’ils voulaient ». Avaient-ils droit de le dire? ai-je questionné. Elle a dit Non mais c’est déjà bien. Je vous jure qu’il n’y avait pas une once d’humour dans cet échange, juste du factuel. Glaçant pour moi mais 2020 me laisse penser que nous ne nous éloignons pas de ce fonctionnement.

          • @du courage oui c’est le principe du communisme : on donne un truc à qqun et on prend tout le bonhomme en échange. Mais Goethe avec Faust avait déjà popularisé le concept et JC aussi on ne soulignera jamais assez les conséquences néfastes du manque de culture.

    • Intéressant, merci.

      « De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent que les mesures prises sont contre-productives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. »

      Ça fait un moment que je pense la même chose, mais curieusement il semble que cette façon de procéder ne vient pas à l’esprit de beaucoup : peur d’attenter au sacro-saint principe d’égalitarisme ?

  • Un bel article tout plein de stéréotypes. Les méchants écolos gauchistes qui n’aiment pas les téléphones. les gentils et intelligents libéraux qui ont compris avant tout le monde que le plastique c’est fantastique. La provocation ne doit pas servir de prétexte à l’approximation.

    • « La provocation ne doit pas servir de prétexte à l’approximation. »

      Oui, mais ce n’est pas pire que « le mensonge au service de la volonté politique » ou « l’aveuglement idéologique ».

      Hélas, les points de vue modérés sont inaudibles. Il faut un peu de sens de l’humour pour comprendre que si c’est drôle, il y a un fond de vérité incontournable.

    • Il me semble que par ailleurs ceux qui fréquentent CP sont soit masochistes, soit quelque part d’accord sur le fond ?

      • Ni l’un ni l’autre rassurez-vous. Simplement un grand esprit d’ouverture qui permet de ne pas s’enfermer dans une idéologie en obstruant toutes les autres.

        • Un esprit d’ouverture implique déjà que l’on pense que le libéralisme a sa place dans la construction de la société. Ce n’est pas le cas de ceux qui confondent libéralisme avec « neoliberalisme » ou avec individualisme ou loi du plus fort ou obscurantisme.

  • Bonjour.
    Hier j’ai regardé sur la 23 les deux reportages sur Tchernobyl en 04/1986 et le traitement de l’info par le gouvernement français de l’époque.
    Les arguments et les mensonges du Professeur Pellerin et de toute la classe dirigeante de l’époque.
    Alors si vous pensez que la vision future et les actions à venir de notre gouvernement vont changer, vous pouvez toujours y croire. Il y en a qui croient depuis 2000 ans mais bon!!!!!!
    Bonne journée et n’hésitez pas de voir en redif le second reportage, vous aurez un arrière gout de ce que nous vivons actuellement.

    • @retraite « qui croient depuis 2000 ans » parlez vous de dieu ? si oui oh bien avant . Ne plus croire est un fait tres tres récent (à peine 2-3 siècles) et loin d’être partagé par tous (notre nation très « en avance » en athéisme et cela donne un biais cognitif sur le reste) Nos concitoyens ont déplacé cette croyance vers l’état ou vers « l’homme » à quoi je leur réponds qu’il est pour moi bcp moins grotesque de croire en dieu que de croire en l’homme (ne parlons pas de l’état je me tiens les côtes)… reste l’option de ne croire en rien mais ça fait un peu le gars qui boude et refuse de jouer alors qu il n’y a qu’un seul tour.

  • Bravo.
    Remarquablement analysé.
    Hélas personne ne remettra en cause notre géniale administration qui ferait hurler Courteline.
    Il a toujours manqué un coup de tampon à la commande des masques !

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