Par la rédaction de Contrepoints.
Le bolivar, monnaie officielle du Venezuela, est aujourd’hui relégué au rang des bouts de papier sans valeur. Ou presque. L’inflation galopante, consécutive à quatre années de crise et à la politique chaviste, a précipité le pays et ses habitants dans la misère.
Aujourd’hui, le peso colombien et, surtout le dollar américain, deviennent des devises convoitées permettant de s’offrir les rares denrées que l’on trouve au marché noir.
Reportage à Maracaibo. Les images sont signées Matthieu Comin.
Édifiant, même terrifiant 🙁
quand on pense que c’est un pays dont la politique , il y a peu, été citée exemple… et que ça ne provoque aucune remise en cause…
il suffit de commencer pas admettre l’idée que toute personne riche a nécessairement spolié la communauté et le reste s’enchaîne plus ou moins rapidement..
oui il y a des gens qui riches qui ont spolié…mais essentiellement par connivence… mais à l’évidence toute création de richesse ne provient pas de spoliation sinon le monde ne se serait pas enrichi….
spolié la nature parait il…désormais…et là c’est possible , plus exactement il est possible de se construire un système de pensée qui permette de dire cela..mais je m’en fous. moi je ne pose pas que l’environnement ne doit pas changer..
Bienvenue dans le paradis socialiste…
Voler les richesses par la dévaluation monétaire, annihiler toute propriété privée, est classique chez les cocos, méthode largement employée par les soviétiques avant qu’ils ne finissent dans la poubelle de l’histoire.
Voler la richesse est également l’objectif recherché par les Etats obèses et les banques centrales de nos pays quand ils impriment de la monnaie sans contrepartie de richesse créée. Si on ne met pas rapidement un terme aux politiques monétaires actuelles, le Venezuela sera notre destin.
Qu’en pense J.L Mélenchon de ce “paradis perdu”.?
Il s’en fout vu que c’est un escroc qui joue sur la connerie de ses adeptes!
Ca fait réfléchir, quand on voit le résultat de Mélenchon aux présidentielles… En même temps, si Macron poursuit sa politique “ultra libérale” actuelle, on se dirige gentiment vers la même situation
j’aime bien votre humour 🙂 “macron ultra-liberal” prefere la vision de Thatcher “le socialisme s’arrete quand il a depense tout l’argent des autres” et ca Micron il ne le voit pas arriver
quand il n’y a plus d’argent des autres, il y a les bras des autres (travail forcé ou goulag).
Le socialisme c’est ça !