Demain, la guerre contre la viande

L’étau des groupes de pression vegan se resserre. Manger de la viande sera-t-il bientôt interdit ?

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Demain, la guerre contre la viande

Publié le 7 janvier 2019
- A +

Par José Niño.
Un article du Mises Institute

Les régimes centrés autour des végétaux, en particulier les régimes vegan, semblent faire fureur de nos jours.

En se fondant sur la pratique consistant à s’abstenir de produits d’origine animale, le véganisme a attiré une vaste coalition de groupes d’intérêt – allant des défenseurs des droits des animaux aux militants écologistes – qui croient qu’il s’agit là du moyen le plus éthique et le plus durable de promouvoir la santé humaine et le bien-être des animaux.

Dans un premier temps, il semble que nous ayons à faire à des fondements raisonnables pour un mode de vie alternatif qui remet en question le statu quo alimentaire.

Mais en y regardant de plus près, le mouvement vegan montre des signes d’une politisation accrue et une tendance à la symbiose avec les croisades étatistes.

Le véganisme, vecteur de l’interventionnisme ?

Les derniers évènements ont démontré que le véganisme progresse non seulement dans le domaine culturel, mais aussi dans le domaine politique.

Ce n’est un secret pour personne qu’une bonne part de l’élite des organisations internationales a une aversion pour la viande. En fait, des institutions comme les Nations Unies ont demandé la réduction de la consommation de viande pour des raisons de durabilité environnementale et de santé.

Et comme toute bonne institution mondialiste, ils croient à l’utilisation de la force de l’État, en l’occurrence l’impôt, pour réduire la consommation de viande.

Mais les bureaucrates et leurs fantassins vegan ne sont pas seuls. Des groupes comme Farm Animal Investment Risk and Return (FAIRR), un réseau d’initiatives d’investissement qui surveille les fermes industrielles, est entré dans la bataille en faisant pression en faveur d’une taxation de la viande. Il ne s’agit pas d’un petite association locale d’amateurs, mais bien d’un groupe soutenu par des investisseurs qui détiennent des actifs d’environ 4000 milliards de dollars.

Les récents débats sur la taxation de la viande montrent un changement de paradigme sur ce sujet, où les politiciens, les bureaucrates, les nutritionnistes et même de puissants intérêts financiers flirtent activement avec l’idée d’utiliser le pouvoir de l’État pour décourager la consommation de viande.

Ce n’est qu’une question de temps avant que les gouvernements du monde entier ne commencent à surtaxer la viande, ce qui s’ajoute à la liste toujours plus longue des impôts que les citoyens doivent endurer.

Mais la taxation de la viande est-elle un moyen viable d’en réduire la consommation ?

Les problèmes de la fiscalité comportementale

La fiscalité comportementale n’est pas une nouveauté dans notre histoire. Tels la mouche du coche, les politiciens ont ciblé toutes sortes d’activités, comme la consommation d’alcool ou le tabac, qu’ils considèrent destructrices ; et ils ont tenté d’utiliser les gros bras de l’État pour entraver ces soi-disant vices (d’où le nom de sin taxes, littéralement taxes sur le vice, employé outre-Atlantique, NdT).

Dans la majorité des cas, cette fiscalité comportementale n’a pas réussi à réduire la consommation de ces activités. Et dans les rares cas où elle réussirait à freiner la consommation, les problèmes de la prohibition et des marchés noirs entreraient dans l’équation.

Mark Thornton décrit fidèlement les conséquences d’une surtaxation prohibitive ou de l’interdiction pure et simple de certaines marchandises ou substances :

Le fléau de la méthamphétamine en cristaux est un autre exemple de « l’effet de puissance » ou de ce qu’on a appelé la « loi d’airain de la prohibition ». Lorsque le gouvernement décrète une interdiction, renforce son application ou augmente les peines imposées à un produit comme l’alcool ou les drogues, cela se traduit inévitablement par une substitution à des drogues plus frelatées, plus puissantes et plus dangereuses.

Le principal élément à retenir de l’analyse de Thornton est que lorsque l’État impose des restrictions sur les biens et les services, il incite les acteurs du marché noir à proposer des alternatives plus dangereuses et de moindre qualité.

Si la foule des anti-viande avait gain de cause, les taxes sur la viande proposées auraient un effet similaire, car les fournisseurs louches chercheraient à tirer profit de produits carnés de moindre qualité qui s’avéreraient nuisibles pour les consommateurs.

Alors que ces alternatives commencent à produire des effets négatifs, les politiciens réagiront naturellement en intervenant encore plus. À moins que les esprits ne se calment, des interventions plus destructrices et des conséquences imprévues s’ensuivront.

De plus, tout comme la demande des consommateurs pousse les fournisseurs de viande vers des produits plus bio, sans cage et « certifiées sans cruauté », ajouter des interventions publiques aura un effet contraire, mettant ces produits hors de portée d’un plus grand nombre de consommateurs.

C’est une question de contrôle

Mis à part les arguments relatifs à la santé, le véritable enjeu de ces discussions est le contrôle. Reprenant les manières de faire des écologistes, les vegans s’appuient constamment sur des tactiques alarmistes pour faire avancer leur cause. Et leur programme ne se limite pas à des campagnes d’éducation ; il implique l’utilisation d’un État fort et centralisé pour réaliser leur vision de l’alimentation.

Pour réaliser leur vision véhémentement végétale, ces acteurs devront en définitive contrôler et réglementer les moyens de production de la viande. Le gouvernement américain dispose déjà d’un pouvoir énorme sur l’alimentation grâce à la Food and Drug Administration (FDA) et au ministère de l’Agriculture (USDA). Ces agences, sous la pression des militants anti-viande, peuvent être utilisées comme vecteurs pour mettre en œuvre des politiques uniformisantes.

Une planification centrale de ce type est la base de l’étatisme, et les dernières croisades anti-viande représentent un autre terrain de bataille que les étatistes exploiteront pour arriver à leurs fins. Au fond, le véganisme politique repose sur les mêmes bases philosophiques, mais sous des traits différents.

C’est une question de liberté

Les gens devraient être libres de choisir le régime qu’ils désirent. Le meilleur régime alimentaire est celui qu’une personne peut suivre assez longtemps pour atteindre la constitution qui lui convient et la santé à laquelle elle aspire.

Malheureusement, le véganisme a copié le manuel de l’activiste du réchauffement climatique en se présentant comme un moyen de centraliser davantage de pouvoir et de mieux contrôler les affaires privées des citoyens paisibles. Les récentes propositions relatives à la taxation des viandes rappellent fermement pourquoi il faut séparer complètement l’alimentation et l’État.

Tout comme l’État devrait rester à l’écart de nos portefeuilles, l’État devrait rester à l’écart de nos épiceries et de nos cuisines.

Cet article a été publié une première fois en février 2018.

Traduction par Benjamin Guyot de Get Ready for the War on Meat

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  • Est-ce vraiment sérieux !
    Supprimer la viande entraîne obligatoirement une augmentation des surfaces agricoles…alors qu’elles sont de plus en plus rares .qui dit surfaces agricoles en plus dit..augmentation de la consommation d’engrais d’eau et de pesticides…… à moins que le but est d’affamer la population mondiale pour réduire la population….et non le bien être animal….

    • Juste quelques chiffres reactitude : 7kg de céréales sont nécessaires pour produire 1kg de viande de bœuf. Un peu moins pour les autres types de viandes (volailles).

      A population constante, le changement d’habitudes vers une alimentation à dominante végétale mobiliserait moins de surfaces agricoles.

      On me répondra que les prairies de montagne sont impropres à la culture de végétaux, et qu’il vaut mieux y mettre des vaches en pâturage. Néanmoins, ces terres ne représentent qu’une infime partie de l’ensemble des surfaces agricoles.

      • Vous avez absolument raison. On peut aussi ajouter qu’une diminution de surface agricole destinée à l’alimentation du bétail pourrait être compensée par plus de ressources pour les bio-carburants. De préférence de deuxième génération, et sur des terres peu arables, ceux de la première venant en concurrence frontale avec l’alimentation humaine.

      • Et que ferait-on des terres agricoles ainsi libérées ? Y installer des éoliennes et des panneaux solaires ? Et on donnerait des peaux de chamois aux anciens éleveurs pour qu’ils passent leurs journées à astiquer les Cellules, un rêve humide du communisme…

        • Que faire en effet ?
          Dans le Morvan par exemple, la fine couche de terre froide sur les rochers ne donne que des pâturages pour de magnifiques charolais, il n’y a pratiquement aucune autre forme de culture possible, a part les sapins de Noël…

        • Comment ça pendant la journée ❓ Vous en faites quoi de l’ombre et de la perte de production ❓
          Ah mais, les gueux peuvent bien travailler la nuit hein ❓ Chaque watt compte non ❓

      • 8 kg de céréales sont nécessaires pour la fabrication de 1 kg de muscle humain.

      • non….vous oubliez qu’il ne faudra pas tuer les animaux d’élevage, ou alors on rigole sec ,et donc les nourrir..donc les surface utilisée pour nourrir les animaux actuellement ne sont pas « récupérable » pour cultiver à destination humaine…sans parler de qui va s’occuper des animaux.
        votre raisonnement vaut si vous effacez magiquement la population d’animaux d’élevage sans la tuer….
        si on ajoute que les engrais chimiques c’est pas écologique …retour des jachères? on regarde ça avec des grands yeux ronds…

      • en montagne on a une race de vache ,c est la vahu,moitié vache et moitié dahu,c est de la bonne viande pour les parisiens ..!!

      • Le bœuf broute généralement l’herbe du paturage, se nourrit de blé et du foin. En soi, le bétail se nourrit à 80% de productions impropres à la consommation, c-a-d les déchets de la production destinée aux hommes + la production locale et naturelle des paturages et fermes. (herbe, foin, blés…)

        Il est certain qu’en commettant les biais et les sophismes des ONG (qui ne sont pas des agences scientifiques) qui comparent les besoins caloriques du boeuf par rapport aux apports caloriques des produits agricoles, qu’en les transposant en surface agricoles, on ne peut que conclure que ça aboutit à une utilisation de surface énorme juste pour nourrir le bétail. Mais cela n’est que du virtuel…

        Il est plus probable que supprimer la viande augmentera les besoins de surfaces pour compenser, vu que l’homme ne pourra pas se nourrir des déchets agricoles, ni brouter l’herbe des vaches.

      • On ne manque pas de terres agricoles. En France la surface des champs abandonnés est très importante et d’immenses régions dans le monde sont sous exploitées. L’Afrique en est encore à l’agriculture de subsistance et les pays de l’est, de l’Asie et d’Amérique du sud sous exploités.

    • Surtout qu’on a besoin de ces surfaces pour produire du bio-éthanol…
      Si on mange tout, avec quoi va t’on rouler ?

  • Des scientifiques commencent à se mobiliser contre ces billevesées:
    http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Systemes-agricoles/Tous-les-dossiers/Fausse-viande-ou-vrai-elevage/Quelques-idees-fausses-sur-la-viande-et-l-elevage/(key)/0

    Mais réfuter une idiotie prend beaucoup de temps et oblige à la réflexion.

    • Alors la belle étude d’une organisation d’éleveurs… Elle vaut toutes les études qui ont un biais : pas grand chose.
      Bon aller, 50 L d’eau pour 1 Kg de protéines animales. Vu qu’on considère qu’il faut 500 L d’eau pour 1 Kg de protéines végétales, et que le boeuf mange des protéines végétales, je suis sceptique. On parle d’eau utile, mais sans expliquer la méthode de calcul, ou sans comparer à autre chose. Dans tous les cas : 1 Kg de protéines animales consomme plus d’eau que 1 Kg de protéines végétales. Vu que le premier a besoin du second, c’est d’une logique implacable.
      Ensuite, les gaz à effet de serre. Oh la belle blague ! Aucune information, on ne rejette pas les chiffres, on dit juste « non mais on devrait calculer autrement ». En gros : oui, l’élevage (transport de nourriture compris) pollue plus que les transports (transports purs, retranchés des fabrications des moyens de transports, etc).
      Enfin, les « fausses bonnes idées », j’ai bien ri. Supprimer l’élevage ne baisserait pas l’empreinte carbone, car les prairies absorbent le carbone. Car évidemment, si on supprime l’élevage, on rase les prairies, immédiatement.
      L’ « étude » sur les lois américaines est biaisée. Indiquer que « manger moins de viande » = « doubler l’obésité » c’est d’une profonde débilité. Les taux de sucre ont augmenté dans l’alimentation, c’est un fait. L’état a fait des lois pour réduire les graisses animales, c’est un fait. Mais en quoi les deux sont liés, mis à part cet article ?
      Enfin, je m’arrête là pour ne pas faire de pavé, mais cette étude est un ensemble d’idioties… Je ne dis pas qu’il n’y a pas d’argument pour l’élevage, je dis que cette étude n’en comporte pas.

      • Bon décorticage. Ca fait plaisir de constater qu’il existe des gens qui pensent plus loin que l’idéologie intéressée…

      • Sur la partie consommation de l’eau, vous partez du postulat que l’eau est une ressource finie, postulat qui est faux.
        L’eau est disponible, mais pas partout: quel est le problème pour « consommer  » de l’eau quand ce n’est pas un facteur limitant (en Hollande par exemple)? En Arabie Saoudite, c’est plus compliqué, d’ailleurs, il n’y a pas d’élevage ou alors, il est non compétitif car il faut chercher de l’eau dans le sous sol et ça ne dure qu’un temps.

        • C’est pourtant une ressource finie. L’eau sur terre, c’est 1400 millions de milliards de m3 dont… seulement 2,5 % d’eau douce.
          70 % de l’eau douce que nous consommons sert à l’agriculture. Quand les ressources en eau deviendront problématiques, c’est probablement dans ce domaine qu’on cherchera en priorité à réduire la conso.

          • Question JRDC : que pensez-vous des OGM ?

          • Ben de quoi vous vous plaignez, ça vous fait en supplément 50 millions de milliards de tonnes de sel pour le même prix. A 250 € la tonne…

          • Mmmm… Il y a ce qu’on appelle le cycle de l’eau…

            L’eau pour nourrir le bétail et l’agriculture provient essentiellement de la pluie, ne consomme qu’une infime partie et n’a pas d’impact.
            100% de l’eau que nous consommons ne représente pas 1% de l’eau de la pluie tombée sur terre. Et sans les collecteurs d’eau des agriculteurs, cette eau non consommée serait de toutes façons perdue.

            De plus, l’eau qui est bue par les plantes, elle n’est pas retirée du cycle. Les plantes transpirent cette eau qui s’évapore.

            Et sérieusement, qu’elle soit absorbée par les cultures, l’herbe des prairies ou les arbres, elle sera absorbée…

          • L’eau ne disparaît pas, contrairement à ce que les crétins écologistes croient. Les animaux transpirent et urinent, l’eau s’évapore, se condense et retombe en pluie. Ce n’est donc pas une ressource finie, mais recyclable!

          • « 70 % de l’eau douce que nous consommons sert à l’agriculture. »
            Et parmi l’eau potable des 30 % restants, combien servent à vous laver le c. ? Pensez-y quand vous tirerez la chasse d’eau !

      • Ca reste encore bien peu par rapport à ce qu’on dépense pour fabriquer du fromage blanc, et surtout des humains pour le conserver dans leur boite crânienne.

    • Merci pour cet article intéressant et avec une dose de bon sens comme, par exemple, la conclusion de la 3ème partie : « On en revient à des notions de base : des repas équilibrés et variés, viande ET légumes ! »

    • « Dans un premier temps, il semble que nous ayons à faire à des fondements raisonnables pour un mode de vie alternatif qui remet en question le statu quo alimentaire.

      Mais en y regardant de plus près, le mouvement vegan montre des signes d’une politisation accrue et une tendance à la symbiose avec les croisades étatistes. »

      Tout est dit : en début c’est une bonne idée,mais comme on se rend compte qu’elle vient des gauchistes, alors elle est plus si bonne que ça. Pas trop sectaires les mecs.

  • Fallacieux.
    Il suffit d’étudier les idées des mouvements antispécistes pour constater qu’ils réclament des droits fondamentaux pour les animaux (lesquels, en témoignent les études d’éthologues, à commencer par celles de Donald Griffin, sont doués de conscience et de sensibilité) : à ce titre, on flirte avec ce que disait Jeremy Bentham dans « Introduction aux principes de morales et de législation ».

    Interdire la viande ne serait que l’aboutissement de ce combat pour la liberté, n’en déplaise à vos papilles.

    Les gens devraient en effet être libres de choisir le régime qu’ils veulent, si et seulement si ils prennent soin de ne pas nuire à des êtres sentients : la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.

    • Vous placez les animaux au même niveau que les êtres humains.
      À quel niveau d’animalité vous arrêtez-vous ? Les insectes aussi ont des droits ? Vous ne dératisez pas ? Vous ne touchez pas au nid de frelons chez vous ?
      C’est bien votre mode de raisonnement qui est dangereux.
      P.S. : il est probable que les arbres soient aussi des êtres « sentients » (j’adore la novlangue…).
      Vous allez manger des cailloux ?

      • Rien de tel qu’une bonne soupe de cailloux !

        • Quand on y met du poireau, du chou, des pommes de terre, des carottes et des navets c’est très bon. Et la meilleure, c’est que le caillou est réutilisable ! On fait pas plus écologique.

          • Hola loin s’en faut ! Point de poireau, ni de carotte, ni aucun être vivant ou sentient ! De l’eau bouillie, des cailloux, et une bonne poignée de terre du jardin.

      • oui, et attention à ne pas marcher sur l’herbe. Outre le risque de génocide des êtres vivants microscopiques qui y vivent une existence paisible, rien n’exclut que les plantes soient aussi dotées d’une sorte de conscience qui dirige leur développement.

      • Bon, juste pour le plaisir… Non, les végétaux ne sont pas « sentients ». Et, s’il s’avère qu’ils le sont, eh bien ne pas manger de viande sera le meilleur moyen de les épargner.
        Je suis vegan, et si je devais manger de la viande pour survivre, je le ferai. Mais nous ne sommes pas dans une optique de survie. On peut, sans problème, vivre sans viande. On ne peut pas vivre sans végétaux. Donc, je mange des végétaux et je ne mange pas de viande.
        Et il y a une différence entre « placer les animaux au même niveau que les êtres humains » et « placer les animaux au même niveau que le caillou ». A quelle niveau de monstruosité vous arrêtez-vous ?

        • Je place les animaux au même niveau que le caillou. Essaye donc de démontrer rationnellement que je suis plus un monstre que toi. Bonne chance 🙂

          • Non ça ne fait pas de toi un monstre, j’aurai plutôt dit un tyran. Mais en contribuant à cette société, on est tous devenu des tyrans… on ne peut pas respecter les autres êtres vivants en les considérant comme des objets qu’on peut exploiter pour satisfaire nos moindres désirs sans tenir compte des leurs intérêts propres. Alors évidemment l’inverse n’est pas mieux: faire abnégation de nos intérêts et ne tenir compte que ceux des autres, mais il faut quand même nous imposer des limites! Si notre espèce est responsable en partie du massacre des autres espèces et de l’environnement, c’est je pense, en raison de cette mentalité propre au pire des tyrans. Donc à vous de voir, si vous souhaitez rester un tyran en piétinant les autres ou si par empathie vous serez capable de tenir compte d’eux et de leurs intérêts propres qui ne vont pas toujours dans votre sens. Il faut savoir faire des compromis. Mais j’en conviens ce n’est pas facile, et malheureusement, je n’ai pas la solution toute faite à ce problème. Mais déjà, faire preuve d’un minimum d’empathie et ne plus considérer les autres comme des choses, c’est un grand pas pour l’humain!

            • La nature n’a pas besoin de l’Homme pour massacrer les animaux : 99.9% des espèces (animaux et insectes) ayant existé ont déjà disparu

            • Le renard qui gobe la perdrix avec ses oeufs, le loup qui chasse les moutons vers la falaise pour s’offrir un gigot facile, l’orque qui se tape quelques manchots en apéritif, seraient-ils des tyrans ? Allons, c’est la nature, et il faut bien admettre qu’avant de l’être envers les animaux, l’homme est un loup pour l’homme. La nature, c’est manger ou être mangé, l’empathie est une affaire entre connaissances, l’éprouver envers des animaux inconnus est un luxe qui n’existe que dans notre civilisation déconnectée des réalités naturelles.

            • C’est amusant la propension des végétariens à toujours se référer à la notion du sacré de la vie. Pour des gens qui se disent totalement rationnel dans leur démarche c’est étonnant…
              On ne respecte pas les « être vivants », on respecte les individus avec qui l’ont vit en société, faire de la morale en dehors de l’humanité n’a aucun sens.

        • Moi si j’étais vegan, je ne m’autoriserais pas à manger de la viande quelle que soit la situation. C’est bien d’avoir de grands principes quand les choses sont faciles, mais ça ne vaut rien si on est prêt à y renoncer à la moindre épreuve.

          Si j’étais vegan et si je devais manger de la viande pour survivre, j’irai bouffer un ami vegan qui bien sûr comprendrait la démarche. On pourrait éventuellement faire du troc : « je te prends ce qui te reste sur la cuisse contre mon avant bras ».

      • @ laurent75005,

        +1000

        En plus comment vouloir mettre au même niveau les humains et les animaux alors que ces derniers cherchent à dominer leurs congénères en allant jusqu’à tuer les leurs ( les petits d’une mère compris ) pour être le dominant d’un clan comme chez les lions ou d’une meutes comme chez les loups.

        Encore vu dernièrement une émission sur les chimpanzés qui tuent d’autres races de singes pour les manger. Les vegsan nous expliquent que le corps humain n’est pas fait pour manger de la viande alors que nous partageons quasiment avec les chimpanzés le même patrimoine génétique.

        Les antispecistes veulent nous donner des leçons de droits fondamentaux incluant l’animal tout en en ignorant le monde animal avec ses codes et ses lois qui contre-dit leurs délires antispécistes.

      • Les Etats généraux de l’arbre – france culture

        1/https://www.franceculture.fr/emissions/terre-terre/etats-generaux-de-larbre-1

        2/ https://www.franceculture.fr/emissions/terre-terre/etats-generaux-de-larbre-2

      • C’est bien un ordre civilisationnel qui est contesté à travers différentes idéologies pour aboutir au chaos de l’indifférencié: plus de différences (homme/femme, adulte/enfant/naionaux/étrangers, homme/animal et bientôt homme/robot…), tout se vaut, le meilleur des mondes…

      • Sébastien NaTroll pourrait vous tuer si vous commettez le crime de tuer une araignée…

    • Les végans n’ont pas à imposer leur éthique à deux balle à tout le monde.
      S’ils veulent s’interdire la consommation de viande, tant pis pour eux, mais ils ne doivent pas l’interdire aussi à ceux qui comprennent que la consommation de viande est nécessaire à une bonne santé.

      • Les vegans ne veulent rien imposer. Cet article qui parle d’une « mafia vegan » me fait bien rire quand on voit le poids (financier, j’entends) des entreprises qui font de la bidoche et des produits laitiers… Et non, la consommation de viande n’est pas nécessaire à une bonne santé. A l’époque de l’esclavage, les nantis qui les exploitaient devaient se dire la même chose : s’ils veulent interdire l’esclavage, tant pis pour eux, mais ils ne doivent pas l’interdire à ceux qui comprennent que l’esclavage est nécessaire à une bonne économie. Heureusement, les mentalités ont un peu changé. Un peu.

        • Le poids financier des ces société provient de choix des consommateurs ni plus ni moins. Personne n’est obligé de manger de la viande. Personnellement j’en mange très peu vu le prix mais ça pourrait changer vu l’explosion du prix des légumes.
          Quand à l’exclavage je ne voit pas le rapport à moins de considérer les être humain comme des animaux (ou l’inverse).
          Et qu’on ne vienne pas me parler de « nature », la nature n’en en définitive qu’une gigantesque génocide permanent ou la plupart des « indivdus » meurt de mort violente dès (et surtout) la naissance. que les être humains consomme des animaux il n’y a rien de plus « naturel ».
          pour rappel les mongols ont un régime alimentaire composé presque exclusivement de viande et de lait/fromage donc non les légumes ne sont pas indispensables.

        • L’esclavage a toujours nuit à l’économie, cela a été démontré des centaines de fois. Ensuite, pour être assez proche du milieu végan parisien, il y a pas mal de fanatique, dixit ma fille qui est végane

    • Il est très intéressant de lire cet article, qui montre qu’en Occident, un régime végétarien qui accepte les produits laitiers, s’il est fait dans l’idée de ne pas consommer de viande, est inutile : https://www.contrepoints.org/2017/01/03/276553-mort-aux-vaches-se-passer-de-viande-se-passer-de-lait
      Je parle bien d’un régime végétarien, pas d’un régime végétalien.

    • Merci, Sébastien, de confirmer cet article : vous voulez donc bien imposer une nouvelle définition de la liberté, donc de nouvelles contraintes.
      En déclarant libres des êtres nullement aptes à exercer le corollaire indispensable, la responsabilité.
      Vous comprendrez que sur un site libéral, ça ne suscite pas l’adhésion des foules.

      • « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres »
        Phrase bien connue, et pour moi pas franchement une nouvelle définition…
        Et donc, si on suit votre raisonnement, les handicapés mentaux, les enfants ne sont pas libres, car pas responsables ? Et donc on peut les manger, eux aussi ? Chouette alors, moi qui pensait que c’était condamnable. Merci humpty-dumpty de confirmer que la définition qui convient, c’est la votre, point.

        • Effectivement, les enfants et les handicapés mentaux ne sont pas libre parce que justement pas responsable. Ne faite pas semblant de comprendre ce que cela signifie et qui n’a rien à voir avec le fait de pouvoir être mangé ou non.

        • Comparer des enfants à des animaux…
          En tous cas, il existait une égalité humain-animaux en Allemagne durant les années 30, où des humains étaient envoyés à l’abattoir…

    • Oui dans le sens de « ne pas nuire à des êtres sentients » signifie respecter ses règles d’hygiène, d’élevage et d’abattage respectueuses du bien-être animal, de l’éleveur et du consommateur.

    • Quand on est gosse dans une ferme on pleure quand on tue le veau la poule le lapin ou le cochon…mais comprend très vite.. ça n’est pas cruel, c’est le mode de vie ancestral ou la viande est certes un luxe..Il n’y a rien de cruel..c’est dur mais la vie est dure!!!!
      Que les animaux soient sensibles n’est pas la question..on sait que eux à feraient pareils pour nourrir leurs petits…Et point barre.
      Alors je peux comprendre qu’on se refuse à manger de la viande mais me faire croire qu’on est un être supérieur pour ça sur le plan moral…mon œil.

    • « et seulement si ils prennent soin de ne pas nuire à des êtres sentients » (moi aussi j’adore la novlangue, surtout parce qu’elle sert de pensée apparente à ceux qui en sont démunis).
      Car vous oubliez un paramètre : si la viande est interdite, disparition des animaux d’élevage, sentiens ou non.

    • Dites cela à toutes les espèces qui vivent en consommant les autres! Nous ne sommes pas les seuls et un tigre vous dévorerait bien pour son déjeuner! Jusqu’où va se nicher la bêtise. Nous sommes même devenus plus sapiens grâce à la viande, plus calorique, qu’exige notre cerveau!

  • C’est surtout une question de sante. L’idee que la viande est mauvaise pour la sante est tout simplement fausse, et si la consommation de viande continue de diminuer les problemes de sante (y compris mentaux) ne vont qu’empirer. C’est une catastrophe pour l’humanite et mon seule espoir est que cette folie ne soit limite qu’a l’occident.

    • Cette « folie » dont vous parlez est incluse dans un certain nombre de sagesses orientales, principalement (à ma connaissance) d’origine indienne. La différence entre eux et nous, c’est que ceux qui suivent ce type de régime le font comme une partie de leur culture, au fil des âges on peut donc espérer qu’ils ont réussi à équilibrer leur régime alimentaire. Ce qui n’est pas le cas de notre bobo local qui va suivre les conseils d’on ne sait quel « gourou » auto-proclamé qui pose en blouse blanche sur la couverture de son livre.

      • Attention, en effet, aux contre-sens. Historiquement, la viande fut jusqu’au siècle dernier une denrée rare et chère, et peu disponible. Par ailleurs, diverses philosophies ou religions en ont réglementé la consommation au titre de la pureté rituelle. Les interdictions pouvaient concerner les types de bestiaux, les techniques culinaires, les périodes de l’année ou certaines castes.
        En Chrétienté, les végétaliens purs et durs étaient des moines ou des grands pénitents. N’oublions pas cependant que le meurtrier Caïn, fondateur de la première cité, était un cultivateur et Abel le Juste un prince-pasteur, viandard invétéré de son état.

    • Et ceci est, bien sûr, basé sur absolument rien. La viande n’a aucun rapport fondé avec la santé mentale (quelle idée…). Le seul qu’on peut lui trouver est celui lié à l’augmentation de notre capacité cérébrale il y a des années. Et c’est la chasse, et non le produit de cette chasse, qui a permis ce développement. Quant à la viande qui est mauvaise pour la santé : elle est mauvaise si on en mange beaucoup. Et, pour le coup, les études sont là pour le dire. Et le problème dans votre occident si cher à votre coeur, c’est qu’on en mange beaucoup, beaucoup.

  • C’est cela, on va surtaxer la viande, sauf le halal parce qu’il faut respecter toutes les cultures.
    Et la carotte, qui entend son cri de détresse quand on la croque vivante?

    • Vous voulez sauver les carottes ? Alors arrêtez la viande et mangez des légumes ! Pour 1 Kg de protéines animales, il faut entre 5 et 10 Kg de protéines végétales. Et ne pensez pas que les surtaxes de la viande viennent de lobbies vegan, car les lobbies vegan n’existent pas, hélas. Et, même s’ils existaient, les lobbies de la viande et des produits laitiers les écraseraient sans le moindre soucis.

  • Ces idéologues perdent de vue que la nature est sauvage et que les animaux ne se font pas de quartiers entre eux. En mangeant de la viande, l’homme n’est qu’un animal comme les autres.

    • Les prédateurs ont les yeux placés sur la face pour chasser (lions, tigres, hommes, aigles,…), les non-prédateurs ont les yeux sur les côtés pour surveiller et éviter les dangers. Devra-t-on envisage rune chirurgie correctrice avec transfert des yeux sur les côtés?

      • Oui, mais non. Les yeux sur la face, on voit les oiseaux de proie (prédateur donc), les mammifères carnivores, et les primates. Oui, juste « les primates ». Pas « les primates carnivores » ou « les primates prédateurs ». Le gorille est végétarien, sauf pour quelques insectes. Mais si on considère que manger des insectes c’est être un prédateur, le dangereux fourmilier, avec ses yeux sur les côtés, est lui aussi un prédateur.
        Quant à dire que « la nature est sauvage et les animaux ne font pas de quartier », bel argument de tous ceux qui mangent de la viande, on en reparlera quand vous irez chasser un animal vous-mêmes, hein 🙂 Parce que je vois peu de prédateurs aller chasser dans un supermarché. Ni élever des millions de proies pour les manger. Sans bouger ses fesses. L’homme est un animal comme les autres sur le plan physique, rien de plus.

    • Moi aussi je suis un dangereux prédateur quand je mange une pizza au chorizo devant le foot, le samedi soir ! Je n’y peux rien, après tout c’est ma nature.

  • Ces fascistes renient l’évolution de l’être humain. L’Homme mange de la viande depuis 3,5 millions d’années, il la mange cuite depuis qu’il a découvert le feu. Cette consommation de viande a dévéloppé son physique et son cerveau. S’il n’avait pas mangé de viande il serait un primate égal aux singes, chimpanzés, orang-outang et autres gorilles. Sauf que comparés à ces trois espèces, nous sommes bien faiblards.

    • Non, la chasse a développé le cerveau. La viande était en effet le produit de cette chasse. L’homme a aussi vécu nu pendant quelques millions d’années, et il a aussi été anthropophage, esclavagiste, etc. Dire qu’il faut manger de la viande car « on a toujours fait comme ça », c’est aussi dire qu’il faut vivre à poil et continuer l’esclavage car « on a toujours fait comme ça ». Et pas franchement de fascisme ici non plus, que je sache aucun vegan n’est allé vous enlever la viande de la bouche…

      • @RobinG
        Bonsoir,
        La chasse a développé une partie du cerveau, la viande a amélioré son développement grâce aux protéines animales.
        Je n’ai pas dit qu’il fallait manger de la viande parce qu’on a toujours fait ça, je dis que la consommation de viande a permis à l’Homme de devenir ce qu’il est de nos jours.
        Quant à vivre à poil, des tribus vivent encore avec peu de vêtements. Et puis il y a les nudistes dans leurs réserves.
        Concernant l’esclavage, il existe depuis le Néolithique depuis donc 11000 ans. Du coup, le « car on a toujours fait comme ça » est un peu éventé.
        « Et pas franchement de fascisme ici non plus, que je sache aucun vegan n’est allé vous enlever la viande de la bouche… »
        Vu qu’ils veulent passer par l’Etat et sa puissance pour obliger le reste de la population à suivre leurs idées, il y a fascisme. De plus, m’enlever la viande de la bouche, je voudrais bien voir un végan le faire, sachant qu’aucun végan ne le fera seul, il sera accompagné.

      •  » L’homme a aussi vécu nu pendant quelques millions d’années, et il a aussi été anthropophage, esclavagiste, etc. Dire qu’il faut manger de la viande car « on a toujours fait comme ça », c’est aussi dire qu’il faut vivre à poil et continuer l’esclavage car « on a toujours fait comme ça ».  »

        Vos exemples ne sont pas pertinentes. Les hommes n’ont jamais été en permanence esclavagistes jusque à son l’abolition dans les sociétés civilisées tout comme pour l’ anthropophagie qui ne concernait qu’une une minorité d’humain dans certaines tribus. Par contre manger de la viande est dans la nature de l’homme. Les grands singes dont nous partageons un patrimoine génétique à 98,5% consomment de la viande.

         » Et pas franchement de fascisme ici non plus, que je sache aucun vegan n’est allé vous enlever la viande de la bouche…  »

        Aller saccager des Mac do en faisant fuir les clients, j’appel ça empêcher aux gens de manger de la viande.

        http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Des-activistes-veganes-attaquent-un-McDonald-s-19091166

    • Effectivement, la cuisson améliora le cycle digestif et donna du loisir en raccourcissant la sieste. La viande fut une source de protéines sans doute essentielle pour Tonton Néandertal.
      Les produits carnées apportent à peu de frais des acides aminés essentiels. Un régime végan nécessite souvent des compléments alimentaires en raison de carences, souvent fatales aux nourrissons assoiffés de bon lait.

    •  » S’il n’avait pas mangé de viande il serait un primate égal aux singes, chimpanzés,  »

      Les chimpanzés mangent de la viande. Ils vont même jusqu’à tuer d’autres races de singes pour se nourrir de viande.

  • Point Godwin: Hitler était végan!
    Pour les nazis, le véganisme faisait de parfait petits fanatiques belliqueux à la différence des paisibles viandards épanouis.

  • Le modèle de société végan est celui de Caïn. Il nécessite la propriété exclusive des labourages et une maîtrise totale du temps et de l’espace. Il fonde la cité politique et la propriété foncière. Son fils Lamek inventa la raison d’État qui ne pardonne pas et qui permet au tyran de massacrer des enfants pour presque rien.

    Au contraire, le modèle pastoral d’Abel repose sur la solidarité clanique et la libre circulation des personnes et des bêtes sur les verts pâturages. La viande calme-t-elle le désir de vengeance?

  • Je me demande des fois si les vegans font toujours ce qu’ils prétendent. Comme pour les régimes pour perdre du poids; être vegan demande à se que l’on se prive d’ un tas d’aliments et que beaucoup comme pour ceux qu’ils veulent maigrir, doivent lutter en permanence contre des envies d’aliments proscris et que je ne serait pas étonné que beaucoup de végans s’alimentent en cachette de produits à base de protéine animal ( genre desserts à la crème, chocolat au lait, yaourt, fromages ou plat au fromage ou même viandes cela pour calmer des frustrations alimentaires. Si beaucoup de personnes qui font des régimes pour perdre du poids craquent sur des aliments par des envies trop fortes, je ne vois pas pourquoi les végans seraient miraculeusement immunisés contre des trop fortes envies d’aliments interdits. En plus quand on sait que les donneurs de leçons c’est souvent:  » fait ce que je dit mais pas ce que je fait « .

    Je suis presque sur à 100% que bon nombre de Vegans sont de gros hypocrites.

    • Il y a beaucoup de nourriture vegan savoureuse, ayez la curiosité un jour de vous rendre dans un restaurant vegan pour goûter quelques mets. Vous verrez que la vie des vegans n’est pas un chemin de croix !

      Quand bien même un vegan dérogerait parfois à son régime : et alors ? Pour moi, il n’y a pas grande différence entre manger 100g de produits animaux / an et en manger 0g/an, n’est-ce pas ?

      • « Pour moi, il n’y a pas grande différence entre manger 100g de produits animaux / an et en manger 0g/an, n’est-ce pas ? »
        Tout à fait. C’est la même chose que de promouvoir transition énergétique et énergies vertes, suppression des énergies fossiles, interdiction des comportements énergivores (le tout avec l’argent des autres) et se payer un gros 4×4 pour ses petites sorties personnelles…
        Le même genre d’hypocrisie qui veut appliquer à tous ce qu’ils n’arrivent pas à s’appliquer à eux-mêmes.
        On connait très bien le mode de raisonnement.

      •  » Quand bien même un vegan dérogerait parfois à son régime : et alors ?  »

        Et alors? Vous trouvez normal que ces gens là qui veulent nous imposer un mode de vie radicale seraient même pas capable de s’y tenir eux-même?

      •  » Il y a beaucoup de nourriture vegan savoureuse, ayez la curiosité un jour de vous rendre dans un restaurant vegan pour goûter quelques mets. Vous verrez que la vie des vegans n’est pas un chemin de croix !

         » C’est sur que d’être vegan juste 2 heures dans un resto pour un repas c’est très facile de s’y tenir.

    • Ne généralisez pas votre cas.
      L’envie de certains aliments est conditionnée au sens pavlovien le plus littéral. Au bout d’un certain temps cette envie disparaît.

  • L’article prend beaucoup de raccourcis : selon l’auteur, les politiciens bobos n’aiment pas la viande, ils veulent donc priver les citoyens de leur libertés en la taxant.

    La réalité est différente : la production industrielle de viande pose de nombreux problèmes environnementaux (pollution de l’eau, des sols, émissions de GES) et est très consommatrice de ressources (surfaces de culture, eau, pesticides, énergies fossiles). Ce sont ce qu’on appelle des « externalités négatives » : pour le moment, personne n’en supporte le coût, si ce n’est nos enfants, ou la collectivité. Plutôt que de continuer à subventionner l’élevage intensif, les groupes de défense de l’environnement proposent de la taxer pour internaliser ces coûts et donc faire en sorte que ce soit le consommateur qui paie.

    • En définitive c’est toujours le consommateur qui paie d’une manière ou d’une autre. Si toute ces soit disant externalité sont intégré dans les couts alors le prix de la viande explosera, sa consommation également et seuls quelque uns pourront alors en acheter ce qui mettra au chaumage quelques millions d’éleveurs. Mais vous pouvez être sur sur que surgiront les élevages « au noir » et un marché parallèle car il n’y à aucune raison pour que la demande s’effondre d’un seul coup.

    • si les externalités existent bien..leur évaluation quantitative peut laisser dubitatif..certains vous diront que la disparition du cafard poilu du tonkin serait inestimable..et l’estimeront à vachement de fric. et vous expliqueront que toute action qui met en péril ladite bestiole doit être interdite…

    • @deuxenun

      « taxer »

      Chemin socialiste par excellence.
      Mauvais choix, mauvaise réponse.

  • @ Sébastien natroll avec votre raisonnement on ne peut plus manger de végétaux non plus, ce sont des êtres vivants qui souffrent lorsqu’on s’attaque à eux ( cela a été prouvé par de multiples études sérieuses) Je suis fana de botanique, j’ai énormément de plantes chez moi quelle je tiens énormément, ce n’est pas pour ça que je ne mange pas de plantes et pire, que j’interdit aux autres d’en manger

  • Gestion de l’eau, des ressources alimentaires, réchauffement climatique, accélération de la démographie, bien-être animal, cancers, véganisme… tout s’imbrique pour une réduction inéluctable des régimes carnés.
    Les végans ne sont que les idiots utiles de cette tendance de fond. Ils seront certes mis en avant pour apporter une caution morale à l’exercice, mais le fond du fond du problème sera d’abord économico-environnemental.

    • Le réchauffement est globalement une bénédiction pour l’agriculture, encore quelques degré et la Russie deviendra un paradis agricole. manger de la viande ne donne pas de cancer (sinon les mongoles serait au courant). Quand à la démographie ont sait maintenant qu’il n’y aura jamais beaucoup plus de 10 milliards d’être humain sur terre, le plateau de croissance de la population humaine devrait être atteint durant ce siècle avec en grand nombre de pays qui vont voir leur population diminuer fortement et pas des moindres (toute l’occident, la chine, le japon, la russie etc…)

      • il parle de réduction inéluctable des régimes carnés… euh pourquoi pas…pas de date..pas d’évaluation quantitative..
        à vrai dire… je mettrais le prix et la qualité de l’énergie accessible en premier pour conduire à la diminution inéluctable d’un tas de trucs.

        la viande donne le cancer…( lequel?) …ou pas , ça n’a pas d’intérêt hors considération quantitative et circonstances..

        les mongols ont aussi des cancers peut être causés par la viande et qu’est ce que bien leur foutre? que peuvent ils manger d’autre???

        les végans ici sont des gens qui ont le choix et lesmoyens..des riches qui donnet des leçons de morale aux pauvres…

        • Viande et cancer : dans l’étude de l’OMS, il y a eu agrégation des viandes rouges et de la charcuterie. Jusqu’à preuve du contraire, je pense que c’est surtout la charcuterie, à cause des agents de conservation qui pose problème. Comme le poisson fumé pour les pays nordiques. La réduction de l’alimentation en viande fumée (en Finlande je crois) a eu un impact considérable sur la baisse des cancers des voies digestives.

          • oui…reste qu’e ce n’est pas si important…

            nous sommes des individus qui sommes exposés à de multiplies causes de décés.. dont celle liée à la consommation de viande..
            soit…
            soit vous et votre frère jumeau … éclairé dès votre jeune age aux danger de la viande vous décidez de vous en passer durant toute votre vie contrairement à votre frère..dans le BUT de vivre plus longtemps..
            d’après vous quelle est la probabilité que votre frère vive plus vieux que vous?
            proche de 50%… comme si vous n’aviez rien fait…

            donc c’est un choix de vie faisable…mais pas si pertinent que ça au point de vue individuel.ça fait sens sur une population..et pour la sécu..qui s’intéresse à baisser le nombre de cancer de 5%…
            une vie sobre en alcool, sans tabac, en bougeant un peu, en évitant les métiers à risque chimique ou physique est un bien meilleur pari! mais c’est toujours un pari…perdable.

            • avec le frère jumeau qui vit à peu près comme vous par ailleurs bien entendu…

              toutes ces études qui mettent en évidence des corrélations à la noix et des dangers potentiels rendent les gens stupides…mais passionnent les assureurs.
              en outre quand on parle d’alimentation..on doit parler de mode de vie..les discussions sur les dangers ou les bienfaits liés à un aliments sont risibles quand elles ne sont pas basées sur du vent épidémiologique.

  • C’est ennuyeux, j’ai une vague idée de ce que je dois manger pour rester en bonne condition générale de santé…je fais comme papa et maman qui ont vécu assez vieux en mangeant d’ailleurs assez peu de « viande » quand ils étaient mômes..

    j’ai impression que le véganisme a un énorme interet c’est que que les véganistes aient tort ou raison, on ne sait d’ailleurs même pas sur quoi, ils vont pouvoir se poser en personnes de bien durant un bout de temps..ce n’est pas demain la veille que la consommation de viande va cesser…une vie entière à pouvoir donner des leçons..le pied…

    je connais des végans…des gentils qui ne donnent pas de leçons… mais d’un autre côté..qui ne sauvent pas l’humanité de grand chose. quand je regarde leur mode de vie…bof.souvent urbains d’ailleurs..

    Je répète un fait…si on ne mange plus de vache…il n’y aura quasiment plus de vaches…non?
    En outre les animaux ont la fâcheuse tendance à bouffer les cultures..aussi..si faire du mal aux animaux est insupportable…quel place donner à la faune et quel droit donner à la faune?
    parce que ne pas tuer le sanglier qui me bouffe mes petits poison mais mais le déplacer ailleurs , c’est en général le condamner à mort de faim… ce qui n’est pas cool…je dois donc en plus réintroduire des prédateurs du sanglier pour les contrôler de façon  » humaine » ..

    eh oh si on ne tue pas les animaux..ils nous « bouffent » ou bouffent ce qu’on veut bouffer ..et même pas par méchanceté..

    quel place doit avoir l’homme…au sens de accès à la biomasse produite..????

    • « Je répète un fait…si on ne mange plus de vache…il n’y aura quasiment plus de vaches…non? »
      Celles qui resteront vivront mieux… Peut-être se retransformeront-elles avec le temps en aurochs, animaux très ressemblants à nos vaches mais autrement plus vivaces. En réalité, l’homme, en domestiquant les animaux, pour les bouffer, a surtout cherché à les rendre plus dociles.
      Sur un plan éthique, autant je m’arrange assez bien avec le fait de manger des poissons qu’on pêche, ou des sangliers qu’on tue, autant j’ai plus de mal avec les animaux qu’on fait naître, qu’on élève, dans des conditions qui s’apparente à de l’esclavage, et qu’on tue, alors qu’ils sont très jeunes. La plupart des animaux de fermes sont tués au bout de 1, 2 ou 3 ans, alors qu’ils pourraient vivre plus de 10 ans…

      • on les élève pour les manger je n’ai pas de problème avec ça…..donc ce n’est pas manger de la viande qui vous pose problème?
        mais je m’adresse aux gens qui refusent de consommer des produits animaux…

        il y a une question de fond..quel place doit avoir l’homme…au sens de accès à la biomasse produite..????
        parce que si tu ne veux pas tuer un animal..que tu as besoin de produire ta nourriture…que tu trouves que les animaux ont des « droits » voire qu’il est scandaleux qu’ils crèvent de faim..il y a une impasse ou plutôt un escamotage celui de savoir si l’homme a le droit de vivre et sa population de croître..

      • @Jean Roule Du Cable
        Bonjour,
         » En réalité, l’homme, en domestiquant les animaux, pour les bouffer, a surtout cherché à les rendre plus dociles. »
        L’Homme s’est mis ainsi à disposition une source de nourriture plus accessible que les animaux sauvage. En domestiquant, il a épargné les espèces sauvages en arrêtant de les chasser.

        • « En domestiquant, il a épargné les espèces sauvages en arrêtant de les chasser. »
          Ce n’est pas l’impression que j’ai. On a continué à chasser, mais pour le plaisir, pour la régulation (sanglier)… ou par bêtise (corne de rhino)…

          • @Jean Roule Du Cable
            Bonsoir,
            La régulation de la faune est dûe au manque de grands prédateurs dont le loup, qui a été décimé par des chasseurs certes, mais par un désir politique de le supprimer. Il revient et c’est la panique.
            Pendant des siècles, la chasse a été réservée à une élite : en France c’était les aristocrates. Aucun manant, aucun serf, ne pouvait tuer un lièvre pour se nourrir.
            Malgré cette régulation, la population de sangliers se portent bien, on en a vu en centre ville de Toulouse. J’y ai même vu trois chevreuils en pleine nuit hors du centre-ville mais en ville tout de même. (dans le quartier de l’hôpital Rangueil)
            Je ne chasse ni ne pêche, mais je côtoie une dizaine de chasseurs et tous consomment la viande qu’ils chassent.
            Il reste la chasse « sportive », comme les safaris où on tue des lions, des éléphants, des rhinocéros, pour des raisons autres que la subsistance. Les braconiers le font pour l’argent, et souvent ils sont pauvres. Pour être clair, je ne comprends pas les « chasseurs sportifs » : il n’y a pas de sport à descendre un animal sauvage avec un fusil à lunette pour ne garder que la tête à mettre sur une plaque au mur, ou pour faire une photo. Cela doit relever de la psychiatrie et de quelque complexe d’infériorité.

  • Je parie qu’on y aura droit.

  • Il faut arrêter de dire n’importe quoi.

    Oui la loi peut interdire certains aliments. La consommation de chiens et de chats est interdite en France, et personne ne s’en plaint.

    Maintenant, l’alimentation carnée implique des souffrances pour les animaux, qui sont élevés dans de mauvaises conditions, et qui sont tués à un très jeune âge. En résumé leur vie est brève et malheureuse. Si nous pouvons nous passer d’infliger des souffrances pourquoi ne pas le faire ? c’est du simple bon sens.

    • C’est votre liberté mais vous n’avez pas à l’imposer aux autres

    • Tout éleveur sait qu’il a intérêt à fournir de bonnes conditions à ses animaux. En résumé, leur vie domestique est facile et heureuse, si on la compare à la vie sauvage.

      • Il faut vraiment ne rien savoir pour affirmer ce genre de choses.
        Le raisonnement « x a intérêt à y donc il ne fait pas non y » est une absurdité.

        • C’est vous qui êtes définitivement d’une incompétence crasse envers les élevages.!!
          Vous n’êtes pas capable de comprendre un fait de base pour tous les élevages quel qu’ils soient: Pour que des animaux produisent un maximum, des litres, des oeufs ou du GMQ (viande), ils faut qu’ils soient « bien, » non stressé, dans de bonne conditions de vies. Comme toutes entreprises économique, les élevages doivent être rentable.!!! (vous arrivez a le comprendre au moins cela??) Donc même un éleveurs qui n’en a rien a faire du bien être animal (ce qui est très rare) doit produire le plus possible et donc il doit avoir des animaux en pleine santé et sans stresse! C’est une base de travail indispensable de toutes les élevages!
          Pb les cerveaux a 2 de QI ou écolobloquer n’arrivent même pas a concevoir ce fait pourtant obligatoire pour tous les élevages.
          Dire que les animaux d’élevage sont maltraité est un non sens pour tous les éleveurs et une grosse connerie que certain comme vous, buckyhorsy n’arrêtez pas de répéter en nous prouvant votre niveau zéro de connaissance/compétence sur le sujet. De ce fait(incompétence crasse, incapacité a voire les vérités,…) vos interventions ne feront jamais avancer les débats puisqu’ vous parler de ce que vous ne connaissez pas vu le niveau de bêtise où vous en êtes!.

          • GMQ= gain moyen quotidien, c’est à dire la prise de poids
            Vaut mieux le préciser, ça permet à des buckyhorsy de s’instruire un minimum.

            Sinon, un petit point: les hommes ont fait de l’élevage pour utiliser les déchets ou coproduits qu’ils ne pouvaient pas utiliser, comme le son des céréales, les tourteaux des oléagineux, les produits végétaux cellulosiques (l’homme ne les digèrent pas), mêmes les coproduits animaux.
            De produits très basiques, ils sont « transformés » en produits très sophistiqués (laine…) et autres protéines à forte valeur biologique (viande, lait, oeufs). Un beau cycle vertueux, vous ne trouvez pas?

            • « […]et autres protéines à forte valeur biologique (viande, lait, oeufs).  »
              Des œufs ? Mais vous n’y pensez pas ! C’est au mieux de l’esclavage, et au pire vous mangez les bébés de poules qui n’ont jamais vu un coq de leur vie !

      • Vous croyez que la vie d’un poussin qui est passé à la broyeuse dans la première heure de sa vie est plus heureuse que celle qu’il aurait dans la nature. Voilà ou est l’intérêt de l’éleveur.

        • Dans la nature, le poussin surnuméraire serait mort après de longues minutes de souffrance, voire plusieurs heures, à moins que le renard n’ait eu le bonheur de passer par là au bon moment.

          • Dans la nature le poussin a une chance de vivre, il n’est pas condamné à sa naissance parce qu’il est mâle (poules pondeuses) ou femelle (poulets à viande) à une mort atroce. Vous vous jetteriez dans une broyeuse pour abréger vos souffrances ? bien sûr que non alors ne venez pas nous raconter que ce n’est pas une atrocité.

            • Et si on suit votre raisonnement comme vous pouvez potentiellement souffrir longuement à cause d’une maladie on peut vous jeter dans une broyeuse pour améliorer votre sort.

              Faites vous un cadeau
              http://www.cahiers-pedagogiques.com/La-logique-ou-l-art-de-raisonner

              • Vous êtes ridicule.. et vos arguments contre productifs. Dénoncer la maltraitance animale est une chose, mais on peut très bien manger de la viande sans faire souffrir l’animal.

                • C’est vous qui êtes grotesque de hurler au dictateur parce qu’on vous interdit de manger du chien.
                  Votre jugement sur mes arguments me laisse indifférent car vous n’avez aucune idée de ce qui est productif ou pas.

                  En niant la souffrance animale liée à l’alimentation carnée vous niez la réalité au profit d’une utopie exactement comme les gauchistes.

                  • « Votre jugement sur mes arguments me laisse indifférent »
                    Alors ne venez pas discuter sur un site libéral. sortez de vos certitudes.
                    Vous n’êtes pas ‘l’élite’, d’autres opinions existent qui sont tout aussi respectables.
                    Cordialement.

                    • Votre jugement me laisse indifférent parce n’ayant pas l’expérience de l’activisme pour la défense des animaux, vous ne savez pas ce qui est productif ou pas.
                      Je n’ai pas de leçon de libéralisme à recevoir.

                    • Mon dieu mon dieu.

                      On en tient un bien. Droit dans ses bottes.

            • @buckyhorsy
              Bonjour,
              « Vous vous jetteriez dans une broyeuse pour abréger vos souffrances ? »
              Il y a bien des personnes qui se pendent avec une corde, ouse jetent d’un pont, d’un toit, ou avalent des médicaments pour mettre fin à leurs jours.
              Admettons que le combat contre la consommation de viande soit un succès. La production de viande bovine ou de volaille n’a alors plus d’intérêt. Le bétail ne se reproduit plus, les volailles non plus. Plus de viande de boeuf ,ni vache, ni de poulet rôti, ni oeuf, ni lait puisqu’il n’y aura plus ni taureau ni coq ni poule. Disparition de la vache folle et de la grippe aviaire. Ensuite ? Quel combat ? Faire en sorte que les prédateurs sauvages cessent leur mode de subsistance ?

    • J’élève clandestinement des chiens destinés à la consommation, et je peux vous assurer que j’ai de nombreux clients qui ne comprennent pas qu’on puisse interdire un met si délicat.

    • @ buckyhorsy
      Votre bon sens déconne. L’homme est un omnivore, c’est cela le bon sens!

  • On y arrive rapidement. Ma fille etudie a Berkeley depuis une annee et elle ne mange presque plus de viande. Il y a une forte pression anti viande dans cette Uni. Apres cela se disperse rapidement, comme pour la cigarette.

    • De tout temps il a existé des minorités plus éclairées que la masse, qui refusent les pratiques barbares et font évoluer la civilisation.

      • @buckyhorsy

        « Civilisation ». C’est un bien grand mot. Quant à l’évolution, elle est surtout technique. L’histoire de l’humanité est une longue mouvance de minorités plus éclairées que la masse.
        Juste, Vous pouvez être végan, vous pouvez juger autrui cruel et barbare. Mais cela devrait s’arrêter là. L’histoire a montré que des êtres « civilisés » et plus « éclairés » vont souvent au-delà de ça car ils ne se jugent ni cruels ni barbares de leurs points de vue à eux.

        • L’évolution est d’abord mentale, puis culturelle et institutionnelle, car la technique n’évolue que si l’environnement est favorable. Les idées libérales ont précédé, et rendu possible, la révolution industrielle. Cela n’a pas été l’inverse.

      • @ buckyhorsy
        Donc vous êtes plus évolués que nous! C’est cela que vous sous entendez, et la raison de votre lubie grotesque! Vous vous sentez mieux quand vous pavanez?

    • @ Fabien
      Berkeley est l’Université la plus gauchiste des USA! Cela explique les âneries qui s’y passent. Les USA ne sont plus le pays de la liberté à cause de leurs universitaires, encore plus intolérants que les nôtres!

  • L’anorexie est une maladie mentale, phénomène par lequel la personne malade imagine résoudre un autre problème indicible.
    Pour beaucoup le Véganisme en est une variante. C’est ce que j’ai pu observer. Ceci étant rappelé,
    Que l’on mange trop, mal, et trop de viande, chez les gens aisés des pays développés, c’est sûr, les conséquences sanitaires sont visibles, ce n’est pas bon pour notre santé, c’est une simple question d’éducation et de diététique.
    Les théories Véganistes, et d’autres, comme celles du sans sucre remplacé par des saloperies, (Entre deux Whisky), du sans Gluten, par des illuminés qui n’ont aucun problème, etc. … Sont des théories débiles de minorités de malades en mal de reconnaissance.
    « Le droit a la différence », qui en réalité n’en n’est pas un est devenu l’obsession d’être vu, le droit a être plus c– et radical que le voisin.

  • Ami végan, occupe toi de ta gamelle et ne met pas ton nez dans la mienne car alors, nous ne serions plus des amis…!

  • Ce qui est effarant, c’est le pouvoir acquis par certaines minorités militantes grâce à la complaisance des médias. Il est évident que les gens du peuple n’auraient jamais eu l’idée de certains combats, ils ont d’autres préoccupations.
    Dès lors, il faut s’interroger: au service de quels intérêts travaillent les médias, ou du moins la très grande majorité d’entre eux?

  • Le véganisme est juste l’application de l’Agenda 21, Agriculture et production  » DURABLE », la priorité est la production végétale. Lire cet Agenda vous en apprendrez des choses, ah! j’oubliais regarder aussi « smartgrids-cre.fr » et ouvrir le menu « Dossiers » pour rire. Et il ya aussi « ma santé 2022 » qui est pas mal.

    • C’est juste l’application du programme officiel global décidé par l’élite mondialiste, trotskiste , globaliste. L’économie libéral, c’est fini. Le futur c’est les grosses multi-nationales monopolistiques et le bétail pour travailler, consommer et mourir. Gestion du cheptel humain.

  • « le véganisme a copié le manuel de l’activiste du réchauffement climatique en se présentant comme un moyen de centraliser davantage de pouvoir et de mieux contrôler les affaires privées des citoyens  »
    Tout est dit.

  • Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire ici,
    les ours aussi ont leur végétariens, ce sont les pandas.

    Et franchement ce sont les plus stupides des ursidés…

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Article original paru dans Mises Institute.

 

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