Par Benoît Gobitz.
Nous sommes profondément reconnaissants à toutes celles et ceux qui ont contribué à nous soutenir en cette fin d’année 2018 pour récolter les 90 000 euros nécessaires à la survie de votre journal en 2019.
Il semble que 76 000 euros ont déjà été versés et nous avons vraiment besoin de récolter les 14 000 euros restant pour poursuivre notre travail et notre développement en 2019.

Soutenir Contrepoints, c’est
- Défendre la promotion des idées et valeurs libérales, sans compromission ni attache partisane, dans un pays qui en a urgemment besoin ;
- Garantir un accès à une information indépendante et de qualité, lue 2 millions de fois par mois ;
- Soutenir l’action d’un journal qui est devenu un multiplicateur d’audience pour les autres voix et associations libérales françaises.
Nos frais de fonctionnement sont réduits au maximum avec un rédacteur en chef, un journaliste en semaine et une journaliste le week-end.
Nous avons pour seuls revenus quelques revenus de publicités et… vos dons. Nous refusons toute subvention alors que le reste de la presse bénéficie de plusieurs milliards d’aide publiques, quelquefois (souvent ?) pour diffuser des idées toxiques pour le pays.
Dans un pays où les dépenses publiques menacent d’atteindre 60 % du PIB, où la dette publique atteint 99 %, où les crises de l’emploi, du logement, des transports, de l’éducation, des retraites et de la sécurité sociale sont largement causées par le contrôle direct de l’État ou par ses réglementations envahissantes, tatillonnes et contre-productives, faites partie de ceux qui savent à quel point il est important de repousser les idées fausses, chaque jour.
Un très grand merci du fond du cœur à celles et ceux d’entre vous qui l’ont déjà fait et à celles et ceux qui sont sur le point de le faire !
Votre dévoué,
Benoît Gobitz
Directeur de publication – Contrepoints
Vous ne respectez pas l’opinion de vos lecteurs. Pour ma part qui suis libéral, j’ai été plusieurs fois censuré. Mes interventions ont été à plusieurs reprises effacées. C’est bien votre droit, mais cela dénote d’une nature déviante, loin du libéralisme des idées.
D’ailleurs, je ne suis pas le seul à m’en plaindre.
J’ai déjà contribué financièrement pour vous soutenir, certes modestement. Aujourd’hui, connaissant mieux votre conception du libéralisme plus proche d’un étatisme mâtiné de passe-droit en faveurs des oligarques, je réserverai mon écot en faveur d’un magazine plus respectueux en vers ses lecteurs.