Pas de priorité climatique selon les leaders mondiaux

Contrairement aux affirmations du GIEC, une nouvelle étude démontre que l’action climatique n’est absolument pas une priorité de développement pour les responsables locaux de tous les continents.

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Pas de priorité climatique selon les leaders mondiaux

Publié le 8 octobre 2018
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Par Cédric Moro.

Alors que nos médias anxiogènes répercutent une fois de plus les conclusions alarmistes du dernier rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat, une nouvelle étude démontre que l’action climatique n’est absolument pas une priorité de développement pour les responsables locaux de tous les continents, confrontés à d’autres enjeux, bien plus réels et tangibles.

L’action climatique : le cadet des soucis des leaders mondiaux

L’initiative « Global goals »,  lancée en 2015 par le « Project everyone » (partenariat entre les Nations Unies, des entreprises, des personnalités américaines du spectacle et des fondations), vise à promouvoir 16 objectifs de développement durable pour 2030 auprès des dirigeants mondiaux, qu’ils appartiennent à des organisations publiques, privées, intergouvernementales ou associatives.

En 2017, une enquête a donc été réalisée auprès de 2435 responsables dans le monde où il leur a été demandé de choisir leurs 6 priorités pour 2030 parmi 16 objectifs de développement durable. Le point qui donne de l’intérêt à cette étude est que cet objectif de 2030 est tangible car assez proche dans le temps. En effet, beaucoup des leaders de cette enquête seront encore là en 2030, probablement toujours à un poste de responsabilité et qu’un certains nombre de leurs actions en cours aujourd’hui auront un impact à cette échéance.

Les résultats de cette étude ont été publiés en mai 2018 par le laboratoire de recherche AidData du College William & Mary aux États-Unis (Virginie). Il résulte le classement suivant au regard de leurs priorités en termes de développement pour 2030 :

À la lecture de ce graphique, on ne peut pas dire que les dirigeants dans le monde s’empressent de sauver leurs territoires du cataclysme climatique que certains leur promettent. En effet, arrivant en antépénultième position (14ème sur 16), l’action climatique n’est pas du tout perçue et considérée comme prioritaire par ces responsables.

Si ce résultat est sans appel, on peut tout de même le pondérer. En effet, le terme d’« action climatique » semble un peu flou et on ne sait pas vraiment quelles définitions en ont les leaders. Par exemple, si certains décideurs mettent dans la rubrique « action climatique », leurs actions en termes de prévention et de préparation aux catastrophes d’origine météorologique, qui a été une nécessité de tout temps, on pourrait être amené à se demander si ce sujet ne serait pas en réalité encore moins prégnant dans leurs priorités. D’autant plus que dans le questionnaire de l’enquête, le choix de l’activité « gestion des risques de désastre » est proposé suite au choix du domaine d’activité « Développement humain et genre », à côté de la protection du patrimoine et des problèmes démographiques ; ce qui est pour le moins incongru.

De même, quelle est la part dans cette étude des leaders d’opinion qui profitent plus ou moins directement des financements autour de l’action climatique et qui les pousseraient à en faire une priorité compte tenu des retombées financières qu’elles engendrent ?

L’étude dresse tout de même le constat suivant :

Comparativement, les leaders font la sourde oreille face au changement climatique et aux autres objectifs environnementaux, [en] dépit d’une attention internationale considérable ces dernières années.

Autrement dit, en dépit des sommes faramineuses dépensées dans ce domaine et d’un alarmisme climatique toujours plus fort des instances internationales et des médias, les leaders mondiaux ne croient pas en la supposée catastrophe climatique qu’il faudrait prévenir.

La cause de ce désintérêt pour l’action climatique : des investissements très lourds, trop d’incertitudes et des populations réfractaires

L’étude évoque assez rarement l’action climatique en tant que telle mais elle note tout de même que les leaders mondiaux « répugnent à s’attaquer à ce problème car cela nécessite des coûts initiaux élevés pour des bénéfices incertains dans le futur ».

En effet, comme le dit l’étude, pour parvenir à un meilleur développement durable en 2030, les leaders considèrent à l’échelle mondiale que les priorités doivent porter sur l’éducation, l’emploi et des institutions fortes et, dans les pays les plus pauvres d’entre eux, sur les services et besoins de base (santé, eau, nourriture et accès à l’énergie).

De plus, si l’action climatique est le cadet des soucis pour les responsables, cela l’est également pour les citoyens dans le monde entier.

Les conclusions de ce graphique sur le caractère non prioritaire de la question climatique chez les citoyens ne nous surprennent pas puisque Benoît Rittaud avait déjà relaté les résultats d’études similaires sur son blog dans son article « Les Européens n’ont pas peur du changement climatique ».

Des conclusions allant globalement contre les intérêts de ceux qui ont financé cette étude

On pourrait naturellement objecter que cette étude a été commandée et financée par des intérêts privés, laissant planer le doute sur ses méthodes et ses conclusions ; sauf que les conclusions de cette étude vont globalement à l’encontre des objectifs des organisations qui ont commandé et financé cette enquête : la Fondation Hewlett, la Fondation Bill et Melinda Gates et le ministère allemand de la Coopération économique et du développement.

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Pour la fondation Hewlett, l’action climatique est au cœur de ses projets :

La Fondation Hewlett a investi depuis de nombreuses années dans diverses stratégies pour réduire les effets les plus néfastes du changement climatique et épargner des vies humaines en réduisant les gaz à effets de serre.

Elle supporte des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans les pays les plus émetteurs.

Au sujet de la fondation Bill et Mélinda Gates, Bill Gates indiquait lors du « One planet sumit » sa vision du réchauffement climatique.

Si nous faisons beaucoup de découvertes et que nous les déployons très rapidement, il sera possible de limiter le réchauffement à 1,5 degré de plus, pas de le stopper. Mais sans innovation, le réchauffement pourrait atteindre 3 degrés. C’est là l’enjeu de notre combat pour l’innovation.

A priori, ils ne peuvent donc pas être soupçonnés d’être  du côté des climato-réalistes dans ce domaine.

L’action climatique de l’Allemagne est quant à elle soutenue par l’Organisation des Nations-Unies sur le changement climatique  et ses émissions de CO2  sont en diminution constante depuis les années 90 selon l’UE (choisir « Germany » dans « Geographic entity »).

Donc, a priori nul lobby de l’industrie pétrolière derrière cette enquête qui pousserait à des résultats biaisés, disons-le nous bien.

La lutte contre le réchauffement climatique est non démocratique et représente un frein au développement mondial

Résumons, on a une techno-structure politisée et non démocratique, le GIEC, qui alarme la planète entière de la catastrophe climatique en cours et à venir et des décideurs locaux, pas toujours en phase avec leur population mais où le point de consensus entre eux et leur base est justement l’absence de priorité à donner à l’action climatique pour le développement durable de leurs territoires.

De cette étude, il ressort in fine qu’un passage en force des politiques climatiques tendrait à fragiliser les piliers même du développement que sont l’éducation, l’emploi, le pouvoir d’achat, la sécurité publique et la santé ; priorités pourtant plébiscitées par la population et leurs représentants.

Dépenser autant d’argent et de moyens dans la lutte contre le réchauffement climatique et en particulier dans la réduction des gaz à effet de serre, implique donc une vision non démocratique puisque les citoyens des pays du monde ne la trouve absolument pas prioritaire. Enfin, cette action pourrait être perçue comme une ingérence par des leaders locaux réfractaires et renforcer un peu plus le sentiment de défiance envers les instances multilatérales mondiales.

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  • Comment comprendre le sens de cet article dans l’esprit de Benoît Rittaud ? Ce n’est pas clair !

    • Quelle importance? Vous avez besoin de connaître le fond de la pensée de Benoît Rittaud pour faire votre propre opinion?

    • Cet article s’apparente plus a un micro trottoir, quel est l’avis de décideurs sur le changement climatique ?
      Ils sont contre ! bah oui c’est contraignant de lutter contre…
      Doit-on en conclure que le changement climatique est une fable ?
      Rep : https://www.youtube.com/watch?v=yKpPXGb1-w0
      Doit on agir, revisser ce que l’on a toujours fait depuis des millénaires ?
      Rep : https://www.youtube.com/watch?v=v4Z9sjVmj7c

      • Personne ne nie le réchauffement. Seulement vous croyez vraiment que le climat de la Terre est stable? Les périodes glaciaires vous ignorez? Et après que la Terre se réchauffe? La période que les climatologues nomment le « Petit âge glaciaire » a provoqué un refroidissement de 1250 à 1850. Depuis la température remonte, comme elle remonte au printemps après l’hiver! Il vaut donc mieux éviter les conclusions prématurées car corrélation n’est pas causalité. Au printemps vous allez dire que la Terre se réchauffe? Cela fait des milliards d’années que le climat est en perpétuel changement, il a fait beaucoup plus chaud dans le passé et la Terre n’en est pas morte! Alors cessez ce catastrophisme apocalyptique des sectes millénaristes!

        • « Cela fait des milliards d’années que le climat est en perpétuel changement, il a fait beaucoup plus chaud dans le passé et la Terre n’en est pas morte!  »
          A température finale égale un réchauffement rapide est bien plus dévastateur, la nature n’ayant pas le temps de s’adapter.
          Dois je préciser dans quel cas de figure nous sommes ?
          Dois je préciser que le réchauffement n’est pas l’unique cause de destruction de la biodiversité ?
          Dois je préciser que nous sommes des milliards a être sédentaires alors que tout change rapidement ?
          Mais sinon, d’accord avec vous, quoiqu’ il arrive, a priori, la Terre ne mourra pas.
          « Alors cessez ce catastrophisme apocalyptique des sectes millénaristes! »
          A circonstances exceptionnelles, catastrophisme exceptionnel.
          C’est plutôt le déni qui me fait l’effet d’une secte.

          • « C’est plutôt le déni qui me fait l’effet d’une secte. »
            Vous avez votre religion, je la respecte. Ce que je ne peux supporter, c’est que vous cherchez à l’imposer aux autres en mobilisant toute la puissance médiatique de la planète.
            Et surtout, imposture ultime, que vous qualifiez votre religion de science.

            • @RX33
              « Ce que je ne peux supporter, c’est que vous cherchez à l’imposer aux autres en mobilisant toute la puissance médiatique de la planète. »
              Je ne suis associé à rien, juste à cette planète, un individu libre et responsable autant que faire se peut, susceptible d’évolution dans mes opinions, ce qui n’a pas manqué par le passé, ça ne regarde que moi.
              Je confirme que la réalité qui s’impose a vous et à moi n’est pas plaisante. Vous m’en voyez navré que cela soit insupportable pour vous mais hélas je ne peux changer la réalité pour vous faire plaisir.
              Je ne peux que vous engager a regarder le deuxième lien ci dessus. pour comprendre pourquoi vous rejetez la réalité.
              Cet article est la preuve que la puissance médiatique n’est absolument pas suffisante, puisque agir contre le changement climatique n’est absolument une priorité pour les décideurs, juste dans le verbe.
              religion vs science… vous niez les faits donc…

        • Les archives de paléotempératures terrestres indiquent depuis le maximum de la dernière glaciation un réchauffement moyen de seulement 6°C étalé sur à peu près 10000 ans alors que là nous avons au moins +1,5°C en un siècle. C’est donc un début de réchauffement rapide et important qu’il est parfaitement oiseux de comparer aux variations diurnes ou saisonnières indispensables.
          Comme le fait remarquer Talkinghead, les espèces ont des difficultés à s’adapter à des changements aussi rapides surtout lorsque leur propre cycle reproductif est lent (homo sapiens= 3 générations/siècle). Si la tendance se confirme, les conséquences migratoires, animales et humaines risquent d’être brutales (compétition féroce pour la conquête des zones les moins réchauffées).

  • « Les conclusions de ce graphique sur le caractère non prioritaire de la question climatique chez les citoyens ne nous surprennent pas puisque Benoît Rittaud avait déjà relaté… »
    Benoît Rittaud parle de lui à la troisième personne ?! Plutôt inquiétant, non ?
    Bon, blague à part, les résultats de ce « sondage » ne sont guère surprenants. En tant que telle, la lutte contre le réchauffement climatique est une opération sur le temps long, incompatible avec l’exercice politique. Elle ne peut être menée que par des institutions dont la durée de vie est significative, et dont la dimension démocratique est faible, comme l’ONU, le GIEC ou la Commission de Bruxelles. Voilà qui explique sans doute la nième resucée catastrophiste du GIEC d’après lequel nous devrions impérativement agir d’ici 2020 pour éviter même, désormais, +1,5°C de réchauffement.
    Pas sûr que cette escalade médiatique soit de nature à servir les intérêts du GIEC. A force de crier au loup…

  • La baisse des émissions de CO2 de l’Allemagne n’est pas violente, Tout ça pour un paquet de milliards.

    Il nous prépare un retour à l’âge de pierre le GIEC? Le bombardement médiatique était fort ce matin. Radio, TV (TF1;A2…) tous radotaient sur les âneries du GIEC.

  • Bah , ce qui serait étonnant c’est de trouver un seul dirigeant ayant perdu son temps a lire un rapport du GIEC , qui a du temps a perdre avec cette escroquerie d’une autre époque ,lire son horoscope est bien plus rapide pour découvrir l’avenir de la planète.

  • Ce qui est sûr c’est que ce sondage prouve simplement que les populations sont plus préoccupées par le court terme que par le long terme.
    Cela ne prouve pas que le réchauffement climatique soit une foutaise .

    • Oui mais c’est l’argument-massue dans notre très dogmatique civilisation occidentale: « si ce n’est pas démocratique, ce n’est pas bon ».

    • 1) à long terme, nous serons tous morts, réchauffement climatique ou pas.
      2) nous avons eu l’hiver le plus merveilleux depuis 60 ans, avec des quantités de neige qui ont fait des stations de sports d’hiver des paradis, et l’été le plus merveilleux depuis 60 ans, avec du soleil et des températures paradisiaques itou. Et vous voudriez que les gens s’inquiètent quand on leur dit que ça pourrait même se répéter dans un avenir proche ?

    • Parce que souhaiter une bonne éducation, c’est parier sur le court terme ?
      Parce que vouloir que les conditions de paix et de justice soient réunies, c’est parier sur le court terme ?
      Parce que souhaiter le développement économique pour éradiquer la pauvreté, c’est parier sur le court terme ?
      Parce que vouloir améliorer les conditions de santé des individus, c’est parier sur le court terme ?
      Parce que vouloir renforcer l’innovation, c’est parier sur le court terme ?

      Je ne vois pas en quoi les premières préoccupations des populations seraient davantage de court terme…

      L’idéologie écologiste est extrêmement dangereuse : elle considère que tout ce qui ne rentre pas dans son dogme n’est pas important. L’éducation, la paix, la justice, la santé ou l’éradication de la pauvreté devraient donc être sacrifiées sur l’autel du climat.

      Je plains sincèrement tous ces gens totalement fanatisés par leur prétendue « urgence climatique » qui perdent totalement tout sens de la mesure et de la raison…

    • Rien ne prouve que le réchauffement climatique soit provoqué par l’homme. Des changements la Terre en a connu des tas et déjà 2 réchauffements depuis notre ère. Un du temps des romains et un autre de celui des vikings! Puis il y a eu un refroidissement nommé le « Petit âge glaciaire » dont nous sortons en ce moment, ce qui explique le réchauffement en question (Reid Bryson, un des pères fondateurs de la climatologie moderne: les variations climatiques ont toujours existé et le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire).

      • « Rien ne prouve que le réchauffement climatique soit provoqué par l’homme. »
        Au contraire, les preuves du contraire sont multiples. Notamment les cinq extinctions de masse, en son absence.

  • Des coûts exorbitants pour des bénéfices incertains. C’est ce que disent les « négationnistes » du climat depuis des années. Les populations seront fondées à demander des comptes à leurs gouvernants qui ont refusé d’écouter les voix de la raison.

    • Oui sauf que la Terre fait sa vie avec ou sans nous, réduire la pollution c’est une chose, croire qu’on peut figer la planète ça en est une autre.
      Surtout que si on ne fait que ralentir le processus pour quand même arriver à la même situation au fameux long terme bofbof

  • Si la démocratie c’est toujours donner raison au plus grand nombre de personne et qu’on applique ce principe à l entreprise on va droit dans le mur.Car le personnel va préférer avoir une augmentation immédiate plutôt que d investir dans le futur. C’est comme ça la plupart des gens pensent immédiat plutôt que futur . C’est ce qui distingue les grands visionnaires qui sont capables eux de se projeter dans le futur.

    • Merci pour ce commentaire plein de bon sens !

    • Et donc expliquez-nous en quoi il serait plus « visionnaire » d’être préoccupé par le climat plutôt que par l’éducation, la paix, la justice, la santé ou l’éradication de la pauvreté ?

      • si on suit votre raisonnement on serait jamais alle sur la lune ou meme colomb aurait jamais decouvert l amerique car avec l argent des 3 caravelles ont aurait pu nourrir les pauvres espagnols pendant quelques jours

        • Où avez-vous lu que je prônais une redistribution de richesse ? Lire mon commentaire plus haut (21h06) qui complète celui-ci ?

    • Et ce futur ils le lisent dans leur boule de cristal? Je vous signale que toutes les prévisions réalisées jusqu’à présent ce sont révélées fausses, voir Malthus. Car ils ont tous oublié une chose, le génie humain qui lui permet de susciter le progrès scientifique et technique.

  • macron est là de toutes façons. problème réglé..

    • je croyais ‘ailleurs que la question était réglée puisque ça fait plusieurs décennies qu’on laisse passer la « dernière » chance de sauver le climat.

  • il y a un problème récurrent quand on parle d’écologie en générale , tout de suite la première , encore une nouvelle hausse ou taxe ! il faut dire que là, l’imagination est fertile .. et ce n’est pas près de changer !! l’écologie est perçu comme punitive et qui plus est ,définie par les politiques écologistes
    de tout est son contraire…. le gouvernement veulent interdire le diesel et bien qu’il montre l’exemple de le supprimer par son parc automobile , pompiers , armée , police , gendarmerie .et parc automobile dans l’ensemble régions , départements , villes etc… des dérogations en veux tu en voilà..
    que L’ÉTAT montre l’exemple !!!

  • La question n est de toute facon pas la. Il est quasi impossible de faire baisser les emissions de CO2 a moins de lancer un genocide ou un apauvrissement massif de la population (meme dans une dictature, ca risque d etre complique).

    Donc au lieu de faire des grande declaration qu on a pas l intention de tenir, il serait souhaitable de se preparer a un monde plus chaud, avec un niveau de l ocean plus eleve

    • C’est pourtant bien ce que prône les écolos! La décroissance économique et la réduction de la population mondiale. En somme Hitler, Staline et Mao furent des précurseurs de l’écologie radicale !

      • Faudrait pas oublier Pol Pot, tout de même…

      • Ne pas oublier aussi que le premier écologiste affirmé se nommait Adolf Hitler; Coïncidence : Les écologistes tiennent le haut du pavé en Allemagne. Ils ont même réussi à mettre à la poubelle des centrales nucléaires en parfait état de marche pour les remplacer par des moulins à vent (pour le certificat de vertu) et des centrales thermiques à la lignite pour avoir de l’électricité.

  • Les 4 critères que vous énoncez sont à effets immédiats tandis que le dérèglement climatique est à effet retard.
    Un certain nombre de personnes se disent que si problèmes climatiques existent ils ne seront plus sur terre si cela arrive donc ils se sentent beaucoup moins concernés.
    Cela ne veut pas dire que la paix,la santé et l éducation et la pauvreté ne soient pas des sujets prioritaires.

    • Ce que vous appelez « effet retard » est une affaire de foi, comme le paradis et l’enfer des religions. L’histoire montre que ça sert surtout à exploiter à son profit la crédulité des autres.

    • Ce n’est PAS un dérèglement, puisqu’il n’y a jamais eu sur Terre de climat stable. Les périodes glaciaires vous n’avez jamais entendu parler? Le climat est cyclique, il ne cesse de refroidir puis de se réchauffer. Après un refroidissement la température remonte. Comme la Terre a subit de 1250 à 1850 un refroidissement nommé par les climatologues le « Petit âge glaciaire », maintenant la température remonte! Vous pouvez noter que les réchauffistes évitent soigneusement de parler de ce petit âge glaciaire.

      • Il a été précédé de « l’optimum médiéval » vers l’an mille où les températures étaient supérieures à notre réchauffement actuel. Sans doute que les chevaliers de l’époque émettaient trop de CO2.
        Ces deux variations de température dessinent une belle courbe étalée sur mille ans.
        Mais elle ne plaisait pas à Michael Mann, climatologue averti. Il l’a donc transformée en droite, la célèbre « crosse de hockey » censée nous avertir des catastrophes climatiques à venir.
        Je vous laisse apprécier la démarche scientifique de ces gens-là, d’autant que cette grossière falsification ne les a aucunement déconsidérés.

  • Les mensonges des réchauffistes apparaissent clairement. Tous les media avaient annoncé selon ces militants que les ours blancs étaient en voie de disparition. Or un comptage révèle que de 5.000 dans les années 1960 ils sont aux environs de 30.000 de nos jours. Le réchauffement profite bien aux ours polaires!

  • C’est sûr qu’il vaut mieux penser que l activité humaine n’est pas un accélérateur c’est beaucoup plus confortable.

  • Sauf que c’était sur ds périodes beaucoup plus longues.Personne ne met en doute les cycles simplement l’activité humaine semble accélérer le phénomène.

  • Les commentaires sont fermés.

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