Par Corentin de Salle.
Corentin de Salle présente ici un auteur allemand incontournable. En 1791 le philosophe Wilhem von Humboldt, alors âgé de 25 ans, écrit un Essai sur les limites de l’action de l’État.
Ce texte profondément original ne se contente pas de faire le procès de l’immixtion abusive de l’État dans la société. Ce plaidoyer est en effet surtout et avant tout un appel au parfait épanouissement des potentialités de l’humain, son perfectionnement intérieur dans tous les domaines.
Êtes-vous sûr que c’est Wilhem ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63820601/f9.image
A moins que Wilhem se traduise par Guillaume.
Avec ce lien nous avons une belle réflexion de Mirabeau
En fait, c’est Wilhelm, avec un ‘L’ avant le ‘m’…
C’est du ‘guttural’ 😉
Mais les Français ont l’habitude d’oublier des consonnes dans les mots allemands, mes préférés ?
Les vollezwaguène de Wollzbour
Volkswagen de Wolfsburg dans le texte ça donne plutôt ‘Folkswaaguèn’ de Wollfsbourgg’;
mais bon, dans la pub aussi le monsieur à la petite voix flûtée dit ‘vollezwaguène’ et, malgré la grosse voix à la fin qui le corrige « Folkswaaguèn » !, il n’a toujours pas compris…
C’est bien le même mais les français on la sale habitude de franciser les noms étrangers.
Et même les noms français. Les officiers de l’état-civil et du cadastre ont de longue date instauré une tradition souvent surprenante à cet égard.
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