Le boîtier révolutionnaire qui élimine l’électricité nucléaire

Alors qu’EDF propose de l’électricité « verte » à ses clients, des scientifiques français ont développé un boîtier électronique capable de détecter et d’éliminer l’électricité d’origine nucléaire.

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Le boîtier révolutionnaire qui élimine l’électricité nucléaire

Publié le 1 avril 2018
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Par Michel Gay.

Avec ses 58 réacteurs nucléaires qui représentent 78% de sa consommation électrique, la France détient le record mondial de la plus forte proportion d’électricité d’origine nucléaire par habitant.

Il est aujourd’hui impossible de vérifier si l’énergie verte achetée à un fournisseur alternatif s’engageant à produire 100% d’énergie renouvelable, n’est pas mélangée sur le réseau de distribution à de l’électricité nucléaire avant d’arriver dans le nouveau compteur Linky de notre domicile.

C’est pourquoi une équipe de scientifiques sensibilisés par ce grave problème a mis au point un boîtier électronique capable de détecter l’origine précise de l’électricité et de réaliser, si nécessaire, un tri à domicile.

La conception de ce boîtier se fonde sur les travaux en recherche quantique menés par le professeur Sklpizrakz, et notamment sur la théorie du gluon glabre dans un espace phalzaroïque1.

Tout comme l’homéopathie qui repose sur la propriété des molécules d’eau à mémoriser les informations du milieu dans lequel elles ont évolué (théorie de la mémoire de l’eau), les électrons gardent également la mémoire de la vapeur nucléaire les ayant engendrés (théorie de l’électro-mémorisation).

Pour mieux comprendre ce phénomène longtemps passé inaperçu, voire caché, il faut rappeler que le courant électrique consommé correspond à un déplacement de charges dans nos appareils électriques.

La figure 1 représente une charge électrique « naturelle » produite par une énergie verte renouvelable (éolienne, centrale hydraulique, panneau solaire, pile à hydrogène, méthanisation,…). Les charges sont parfaitement symétriques selon la répartition quantique définie par Lewis. Le gluon protonique en bleu symbolise l’origine naturelle de la production.

La figure 2, dite en tête de Mickey, montre en rouge les deux nuages électroniques « nucléarisés » venus se greffer sur le gluon. La théorie d’électro-mémorisation permet de mettre en évidence cette disposition différente.

Ce boitier est donc capable de détecter les charges électriques issues des centrales atomiques pour en avertir immédiatement les consommateurs.

Selon le choix de l’utilisateur, l’appareil pourra alors couper l’alimentation électrique ou bien aiguiller ces électrons nucléarisés indésirables vers sur une batterie blindée contre les radiations située à l’extérieur.

Mais il y a un inconvénient : lorsqu’il n’y a pas de vent pour les éoliennes, ni de soleil pour les panneaux photovoltaïques (la nuit par exemple), près de 90% de l’électricité est d’origine nucléaire. Cette dernière devra donc être rejetée (bien que payée) puisque le tri par le boitier entre « la bonne et la mauvaise » électricité ne s’effectue qu’après le compteur Linky. La facture d’électricité peut donc fortement augmenter (de 75% en moyenne).

La durée de vie de la batterie destinée à recueillir les électrons nucléaires dépend de la quantité recueillie. Les scientifiques estiment qu’elle devra être remplacée tous les ans. Celle-ci sera alors expédiée aux frais d’EDF à l’usine de retraitement de la Hague.

La commercialisation de ce boîtier est prévue dès le 01 avril 2018.

  1.  Fauderche et al, Sciences-1-fuse , 1990, Dac éditeur.
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