Pourquoi Baltimore prend feu ?

L’incendie de Baltimore a sorti l’Amérique de sa torpeur : l’élection d’un Président Noir n’a pas résolu le « problème Noir ».

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Norman Rockwell Mosaic credits Shannon (CC BY-NC-ND 2.0)

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Pourquoi Baltimore prend feu ?

Publié le 20 mai 2015
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Par Guy Sorman.

Norman Rockwell Mosaic credits Shannon (CC BY-NC-ND 2.0)
Norman Rockwell Mosaic credits Shannon (CC BY-NC-ND 2.0)

Le 28 avril dernier, les quartiers Noirs de Baltimore furent ravagés par des émeutes telles que les États-Unis n’en avaient pas connues depuis l’été 1992 à Los Angeles. Le point de départ d’une nuit de destructions perpétrées par des adolescents afro-américains fut la mort inexpliquée d’un voyou, Freddie Gray, brutalisé par la police. L’incendie de Baltimore, précédé les mois antérieurs par des émeutes comparables dans la banlieue de Saint-Louis et à New York, a sorti l’Amérique de sa torpeur : l’élection d’un Président Noir n’a pas résolu le « problème Noir ». Barack Obama lui-même semble avoir été surpris : en six ans de présidence, il n’avait jamais abordé cette question de front, considérant sans doute que son parcours exemplaire suffirait à inspirer tous les Noirs. En vain.

Barack Obama et son épouse Michelle témoignent en fait de la réussite et des inconvénients d’une politique volontariste de sélection des élites Noires, dite « affirmative action ». À partir des années 1970, à l’initiative de juges activistes, les administrations publiques nationales et locales telles que la police ou les pompiers, les entreprises travaillant pour l’État, les collèges et universités, ont été contraintes de recruter des quotas d’Afro-Américains et d’autres minorités (les Indiens, « Native Americans » par exemple) de manière à refléter la « diversité » de la nation. « L’affirmative action » a été un succès en ce qu’elle a détourné les élites afro-américaines de la tentation de la révolution – dominante dans les années 1960 – les intégrant dans les hautes sphères de la vie publique. La réussite de ces élites, dont les Obama sont le fleuron, a aussi désamorcé le racisme en illustrant combien les Afro-Américains étaient aussi aptes que les Blancs à occuper les plus hautes responsabilités. Mais cette politique a concentré les élites afro-américaines dans des fonctions publiques plutôt que dans le monde de l’entreprise : or, aux États-Unis, l’entreprise est plus respectée que le service de l’État. Autre inconvénient de « l’affirmative action » : un Noir qui « réussit » aux États-Unis quitte le quartier de ses origines et cesse d’être un modèle pour ses congénères. Ne restent dans les quartiers Noirs que les plus défavorisés, environ les deux tiers des quarante millions de Noirs américains. Pourquoi ceux-ci, adolescents, passent-ils plus de temps dans la rue qu’à l’école, pourquoi les mères sont-elles plus souvent célibataires que mariées, pourquoi la moitié des jeunes Noirs de Baltimore ou de Saint-Louis sont-ils chômeurs, pourquoi se reconnaissent-ils dans la culture des gangs, pourquoi constituent-ils à la fois la majorité des criminels, des auteurs et victimes de crimes et, par conséquent, la majorité des prisonniers ? À Baltimore, ville à majorité noire, un homme afro-américain sur deux, à vingt-cinq ans, est passé par la prison.

Freddie Gray, victime de mauvais traitements, se trouvait entre les mains de policiers Noirs, dans une ville dont le maire est une femme Noire ; le procureur qui a inculpé les policiers est aussi une jeune femme Noire. Baltimore symbolise à la fois la réussite des élites Noires en politique – conséquence de « l’affirmative action » – et l’enfermement de tous les autres dans une culture de la violence. Sociologues et économistes américains ne cessent de s’interroger sur cette permanence d’une culture de ghettos, dont les Noirs sont acteurs et victimes. Seraient-ils victimes du racisme des Blancs ? L’accusation ne tient plus quand le maire, le chef de la police et le procureur de Baltimore sont Noirs. De nombreux analystes incriminent l’absence du père dans ces familles pauvres et violentes : mais cette absence est une conséquence de la culture du ghetto, pas la cause. Plus probablement, la culture du ghetto et les comportements qu’elle engendre sont-ils la conséquence du ghetto lui-même. Le seul fait de concentrer une population à risques en un lieu renforce les traits les plus négatifs de cette population : à Baltimore, le modèle que les jeunes Noirs ont sous les yeux est le chef de gang, pas Barack Obama. Le seul type de famille que les jeunes du ghetto connaissent est une famille sans père. Preuve a contrario : des cartes de populations publiées après les émeutes de Baltimore montrent que le destin d’un jeune Afro-Américain aux États-Unis est essentiellement dicté par la géographie. S’il naît et grandit dans un quartier où les Noirs sont peu nombreux, ses chances de réussite scolaire, familiale et professionnelle sont identiques à celles de n’importe quel autre Américain. Le problème Noir américain n’est pas une conséquence du racisme ou un trait culturel immuable mais une affaire de logement. Tous les gouvernements américains, depuis un demi-siècle, ont favorisé le logement « social », ce qui a généré une géographie de la pauvreté. Paradoxe : le logement social reproduit involontairement la ségrégation de jadis, particulièrement à Baltimore où Noirs et Blancs, jadis, n’avaient pas le droit de vivre dans les mêmes quartiers. Cette erreur fatale a été reproduite en Europe où les immigrés les plus récents sont regroupés dans des habitats « sociaux » : leurs enfants y créent spontanément une culture du ghetto, mimétique de la culture noire américaine, avec les mêmes conséquences désastreuses.

Ce problème noir américain est devenu un problème européen : les « Noirs » d’Europe ne sont pas forcément Noirs, ils sont plus souvent d’origine arabe, mais leur nombre s’accroît avec l’afflux des réfugiés. Il est grand temps, ou peut-être trop tard, pour empêcher que l’Europe soit parsemée de « Baltimore ».

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  • les aziatiques en europe ou aux usa apres 30ans de residence sont devenus souvent riches et non delinquants …quis des noirs et des magrehbins….

    • « S’il naît et grandit dans un quartier où les Noirs sont peu nombreux, ses chances de réussite scolaire, familiale et professionnelle sont identiques à celles de n’importe quel autre Américain. »

      Cette affirmation sort de nulle part. Pour information, les résultats au SAT (à peu près l’équivalent du bac) des enfants issus d’un ménage afro américain gagnant plus de 100 000 dollars par an ont en moyenne des résultats inférieurs à ceux des blancs issus de familles gagnant moins de 10 000 dollars par an.

      http://www.jbhe.com/features/53_SAT.html

      • L’effet dit de « menace du stéréotype » qui explique en grande partie ce type de différences de performances intellectuelles tu connais?

        L’article scientifique originel:

        Steele, C.M., & Aronson, J. (1995). Stereotype threat and the intellectual test performance of african americans. Journal of Personality and Social Psychology, 69, 797-811.

        http://www.africanafrican.com/folder12/african%20african%20american/black%20history/claude+steele+stereotype+threat+1995.pdf

        Depuis ce travail séminal, à l’heure actuelle soit 20 ans plus tard, il existe largement plus d’une centaine d’articles en sciences sociales sur cet effet, qui montrent que les performances intellectuelles, motrices, etc., des individus sont altérés lorsqu’on active les stéréotypes ou réputations d’infériorités des groupes auxquels ils appartiennent. Ca marche avec les noirs sur les tests d’intelligence, les femmes en math, etc.

        • Quelles stéréotypes sont appliqués sur les noirs africains en Afrique ?

        • Mon message venait en réfutation de l’affirmation que des noirs vivant dans un milieu majoritairement blanc ont les même résultats que les blancs.

          L’effet de « stéréotype threat  » si tant est qu’il existe, doit aussi s’appliquer aux blancs pauvres. Je ne suis pas certain qu’un enfant élevé par une mère célibataire caissière à wall mart ( ou prendre n’importe quelle situation familiale à moins de 10000 dollars par an) est blindé de confiance en lui du seul fait de son statut d’homme blanc. Moins de 10 000 dollars par an, c’est un niveau social élégamment qualifié de « white trash » dans la culture populaire.

    • Encore une fois, les est-asiatiques ont un QI moyen de 105, les blancs de 100, les arabes de 85, les noirs américains de 85, les noirs africains de 70.

      Si vous prenez ça en compte cela explique quasiment tous les problèmes et réussites moyenne que rencontre chaque peuples partout dans le monde.

  • belle analyse.

    lire Freakonomics sur le role du logement dans la criminalité.
    la hauteur des immeubles joue sur la probabilité que la population « fasse la police ».
    car oui, c’es la population qui par le véritable maillage du territoire, assure une haute ou basse criminalité.

    au RU récemment une étude a montré que la criminalité d’un individu ne dépendait pas de son etnie, mais de sa géographie, qui il est vrai est souvent mais pas toujours une conséquence.

    a noter que en france, plus qu’aux US on a un modèle de discrimination différent (quoique?).

    le modèle US dominant est un racisme symétrique, ou un noir ne cherchera pas a aller dans un quartier blanc… (NB: je me demande a lire l’article si c’est pas faux).
    Ca abouti a une bipolarisation du territoire qui est bien modélisé par des économistes… (même un léger racisme, qui pousse simplement des gens a avoir 1% de chances de+ de quitter un voisinage un peu différent suffit).

    en france (et peut être pour la bourgeoisie noire) il y a plutot une hierarchie des etnies. Les etnies discriminées rêvent d’habiter dans une voisinage plus favorisé, cérant une sorte de fuite en avant.

    c’est en tout cas ce que je pensais avant de lire cet article.

    une hypothèse alternative est que nos modèles soient identiques, et composés de 2 modes de fonctionnement distincts.

    pour les milieux économiques les moins favorisés, un mode de racisme géographique symmétrique, qui renforce le communautarisme quel qu’il soit,.
    et pour les bourgeoisies, un mode asymétrique, ou les discriminés poursuivent les moins discriminés qu’eux…

    a noter dans freakonomics une explication de pourquoi les discriminés, les ghettos, rejettent ceux qui ont réussis (le « think white ») : un gars qui réussis doit s’enfuir du ghetto, et est donc une perte sèche pour le groupe, donc le roe du ghetto est de l’empêcher de réussir.

    question complexe.

  • obama n’est pas noir mais métis. Il a grandi avec sa mère blanche. Il a été élevé comme un blanc. Je doute qu’il comprenne quelque chose à la situation de la plupart des noirs

  • l’absence du père chez les noirs s’explique par le fait que soit il est mort tué dans des réglements de compte entre gangs soit il est prison. C’est la raison des familles monoparentales chez les noirs

    • En Afrique noir, il y a beaucoup de famille ou les pères sont absent.
      Pour moi c’est du au fait que les taux de téstostérone des noirs sont plus élevé.
      Comme ils sont en moyenne plus mâle que les mâles blancs ils ont plus le besoin de partir.

      En Europe avec l’hiver, les mâles qui abandonné leurs petits on eu tendance à disparaître car les petits ne passaient pas l’hiver. Ce qui n’est pas le cas en Afrique.

      Il est prouvé que la générosité est inversement corrélé à la testostérone.

      Encore une fois on sous estime la nature par rapport à la culture.

      • et une fois qu’on a fait de belles hypothèses comment les vérifier…

        bof….la question est de la pertinence de regarder les gens en fonction de leur couleur de peau…

        si vous montrez que « les noirs » sont moins intelligents en moyenne que les blancs les jaunes ou les verts ça fait peut être un certain plaisir à une personne raciste…mais ça rend pas un banc jaune ou vert bouché comme un coin moins con qu’un « noir » intelligent…

        alors quoi si on s’obstine à classer les gens en fonction de leur « race » on aura des problèmes « raciaux  » et on essayera des solutions « raciales »..

        et ça marcherait aussi avec les gros les grands les femmes les hommes..

        le vrai / faux problème est l’esclavage (le colonialisme ici) ..un crime dont les auteurs ( des individus!) ne furent pas punis… sans crime originel..les revendications raciales ne vaudrait pas un pet… du moins pas plus que la malchance d’être né de parents pauvres… pour le reste si la société donne sa chance à tous…il est difficile de justifier son échec par un grand père esclave…

        les gens sont racistes? et alors? j’ai entendu des patrons racistes dire  » il n’y a que les bicots qui acceptent de bosser sic » la société présente une inertie sociale? ben pourquoi les gens se casserait le cul à s’élever sinon pour assure r l’avenir de leur gosses?

        • Il n’est pas question de classer les gens suivant leur race.
          Un noir intelligent réussira en moyenne mieux qu’un blanc idiot.
          Bien sur que chaque individu est différent.

          Mais si vous voulez expliquer pourquoi un groupe performe mieux qu’un autre, « les gros les grands les femmes les hommes », il faut prendre la moyenne du groupe.

          « la société présente une inertie sociale »
          A mon avis très peu, elle traite les gens en fonction de ce qu’ils sont.
          Si il sont idiots elle les traite comme telle sans regarder leur couleur de peau.

          Pour preuve, regardez les études faites la ou les statistiques ethniques sont autorisé, à QI égale les noirs surperfome les blancs.

          • ben évidmment que si…les stats raciales construisent le racisme.
            et pourquoi voulez vous regarder un groupe ???

            ça sert à quoi ????

            ça explique quoi???

            Les stats raciales ne peuvent permettre de décider que de mesures racialse…et en réalité toujours racistes…et d’ailleurs elles sont prisées des deux formes de racistes, les racistes négatifs et les racistes positifs…

            plus de noirs en prison => pour les racistes « négatifs » c’est parce que les noirs sont « méchants » , ils ont ça dans le sang, pour les racistes positifs ça prouve que les noirs sont socialement poussés au crime..
            c’est usant…

            les stats raciales n’éclairent pas sur les causes…

            alors certes nul est totalement maître de son destin, nos choix sont en partie contraints..mais on a une liberté de choix suffisante..

            trouvez moi une injustice essentiellement subie par des gens ok…

            alors commençons le defonçage de portes ouvertes:

            le quartier d’origine est effectivement un handicap…. ce doit être vrai ( et pas besoin de ghettos ni d’ethnies) …et pour un gosse la classe sociale est aussi essentiellement déterminante..évidemment…

            alors on fait quoi? on mélange socialement de force des familles pauvres ou riche? on nivelle les salaires?

            et ensuite on s’attaque à toutes les injustices dont nous sommes victimes?
            je suis moche..je suis petit… j’ai un intelligence limitée… et en conséquence je réussis moins bien dans la vie , ce sont des injustices subies ! vite corrigeons cela…

            absurde… les statistiques ethniques sont évidement toxiques au mieux elle permettent de déceler une différence mais comme elles ne vous renseignent pas sur les causes et surtout sur le sens de la causalité ( A est corrélé à B…toto conclut A cause B et lulu conclut B cause A selon leur préjugés) , elles ne vous servent pratiquement à rien…ce n’est pas un hasard si elles conduisent à des mesures discriminatoires pour lutter contre la discrimination!

            bon si on envoie un CV au nom de mohamed on a x fois moins de chance d’avoir un rendez vous qu’un arthur… ( mais ça marche aussi avec kevin et arthur) : c’est injuste..mais celui qui a un problème est celui qui rejette les bons candidats , évidemment ça lui pose peu de problèmes quand les candidats sont compétents et surnuméraires, mais le patron qui recrute de façon raciste ou sociale est celui qui in fine risque de disparaître face à un concurrent qui lui recrutera le meilleur.
            Sans compter que mohamed et les kevin sont aussi des consommateurs et qu’ils sont nombreux…

            les tests de ce genre qui sont beaucoup plus aptes à détecter les injustices sont bien supérieurs au stats…

            •  » pourquoi voulez vous regarder un groupe ???  »
              Pour commenter l’article, il me semble que l’auteur parlait beaucoup des noirs non ?

               » ça sert à quoi ????  »
               » ça explique quoi???  »

              En France Il n’y a pas de statistiques ethnique
              Et on continuer à me bassiner pour que plus d’argent public (le mien) soit donné à des gens qui ne font rien pour moi au seul prétexte de l’antiracisme, de l’intégration ou de je ne sais quelles autres idées.

              Alors ça sert à savoir réellement ou en on est.

              Ensuite la science explique pourquoi on en est là.

              En l’occurrence, ce n’est pas la faute des suprématiste blancs.
              Je vous le redis, les noirs, au USA, à QI égal, réussissent mieux que les blancs.

              Ceux des quartiers pauvres sont en moyenne moins intelligents et n’ont pas réussi à grimper l’échelle sociale pour en sortir.

              Je n’ai pas de stats pour la France, mais dès qu’il y en aura je suis près à mettre un billet que le résultat sera le même.

          • « Il n’est pas question de classer les gens suivant leur race. »

            C’est pourtant ce qui se passe avec la discrimination positive. C’est donc un racisme d’Etat qui n’a rien à envier à l’apartheid.

  • Premièrement, contrairement à ce que laisse entendre l’article, Barack Obama n’a pas été surpris par les émeutes de Baltimore : si je me souviens bien, peu de temps avant le déclenchement soudain des émeutes, il avait fait une interview avec le réalisateur de la célèbre série « The Wire » qui a pour sujet la criminalité dans la ville de Baltimore à travers la vision de policiers, délinquants, politiciens, etc.

    Dans cette interview, Obama ciblait très bien le vrai problème de Baltimore, et plus globalement la véritable cause du « problème Noir » dont parle l’article, qui est la war on drugs, ou « guerre contre les drogues »

    La plupart des crimes commis par des afro-américains sont liés aux trafics de drogue. Ces crimes résultent de l’illégalité des drogues.

    Si les drogues devenaient légales, la communauté afro-américaine resteraient toujours la plus violente comparativement à d’autres communautés, mais l’ampleur de cette violence diminuerait drastiquement.

    Obama fait quasiment l’éloge des libéraux dans l’interview, en disant par exemple : « from a LIBERTARIAN perspective, the way we treat nonviolent drug crimes is problematic »

    Mais les libéraux sont trop lobotomisés par les conservateurs pour s’apercevoir des appels du pied qu’Obama leur adresse.

    Les libéraux sont également trop lobotomisés par les conservateurs pour comprendre que, contrairement à ce que dit l’article, Obama doit sa réussite professionnelle et son mariage réussi à ses efforts personnels, à son courage, à sa détermination, bien plus qu’il ne le doit à un complot multiculturaliste (discrimination positive, repentance, culpabilisation des blancs, propagande des « mainstream media »)

    En cela Obama est l’illustration parfaite du Rêve Américain, cette idée très libérale qu’on peut réussir en partant de rien.

    Les libéraux devraient cesser de se coucher lâchement devant les conservateurs et avoir le courage de défendre le symbole du self-made-man qu’Obama représente.

    ( excusez moi de me répéter autant… je continuerai à me répéter tant que les libéraux rechigneront à se distinguer des « libéraux-conservateurs »….)

    • Il suffit de voir ce qu’a donné la légalisation du canabis dans certains états: il n’y a pratiquement aucun producteur ou distributeur noir.
      Légalisez la production et la vente des drogues, et vous aurez des blancs qui vendent de la meth aux noirs. Parce qu’un type de n’importe quel équivalent d’une sup de co du midwest sera plus performant sur un marché légal qu’un type élevé in da’ ghetto. En sortant d’un « war on drugs » vous obtiendrez ce qui sera perçu comme une « war on blacks » et les tension qui viendront avec…

      On raisonne sans chiffres. Je ne sais pas quelles sont les parts respectives, en terme de crimes commis, entre celle des trafiquants qui veulent contrôler un territoire, et celle de junkies qui veulent payer leur dose.

      La légalisation réglerait probablement une bonne partie de la seconde, mais j’ai plus de doute sur la première.

      Est ce que les individus se rassemblent en gangs pour vendre de la meth ou, au contraire, ou au contraire vendent de la drogue pour faire vivre leur gang?

      Est ce que la fraction de population prêt à trucider, frauder etc pour gagner du blé sans trop bosser sera vraiment moins nuisible en cas de marché libre des drogues dont elle serait immédiatement évincée? Ou ces individus vont il seulement se recycler dans le vol de voiture, le home jacking, l’extorsion de fonds, le braquage etc etc?… Avec une justification du genre  » les blancs empoisonnent les noirs avec la meth, on reprend notre du à ces sales racistes esclavagistes ».

    • Obama parti de rien ? vous fumez quoi ? Obama n’est pas parti de rien et il ne s’est pas construit tout seul. Ce n’est pas comme s’il venait d’une famille pauvre ou comme s’il avait grandi dans un quartier noir. Il ne faut pas oublié qu’il est métis et qu’il a été élevé par sa mère blanche. Je ne vois pas comment un libéral peut soutenir un type comme Obama. Cela n’a rien à voir avec le fait d’être conservateur ou pas. Ce type est socialiste et il est le pire président des usa (et ce n’est pas peu dire quand on voit ces prédecesseurs).
      Il est ridicule de faire la guerre contre la drogue la cause du problème noir. oui c’est une partie du problème mais ce n’est pas tout le problème

  •  » Le seul type de famille que les jeunes du ghetto connaissent est une famille sans père. »
    Non, ce n’est pas « le seul » type de famille qu’ils connaissent. 33% des enfants noirs américains de moins de 18 ans vivent avec leurs deux parents. C’est peu, mais ça fait quand même plus de 3 millions d’enfants.
    Personne n’est une moyenne.

    • Hummm..
      l’article parle des jeunes du ghetto, vous des enfants noirs américains, si 1/3 des noirs américains ne sont pas dans le ghetto à cause de l’affirmative action , ça le fait 😉

  • bonjour ,comme l’indiquent canari et Nono , diverses études portant sur les aptitudes des communautés noires comparées à celles d’autres communautés ;Asiatiques ,Hispaniques etc…se révèlent êtres un sujet épineux ,à peine toléré ,voir insupportable à certains esprits de la bien-pensance très en vogue ces temps-ci .

  • Bref, pas un mot sur les différences raciales intrinsèques, notamment en matière de quotient intellectuel.. on va donc continuer à ne rien comprendre.

    • @Desterel :
      Vous avez raison, abordons le vrai problème que nous cachent les méchants gauchistes efféminés multiculturalistes bien-pensants : Les blancs ont un QI élevé, les noirs ont un QI faible. Les blancs sont intelligents, les noirs sont cons. Si un individu est noir, cela signifie automatiquement qu’il aura des mauvais résultats scolaires et un mauvais comportement ! C’est un fait ! C’est un fait ! C’est un fait !

      Voilà, maintenant qu’on a dit les vérités que les méchants gauchistes veulent nous dissimuler, le « problème Noir » est reglé !

      Ce n’est plus la peine de remettre en cause les politiques anticoncurrentielles qui désavantage la communauté noire telle que la war on drugs, ce n’est plus la peine de remettre en cause la musique gangsta rap qui, en reflétant la violence qu’entraîne cette war on drugs, en arrive parfois à la glorifier et à la banaliser au point de pervertir la jeunesse noire, ce n’est plus la peine de remettre en cause l’effritement de l’aurorité parentale imputable à l’état-providence, ce n’est plus la peine de remettre en cause l’éducation socialisée, l’absence de concurence dans le système éducatif, et toutes les mauvaises politiques qui pénalisent la communauté afro-américaine et par conséquence fragilisent toute la société américaine !

      Et bien évidemment ce n’est plus la peine de remettre en cause les politiques qui pénalisent le continent africain, ce n’est plus la peine de critiquer les diverses « aides » des dirigeants occidentaux aux pays africains, de critiquer les politiques occidentales interventionnistes (exemple : renversement des dictateurs comme Kadhafi), ou protectionnistes (exemple : Politique Agricole Commune), de critiquer l’absence de libre circulation des produits, des services, des travailleurs, des capitaux, qui retardent le développement des pays africains.

      Les noirs sont génétiquement inférieurs aux blancs, c’est ça le vrai problème ma petite dame !

      • Se sont des moyennes, être noir ne signifie pas être con, cela signifie avoir plus chance d’être con qu’un autre blanc pris au hasard. (Je suis volontairement provocateur car vous ressemblez à une petite fille qui fait un caprice).

        Paragraphe 2 et 3 :
        Ce n’est plus la peine de flageller les blancs, Ce n’est plus la peine de prendre leur argent pour acheter la mauvaise conscience de quelques uns.

        Paragraphe 4 :
        Si, c’est la peine, il ne faut pas les traiter comme des gens qui ont besoin d’aide. Ce sont des humains, point.

        Paragraphe 5 :
        Tout comme un renard n’est pas inférieur à une huître, ils ne sont pas génétiquement inférieurs aux blancs.
        Ils sont adaptés à leur milieu.
        Ils ont des qualités qui leur valent une meilleure reproduction dans leur milieu naturel.
        Ce qui ne veut absolument pas dire qu’il faillent leur fermer la porte.
        Ils doivent pouvoir venir en masse si ils le souhaitent mais ne doivent pas s’attendre à m’on aide, ils seront traité comme des concurrents pour la survie et ma reproduction, au même titre que n’importe qu’elle être vivant.

        •  » Ce n’est plus la peine de flageller les blancs, Ce n’est plus la peine de prendre leur argent pour acheter la mauvaise conscience de quelques uns. »

          @Jul : Vous parlez sans doute des antiracistes subventionnés, de la censure antiraciste, des lois mémorielles, de la discrimination positive, etc ? Je suis bien sûr opposé à tout ça.

          Par contre, cette opposition ne dispense personne de juger que l’esclavage, certaines atrocités durant la colonisation, les lynchages, l’apartheid, (ou la Shoah dans le cas des juifs) c’est de la merde.

          Beaucoup de libéraux-conservateurs ne comprennent pas que pour qu’une société demeure tolérante, le racisme non-violent doit absolument être PERPÉTUELLEMENT contrebalancé par l’affirmation ANTIRACISTE que les hommes sont égaux en droits, sinon le racisme non-violent se transforme en racisme violent.

          Si vous apprenez à des enfants que les noirs (ou les blancs) sont inférieurs, et que personne dans la société ne prend la peine de contrebalancer votre discours, il arrive un moment où ces enfants, en grandissant, jugent qu’il n’est plus nécessaire de respecter les droits des noirs (ou des blancs).

          • « cette opposition ne dispense personne de juger que l’esclavage, certaines atrocités durant la colonisation, les lynchages, l’apartheid, (ou la Shoah dans le cas des juifs) c’est de la merde. »
            Vous avez oublieé de dire que vous êtes pour la paix dans le monde et que les bébé baleines doivent être sauvé.

            « l’affirmation ANTIRACISTE que les hommes sont égaux en droits »
            Ils le sont, mais ce que prônent la plupart des gens qui écrivent des articles comme celui-ci c’est l’envie d’une égalité réelle. Ce qui est merdique, pour reprendre vos mots.

            « Si vous apprenez à des enfants que les noirs (ou les blancs) sont inférieurs. »
            Vous faites une fixette sur l’infériorité.
            Il n’en est pas question.
            Nous somme différents point.
            Chacun a des avantages adapté à son milieu.

            La nature ne fait pas de classement entre ce qu’elle à engendré.
            Les plus efficaces prolifère les moins efficaces disparaissent.
            C’est implacable depuis 4 milliard d’années.

            Faire avaler des cours de morale à des gosses ne changera jamais ça.

    • on vous a déjà parler des individus?
      si je comprends bien votre instit à l’école a d’abord regardé le qi de vos famille…pour autant que le qi soit fiable… et il adit désolé mon petit tu es con comme un coin.c’est génétique…et pas la peine de de faire passer un test se serait t’humilier.

    • Dites moi, si je suis noir, je dois à produire une attestation de QI de combien pour avoir le droit de vous répondre ?

  • Il y a une série de reportages qui ne passera peut-être jamais en France, mais qui fait les beaux soirs de Chaînes « alternatives » de Pologne et d’Espagne. Cela vient évidement des USA.
    Les policiers disposent d’une belle voiture « appât », avec arrêt automatique du moteur, et fermetures de portes a distance.
    2 policiers en civils : 1 homme, une femme : l’un en voiture et l’autre dans la voiture appât, se poursuivent, soudain celui qui poursuit et se fait passer pour le mari rattrape, l’autre voiture ; dans un quartier à risque : ils se disputent, la femme laisse la voiture « appât » porte grande ouverte et phares allumés, crie, jette les clefs…
    A peine a -telle tourné le coin de la rue que les délinquants approchent (des dizaines), puis se disputent et un groupe s’empare de la belle voiture….Il sera arrêté quelques rues plus loin..
    80% ont des bracelets électroniques, et ne reviendront jamais dans la rue, les juges ne donnants pas une 2ème chance.
    Et tant que la Police recommence, tant il y a de voleurs de cette voiture, et plus ils en arrêtent..
    Puis ils vont dans les banlieues résidentielles -Noirs/Blancs-, où la voiture peut rester des heures portes ouvertes, sans que personne ne songe à y pénétrer… Certains appellent la Police.
    la Police retourne dans les quartiers malsains, et cela recommence : vols & arrestations…
    93% des noirs aux USA sont tués par d’autres Noirs.
    50 000Femmes battues recensées +/- le même nombre en Noir qu’en « Autres » quand les Noirs représentent 13% de la population. Il y a un problème de violence,et délinquance plus aïgu chez les Noirs Américains, et le gouvernement pourra prévoir une politique de prévention et accompagnement. Sans Statistiques : débrouillez-vous !

    •  » Il y a un problème de violence,et délinquance plus aïgu chez les Noirs Américains, et le gouvernement pourra prévoir une politique de prévention et accompagnement. Sans Statistiques : débrouillez-vous ! »

      Euuuh logique please ?

      Les statistiques raciales existent depuis des lustres aux US … et ça n’a pas l’air d’avoir amélioré grandement la situation pour autant, si on en croit votre post.

  • Guy Sorman devient de plus en plus confus au fur et à mesure qu’il prend de l’âge. Pour ceux-là qui veulent vraiment avoir de vrais éclairages sur le problème noir aux Etats-Unis et qui peuvent lire l’anglais, je leur conseille les articles de l’intellectuel Afro-américain Thomas Sowell: http://www.creators.com/opinion/thomas-sowell.html.
    Passons à la critique de l’article.
    « Autre inconvénient de « l’affirmative action » : un Noir qui « réussit » aux États-Unis quitte le quartier de ses origines et cesse d’être un modèle pour ses congénères. » Qu’aurait-il fallu? Que le gouvernement force les Noirs bénéficiants de <> de continuer à vivre dans les ghettos ?
    « De nombreux analystes incriminent l’absence du père dans ces familles pauvres et violentes : mais cette absence est une conséquence de la culture du ghetto, pas la cause. »
    Je me demande bien sur quoi Sorman fonde cette affirmation. A l’époque des lois Jim Crow où ils y avaient de vrais ghettos, c’est-à-dire des lieux où les Noirs étaient contraints de vivre même s’ils avaient les moyens de vivre ailleurs, les familles noires étaient nettement bien plus biparentales qu’aujourd’hui. Leur conception de la famille s’inspirait alors de celle de leurs lointains ancêtres africains et de l’éthique chrétienne de l’époque. La présence des pères permettaient de refréner la déliquescence juvénile.
    Le succès de la contre-culture des années 60 ont fourni un excellent prétexte aux hommes noirs de ne plus s’occuper de leurs enfants. La politique d’assistanat lors de la fameuse « guerre contre la pauvreté » a fait croire aux jeunes femmes qu’elles pouvaient élever leurs enfants seules en comptant sur les subsides gouvernementaux. Les références morales traditionnelles ont commencé à être remplacées par d’autres références qui ne accordaient une moindre importance à la préservation de la cellule familiale traditionnelle: théologie de la libération, islam « négro-américanisé ».
    « Le seul fait de concentrer une population à risques en un lieu renforce les traits les plus négatifs de cette population »
    Personne n’a concentré les Noirs dans certains quartiers. Ils s’y sont concentrés tout seul, comme des grands, là où le logement était abordable et d’où il n’aurait pas eu besoin de dépenser trop d’argent pour se rendre au travail. A cause de la culture de la violence qu’ils instaurèrent, ils chassèrent d’autres communautés ethniques qui habitaient les même quartiers, même les Blancs peu nantis.
    « à Baltimore, le modèle que les jeunes Noirs ont sous les yeux est le chef de gang, pas Barack Obama. »
    Quand bien même ces jeunes auraient eu Barack Obama ou Floyd Mayweather comme modèles, cela ne les aurait pas éviter de tomber dans la délinquensce. Je m’explique. Un jeune, dans n’importe quel pays, a plus de chance de devenir un ingénieur, un médecin, un entrepreneur ou tout simplement un bon père de famille qu’un président ou une champion de boxe. Un jeune noir qui rêve de faire carrière dans la politique sera probablement vite désabusé en se rendant compte qu’il ne bénéfisie pas des même circonstances favorables. S’il nourrit du ressentiment, il est très probable qu’il adopte comme modèle le chef de gang du quartier.
    Le profond problème des Afro-Américain n’est pas un problème de géographie urbaine comme l’avance légèrement Sorman ou de racisme, mais plutôt de culture, plus précisément de la culture du ressentiment. A l’époque des lois Jim Crow, les Afro-Américains avaient infiniment plus de raison d’être en colère contre la société blanche. Malgré l’absence d’appuis gouvernementaux, ils s’en sortaient assez bien aussi bien sur le plan économique qu’éducatif. Ils avaient leurs propres écoles bien meilleurs que celles des Blancs en considérant le rapport (résultat scolaire )/(subvention publique). Malgré les polices locales franchement racistes, la proportion de Noirs en prison étaient nettement plus faibles qu’aujourd’hui et en rapport avec leur poids démographique. Aucune ville en majorité noire n’était en faillite u en quasi faillite: aujourd’hui, nous avons Détroit et Baltimore.
    Ces Noirs s’auto-détruisent dans la culture du ressentissement et des Blancs comme Sorman les y aident avec leur culture de culpabilisation perpétuelle envers les Noirs.

    • « Les références morales traditionnelles ont commencé à être remplacées par d’autres références qui ne accordaient une moindre importance à la préservation de la cellule familiale traditionnelle: théologie de la libération, islam « négro-américanisé ». »

      Pardon ? Vous trouvez qu’en Amérique Latine et en terres d’Islam on minimise la cellule familiale traditionnelle ?

      • Je n’ai pas dit « islam » tout court, mais plutôt islam « négro-américanisé » c-a-d celui de Nation of Muslim qui adhère à l’islam plus par rejet du christianisme considéré comme religion de l’oppresseur.
        La théologie de la libération est bien née en Amérique latine mais son succès populaire fut relatif à l’époque à cause de la répression des régimes dictatoriaux de l’époque. S’il est vrai que cette théologie ne battait pas précisément en brèche les conceptions de la famille traditionnelle, elle politisait tant l’enseignement religieux que les clercs délaissaient très souvent d’autres enseignements moraux. C’est ce qui s’est très souvent passé dans beaucoup églises protestantes négro-américaines.

        • – La majorité des musulmans noirs américains ne font pas partie de la Nation of Islam.

          – La théologie de la libération tiens un discours tout à fait orthodoxe sur la famille, comme d’ailleurs le démontre la sociologie et les politiques d’état dans les pays sud-américains (ou chez les latinos américains). Par ailleurs son maximum d’influence est limité dans l’époque que vous décrivez. C’est en déclin (sauf au Venezuela).

          – Parce qu’il y a confusion dans votre réponse : les églises protestantes n’ont rien à voir avec cette théologie qui est propre au catholicisme.

    • Vous avez raison sauf sur trois points :
      – Premièrement il y a réellement un problème de racisme (et de sexisme) aux USA et partout ailleurs dans le monde. C’est pas parce que le racisme anti-blanc existe que le racisme anti-noir n’existe pas, et c’est pas parce que la misandrie existe que la misogynie n’existe pas.

      Face à des patrons blancs, les noirs et les femmes auront en règle générale (il y a donc des exceptions) moins de probabilité que des hommes blancs (dotés des mêmes compétences d’eux) de se faire embaucher, de monter en grade, de se voir confier des responsabilités par leurs patrons blancs. Évidemment, la discrimination positive ou la parité ne sont pas une solution face à ces discriminations que subissent les noirs et les femmes. L’unique solution c’est de favoriser l’entrepreneuriat : supprimer toutes les lois qui, directement ou indirectement, empêchent aux noirs et aux femmes de créer leurs propres entreprises.

      – Deuxièmement la culture pour le moins problématique des afro-américains ( tel que le gangsta rap écouté par les jeunes) n’est que le reflet de la violence qu’entrainent de mauvaises politiques comme celles criminalisant les drogues. Légalisez les drogues et vous constaterez surement que les messages véhiculés dans le rap deviendront beaucoup plus positifs, ce qui aura aussi pour conséquence de réduire certains préjugés envers les noirs alimentés par le gangsta rap.

      – Troisièmement, vous affirmez que : « Les références morales traditionnelles ont commencé à être remplacées par d’autres références qui ne accordaient une moindre importance à la préservation de la cellule familiale traditionnelle: théologie de la libération, islam négro-américanisé. »

      Selon moi il est possible que « l’islam négro-américanisé » comme vous dîtes, ne soit qu’une évolution inévitable des traditions familiales afro-américaines plutôt qu’une destruction de ces traditions. (Tout comme il était inévitable que certaines idées de la contre-culture des années 60 surviennent un jour ou l’autre, d’une façon ou d’une autre, et provoquent l’évolution des moeurs de la société américaine.)

      • Je ne sais pas sûr quoi vous vous basez pour dire qu’il y a réellement des discriminations à l’embauche de la part des patrons A compétences égales. D’ailleurs, c’est un non économique. Une entreprise pratiquant de la discrimination disparaitera au profit d’entreprises ne pratiquant pas la discrimination. les seules facons d’avoir de la discrimination c’est soit que les consommateurs soient prêts à payer plus chers pour se fournir auprès d’entreprises qui discriminent soit que la discrimination est imposé par l’état. C’est la base même de l’économie.

        • « Le ne sais pas sûr quoi vous vous basez pour dire qu’il y a réellement des discriminations à l’embauche de la part des patrons  »
          Lisez le rapport annuel du médiateur, ça vous dira un peu pourquoi.

          • Le « A compétence égale » à du vous échapper supergolem.
            La A était pourtant en majuscule.

            Vos intervention sont toutes à coté de la plaque. Votre cerveau semble tous les points qui ne serait pas en accord avec vos envies.

            C’est dommage.

        • « c’est un non économique » c’est un non sens économique.
          @supergolem, j’ai bien mis à compétence égale. Cela me fait pensé au mythe de la différence salariale entre hommes femmes qui certes existe mais s’explique par des raisons tout autre que le sexisme. Il ne suffit pas d’avoir des chiffres, il faut regarder ce qu’il y a derrière. Je vais vous donner un exemple tout simple: bcp de noirs aux USA ont un casier judicaire,. Or un employeur préfère un employé sans casier judiciaire qu’avec.

      • « A compétences égales » ne veut pas dire « avec les mêmes diplômes ». Nous savons (peut-être) tous que le diplôme ou l’attestation de formation n’est pas le seul critère sur lequel s’appuie un employeur pour recruter.
        Ça ne me réjouit pas de le dire, mais je constate qu’en matière entrepreneuriat, les Afro-Américains se sont laissés bien bien largués par d’autres groupes ethniques. J’imagine aisément qu’il y a une pléthore d’Afro-Américains qui ont suivi des études supérieurs de High Tech, mais qui peut me dire combien d’entre eux ont des startups cotées au NASDAQ.

      • Là où je suis d’accord avec vous c’est dans le fait que le meilleur moyen de lutter contre la discrimination s’est par le marché. Si on regarde l’histoire, la plupart des discriminations sont causés par l’État.
        En israël, PQ y a t il eu une amélioration de la situation des arabes israéliens ? C’est grâce au fait qu’Israël s’est libéralisé. Avant israël était très socialiste, bcp d’entreprises appartenaient à l’État donc forcément elles engageaient plutôt des juifs. Avec la libéralisation, les entreprises sont devenus privées donc elles engagent leurs employés pour leur compétence. Imaginons que les entreprises discriminent les noirs. Ceux ci coûteront moins chers sur le marché de l’emploi donc d’autres entreprises les engageront et disposeront d’un avantage substantiel sur leurs concurrents qui discriminent. Celles ci auront le choix entre arrêter de discriminer ou faire faillite

      • Aux USA, sur le marché du travail, les Asiatiques sont bien plus cotés que les Blancs bien que l’écrasante majorité des patrons soient des Blancs. Vous avez dit discrimination raciale à l’embauche ?
        Je suis d’accord avec Jacques. La discrimination raciale à l’embauche est un non sens économique et c’est l’une des raisons pour laquelle elle a nettement reculé aux USA. Prenez le cas du sport. Au début, les équipes de Blancs ne recrutaient pas de Noirs. Mais les patrons de ces équipes se sont vite rendus compte que les équipes qui recrutaient des Noirs, même en se bouchant le nez, étaient nettement plus performantes. Depuis, les Noirs sont devenus ultra majoritaires dans le sport US, du moins au basket, baseball, athlétisme, etc.
        Cela ne signifie pas que tous les Blancs américains ont cessé d’être racistes, mais il vaut mieux pour un Blanc qui veut avoir un club qui gagne de mettre son racisme en veilleuse. Rappelez vous d’un ancien propriétaire de la franchise de NBA des Washington Wizzards qui démissionna pour avoir émis des propos franchement racistes dans un cadre privé. Pourtant, l’essentiel de ces joueurs étaient des Afro-Américains.

      • « Selon moi il est possible que « l’islam négro-américanisé » comme vous dîtes, ne soit qu’une évolution inévitable »
        Pardonnez-moi, mais j’ai du mal à me réjouir d’une évolution « inévitable » qui fragilise le tissu sociale et génère la délinquance juvénile.

        • @ekoulemaneng : vous avez délibérément enlevé la seconde partie de ma phrase. J’y expliquais que certaines traditions familiales afro-américaines ont peut-être juste été transformées par l’islam, et non pas détruites par l’islam. Le fait que l’engouement afro-américain pour l’islam soit corrélé avec l’augmentation de la délinquance juvénile ne signifie pas que celle-ci est causée par l’engouement pour l’islam. Ne faisons pas l’erreur (le sophisme) de confondre corrélation et causalité.

    • Avec Thomas Sowell, je crois les Noirs américains victimes de la sollicitude de la gauche.
      Connaissez-vous Walter E Williams ?
      C’est un ami de Sowell (et de Bill Cosby) et, comme lui, un maître à penser.
      Ils figurent parmi les miens, en tous cas, et au sommet…

  • +1
    Grâce au racisme positif, pardon à la discrimination positive, une personne d’une « minorité » (ça inclu les femmes étrangement, mais passons) qui réussi à moins de prestige car on ne sait pas si elle est la par compétence ou par quota.

  • Les immeubles anciens étaient souvent prévus pour la mixité: petits apparts bas de gamme au 1er et dernier étage, luxueux entre les 2.
    Maintenant c’est immeuble sociaux vs de standing.
    Idem pour les quartiers.

    Ceux qui ne veulent pas que cela change ne sont pas forcément ceux qu’on croit.
    Ainsi les municipalités communistes font tout ce qu’il faut pour que leurs »cites » restent des depotoirs.
    C’est une question de survie

  • Quel est le taux de fécondité des noirs américains versus les blancs ?

    Si on fait plus d’enfants, on a moins de temps et d’argent a consacrer a chaque enfant.

    • « Quel est le taux de fécondité des noirs américains versus les blancs ? »

      Le taux de fécondité est quasi le même entre blancs et noirs aux US.

        • Trop vieux ! 2007….
          VOici les chiffres 2012 (sur le site des ploucs de l’Heritage Foundation, ca devrait vous plaire!
          http://bit.ly/1FzV22D
          Blancs non hispaniques : 1,75 enfants par femme
          Noirs : 1,85
          Même chez les latinos ca chute d’ailleurs : 2,2 contre plus de 2,5 avant la crise.

          • (J’attends des excuses, Jul.)

          • Si vous n’arrivez pas à voir que les noirs font plus de gosses que les blancs sur votre graphique je comprend mieux vos positions sur ce débat.

            • Bon, je récapitule.
              J’ai dit : « Le taux de fécondité est quasi le même entre blancs et noirs aux US. »
              Taux de fécondité blanc : 1,75 enfants par femmes.
              Taux de fécondité noir : 1,85 enfants par femme.
              0.1 enfant par femme de différence me semble parfaitement compatible avec « quasi le même ».

              Alors ces excuses ? J’ai tout mon temps.

              P.S. : On remarque que, dans l’absolu, ce sont 2 taux de fécondité très atones, typiques des pays développés (la France faisant exception). Ce qui relève le taux de fécondité global, aux US, c’est les latinos, qui sont à 2,3

              • « quasi le même »

                Non

                • Ben si, désolé, par tous les standards, c’est pratiquement la même chose, on est dans le bas de l’échelle mondiale.
                  EN Mayenne, un des départements les plus « blancs » de France, la fécondité est de 2,2 : ça c’est beaucoup plus. En Guyane française, ca monte à 3. Ca c’est beaucoup plus.
                  1,75 et 1,85, d’un point de vue démographique, c’est que dalle comme différence.
                  Ergo, c’est pas la quantité d’enfants qui apauvrit plus spécifiquement les noirs que les blancs : ils en font grosso modo autant les uns que les autres. Fin d’une idée reçue à la con.
                  Ca s’explique d’ailleurs assez bien : une famille monoparentale a en général beaucoup moins d’enfants qu’une biparentale, car la famille monoparentale, par définition, ne s’accroit plus (sauf par recomposition).

                  • Quel est le taux de fécondité des blancs en Mayenne et celui des noirs ?
                    L’avez vous ?
                    Ceci dit vous avez raison il ne sont pas pauvre parce qu’il on plus de gosses.
                    Ils sont pauvres parce que leur QI est faible, et il font plus de gosses car leur niveau de testostérone est plus élevé.

                    • « Ils sont pauvres parce que leur QI est faible, et il font plus de gosses car leur niveau de testostérone est plus élevé. »
                      Jul, Contrepoints, 24 mai 2015
                      C’est un trophée une phrase pareille.

  • Et l’islam ici comme outre atlantique est souvent adopté comme rupture avec la société vue comme privilégiée et exploiteuse, dans un mélange confus et absurde d’ethnicisme et de marxisme – et d’inculture, car un tel choix de la part de Noirs descendants d’esclaves démontre une ignorance crasse du passé…

    • « inculture »
      « une ignorance crasse du passé »

      C’est plutôt ce qui caractérise la superficialité des débats sur ce post.

      • « C’est plutôt ce qui caractérise la superficialité des débats sur ce post. »
        De grâce, mettez alors plus de profondeur dans le débat.

    • « …car un tel choix de la part de Noirs descendants d’esclaves démontre une ignorance crasse du passé… »
      En effet, une très grande proportion des esclaves africains vendus aux négriers américains étaient capturés par les Fulanis (ou Peuhls ou Foulbés), une tribu africaine déjà islamisée.
      De plus, la traite négrière arabe fit presque autant sinon plus de victime que la traite atlantique. Mais si on ne trouve quasiment pas de Noirs, descendants de ces esclaves-là, dans les pays arabes, c’est parce que non seulement on ne permettaient pas aux Noirs de se reproduire, mais en plus on castrait bon nombre d’entre eux pour surtout éviter qu’ils couchent avec les femmes arabes.
      Donc, à certains égards, les esclavagistes blancs chrétiens se comportèrent envers leurs esclaves que les esclavagistes arabo-musulmans.
      Quand des Afro-Américains embrassesnt l’islam par simple rejet du christianisme « religion-de-l’oppresseur », si ce n’est pas de l’inculture et une ignorance crasse du passé, qu’on me dise de quoi il s’agit.

    • @Fucius : Contrairement à ce que vous laissez entendre, il est tout à fait possible que des afro-américains se convertissent à l’islam justement pour être moins incultes, c’est-à-dire par soif de savoir, soif de culture, soif de spiritualité, et sans nier le moins du monde les atrocités perpétrées par certains arabo-musulmans dans le passé et encore aujourd’hui contre les noirs en afrique. Quelqu’un comme le brillant saxophoniste John Coltrane, qui s’est brièvement intéressé à l’islam, ne m’a pas franchement l’air d’être un débile. On pourrait citer des tas d’autres exemples d’afro-américains qui se sont intéressés à l’islam parce qu’ils étaient des individus cultivés, érudits, curieux, ouverts d’esprit… et non parce qu’ils étaient des haineux débiles.

      D’autre part, dois-je rappelez à des libéraux aussi avertis que vous que murray rothbard en personne à un jour écrit que les nationalistes noirs (tels que justement les « Black Muslims ») sont peut-être beaucoup plus libéraux que les noirs « intégrationnistes » ? Lisez par vous même : « There is no question that black nationalism is a lot more libertarian than the compulsory integration pushed by Martin Luther King, the NAACP, and white liberals. »

      C’est donc assez réducteur de qualifier l’islam négro-américanisé de « marxiste »….

      • La plupart des gens se convertissant à l’islam le font soit pour pouvoir épouser une musulmane (ou un musulman) car bcp de musulmans n’acceptent pas le mariage mixte. Ceux la ne sont pas des vrais musulmans. soit car ce sont des paumés et l’islam leur offre un repère. Ceux la se sont des gens incultes qui ne connaissent pas vraiment l’islam. Ils sont extrémistes. C’est exactement le même genre d’individus rentrant dans des sectes. D’ailleurs, l’islam qu’ils pratiquent à plus de caractéristiques avec la secte qu’avec la religion. Bien sûr, vous avez tjs des exceptions. Aux USA, il y a aussi des fausses convertions de noirs en prison. Ils utilisent les lieux de prières musulmans pour faire le trafics comme ceux ci ne peuvent pas être mis sur écoute. S’intéresser à l’islam ne veut pas dire se convertir. Perso, je me suis intéressé à l’islam. Jamais je me convertirais. L’islam a un sérieux problème avec l’esprit critique. Il incite à ne pas avoir d’esprit critique. La, je ne fais que répéter ce que disent des intellectuels musulmans

        • « L’islam a un sérieux problème avec l’esprit critique. Il incite à ne pas avoir d’esprit critique. »

          Comme toutes les religions, hein !
          Etre croyant c’est avoir la foi, et ceci est incompatible avec le fait de douter, donc incompatible avec le fait d’avoir beaucoup d’esprit critique.

          • Prenez un pays très chrétien comme l’Irlande, l’Italie ou le Pérou. Prenez un autre pays très musulman comme l’Arabie Souadite, le Paskistan ou l’Indonésie.
            Allez vous y balader avec des affiches caricaturant selon les cas Jésus ou Mahomed.
            A votre retour, vous nous ferez un rapport très honnête et très impartial sur les différentes réactions de tolérance religieuse à vos caricature.
            Ah, je suis parfois atterré pas la naïveté et le relativisme culturel de beaucoup de libertariens !!!

          • l’isalm plus particulièrement. Oui, la religion est du domaine de la foi mais cela n’implique pas dans la plupart des religions un certain esprit critique, une certaine réflexion. Prenez l’exemple du judaisme, c’est une religion où on pousse les croyants à réflechir.
            L’un des problèmes de l’islam s’est le fait que les musulmans considérent le coran comme la parole de Dieu ce n’est pas le cas du christianisme (la bible a été traduit par plusieurs langues(araméen, grec, latin). or traduire s’est déja interpréter. donc cela demande une certaine réflexion)

    • l’esclavage, jusqu’à une période récente à l’échelle de l’Histoire, constitua l’une des pratiques les plus universelles pratiquées par l’humanité, sur les cinq continents et probablement depuis que cette humanité existe. Les paléontologues mirent récemment en évidence des traces d’esclavage à l’ère paléolithique, c’est-à-dire 6000 ans avant JC. toutes les civilisations ont pratiqué l’esclavage, la première a l’avoir abloi c’est la civilisation occdentale. l’esclavage fut aboli dans les royaumes chrétiens d’Europe occidentale dès le XIII ème siècle. Ainsi Louis XIV déclarait-il « tout esclave posant les pieds en mon royaume sera immédiatement un homme libre ». L’Occident chrétien fut, pendant plusieurs siècles, la seule civilisation à avoir banni l’esclavage sur son sol. La quasi-totalité de l’humanité le pratiquait alors.
      Lisez l’Histoire des traites négrières de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau, spécialiste de l’histoire de l’esclavage. il y a eu 11 millions d’Africains victimes du trafic occidental, 14 millions pour la traite inter-africaine, 17 millions pour la traite orientale.

    • les arabes musulmans sont les plus grands esclavagistes de tous les temps.Tidiaine N’DAYE, un sénégalais musulman, dans son livre « Le génocide voilé », paru en 2008, rappelle que si l’esclavage transatlantique a été une tragédie, celui arabo-musulman a été une MONSTRUOSITE pour reprendre ses termes. autre livre intéressant: l’esclavage en terre d’islam de Malek Chebel http://www.herodote.net/622_au_XXe_siecle-synthese-12.php une vidéo tres intéressante: https://www.youtube.com/watch?v=cJiArz9pOMw les plus grands esclavagistes de tous les temps furent les arabes. ils ont d’ailleurs, réduit plusieurs millions d’européens en esclavage. http://www.pvr-zone.ca/esclave_blanc.htm http://www.dailymotion.com/video/xwin8f_islam-et-esclavage-la-traite-negriere-arabo-musulmane_news?start=67 https://www.youtube.com/watch?v=o1__Y5RuPJU&feature=youtu.be v=MzQ0MQ%3D%3D http://fr.guyderambaud.wikia.com/wiki/Les_esclaves_français_des_Maures_et_des_Turcs.#cite_note-2
      Il y a aujourd’hui 70 millions d’individus qui sont DESCENDANTS ou METISSES d’Africains qui PEUPLENT le continent américain, des Etats-Unis au Brésil en passant par les Îles Caraïbes, ALORS qu’on n’en trouve PLUS trace dans les pays arabo-musulmans. pq ?? parce qu’ils ont tous disparu. car les arabes pratiquaient la castration systématique des esclaves males(https://www.youtube.com/watch?v=eXlmwx1qHDQ ). la traite négrière arabe a duré beaucoup plus longue dans le temps ( du VIIIe au XXe siècle). La traite occidentale ( à partir du XVIe siècle, vers les Antilles et les Amériques ) aurait eu du mal à se développer si elle n’avait pu s’appuyer sur des structures esclavagistes existant de longue date en Afrique et qui avaient été implantées par des ethnies et des Etats islamisés ( Peuhls, Wolofs, Haoussas, … : toutes peuplades dites » niangs » , c’est-à-dire à peu près l’équivalent de » talibans » : » ceux qui étudient le Coran » ) qui se livraient, d’abord au profit des négriers maures, puis tout naturellement ensuite au profit des négriers blancs, à la chasse aux peuplades » niaks » ( animistes ), jugées inférieures et simiesques

  • les problèmes à baltimore n’étaient pas avant tout raciales. la moitié des policiers impliqués étaient des noirs mais bien sûr, la plupart des médias n’en ont pas parlé tout comme ils n’ont pas dit que le chef de la policier, la maire, le procureur,….étaient tous des noirs. ils ont préféré crier au racisme.
    http://www.slate.fr/story/100985/ferguson-baltimore-emeutes-problemes-raciaux

  • Qu’est-ce qui brûle vraiment à Baltimore ? 50 ans de politiques d’Etat-providence socialiste.
    http://davidstockmanscontracorner.com/whats-really-burning-in-baltimore-50-years-of-liberal-welfare-state-policies/

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