Valls se prenant pour Churchill – il a de la marge – promet à la France de la sueur et des larmes, trois années de sacrifices avant de renouer avec le bon vieux temps du socialisme béni de Marx.
Tous les libéraux savent que le premier et plus gros problème de l’économie et de l’État, c’est l’État et son obésité. Au lieu du relooking extrême nécessaire, il y a encore plus de fonctionnaires qu’avant, après le poil perdu sous Sarko. Nous en sommes à 5 400 000 indispensables dans les trois administrations de la fonction publique (État, territoriale, hospitalière). Les demandes de sacrifices de Valls ? C’est pour maintenir ce troupeau de mammouths, par pour les dégraisser.
Rien de nouveau sous la neige (n’en déplaise au GIEC) et les boules de neige dans la tronche, c’est pour nous, heureux contribuables.
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