L’enfer est pavé de bonnes intentions (13) : l’écologie

Deux ouvrages qui mettent en miette l’écologiquement correct et ses approximations scientifiques.

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L’enfer est pavé de bonnes intentions (13) : l’écologie

Publié le 1 août 2014
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Par Johan Rivalland.

L’enfer est pavé de bonnes intentions… L’écologie, ou plutôt l’écologisme, en est l’exemple parfait. Comment, sous prétexte de sauver l’Homme, aller dans le sens de son asservissement et lui faire perdre raison…

Pour commencer, une remarque : il existe tant d’articles passionnants sur le sujet sur Contrepoints que je vous invite d’ailleurs à découvrir (si ce n’est pas déjà fait), pour que je puisse y faire référence ici. Ils sont également bien plus récents, factuels, actuels et souvent plus précis que ce que je vais vous proposer ici. Je m’en tiendrai, pour ma part, à la présentation de deux ouvrages qui n’en demeurent pas moins excellents et parfaitement évocateurs d’un sujet qui prête ici beaucoup au débat (hélas insuffisamment ailleurs, au vu de l’unanimisme ambiant lié justement à l’absence de débat qui règne sur le sujet).

L’imposture verte

L'imposture verteEn matière d’écologie, on entend trop souvent le même son de cloche (ce qui s’explique par ce que Pierre Kohler qualifie d’écologiquement correct, par analogie avec le politiquement correct tant pratiqué et décrié tout à la fois), avec ses nouvelles plus catastrophistes les unes que les autres et… ses approximations, reposant souvent d’ailleurs sur une source unique ou des modèles mathématiques parfaitement critiquables, où la valeur attribuée à un paramètre peut engendrer des variations colossales dans les résultats et les conclusions que l’on peut en tirer.

À travers cet ouvrage au titre évocateur et très instructif de Pierre Kohler, c’est une bonne bouffée d’air pur que l’on prend. Un vrai travail journalistique, méticuleux, comme il se doit, et particulièrement instructif. Depuis que j’ai lu cet ouvrage à sa sortie, en 2002 (c’était le premier ouvrage que je lisais sur le sujet), je ne vois plus les choses de la même manière en matière d’environnement.

C’est le cas de plus en plus de monde et il faut des ouvrages aussi marquants que le best-seller mondial L‘écologiste sceptique de Bjorn Lomborg, un ancien militant reconverti depuis qu’il a cherché à vérifier scientifiquement ses sources, pour que les idées sur la question évoluent, ou des articles de presse qui de plus en plus souvent émettent désormais des doutes sur la vérité officielle.

Celle-ci, en effet, est souvent le monopole d’organismes publics, tels le GIEC en matière de climatologie, interdisant à toute étude dissidente de paraître dans les revues scientifiques de référence. Une attitude indigne après les errements scientifiques de siècles passés dans d’autres domaines scientifiques (même après Galilée).

L’ouvrage, qui n’a pas pris une ride, défend l’idée très intéressante selon laquelle une connivence d’intérêts serait à l’origine de cet unanimisme, thèse tout à fait plausible. Perspectives de carrière pour certains scientifiques, crédits de recherches pour d’autres, cause emblématique pour les écologistes, sujet porteur pour les médias, intérêt pour les politiques à ne pas aller à l’encontre des vérités du moment, voire à s’en emparer pour en établir un fonds de commerce…Tous les ingrédients sont réunis pour en faire une véritable idéologie dominante, dont la propension du public à se laisser impressionner par le sensationnalisme ne se départit pas. Et gare aux  dissidents !

Les pluies acides (dont on a tant parlé, sans en jamais connaître en revanche le surprenant épilogue), les nitrates, dioxines, ou autre phosphates, le trou de la couche d’ozone et le réchauffement de la planète, les illusions de l’énergie éolienne, etc. Autant de sujets que l’auteur reprend point par point, éléments à l’appui, pour montrer combien nous sommes victimes de désinformation et de manipulations. Un ouvrage riche en révélations, donc parfaitement d’actualité pour quelques années encore, destiné à tous les curieux et ceux qui sont prêts à ouvrir le débat sur ce sujet tabou et remettre éventuellement en question des vérités souvent trop facilement admises.

Planète bleue en péril vert

Planète bleue et péril vertOn ne présente plus, ici, l’auteur de cet ouvrage paru en 2009, ex-président de la République tchèque, aux idées jugées iconoclastes, régulièrement vilipendé pour avoir osé simplement émettre des idées contraires à celles dominantes au sein de l’Union européenne, notamment au sujet de la construction de celle-ci.

Ici, Vaclav Klaus prévient d’emblée que son essai est politiquement incorrect et risque inévitablement de heurter les sensibilités (si l’on peut dire). Se référant à une déclaration du ministre britannique de l’Environnement de l’époque, tout à fait symptomatique, il montre jusqu’où peut aller l’intolérance et la violence dans les propos de ceux qui ne voudraient en aucun cas que l’on songe à simplement remettre en question la moindre parcelle des affirmations aujourd’hui dominantes au sujet de la planète. Ce ministre déclarait, en effet, que « de même que les terroristes n’ont pas le droit d’apparaître dans les médias, devraient aussi en être exclus les sceptiques du réchauffement de la planète. »

En résumé, Vaclav Klaus déplore la plus grande part très souvent prise par l’imaginaire au détriment du réel.

L’environnement est devenu une idéologie (pour les riches), qui vire à la propagande et est peu à peu devenu presque sans rapport avec la nature, le but affiché étant de plus en plus de changer l’homme, ou la société. Cela ne vous rappelle rien ? Vaclav Klaus, lui, oui, qui a connu et souffert du communisme et connaît bien mieux que nous la malignité de cette idéologie meurtrière.
Dès lors, il se présente comme un homme en colère.

Et il y a de quoi lorsqu’on lit les citations affligeantes pour leurs auteurs, présentées en encadrés, véritables appels au meurtre ou à l’effondrement de la civilisation industrielle. Deux exemples :

Maurice Strong, envoyé du secrétaire général de l’ONU : « Le seul espoir de notre planète n’est-il pas que la civilisation industrielle s’effondre ? »
George Monbiot, éditorialiste au Guardian : « Chaque fois que quelqu’un meurt du fait d’inondations au Bangladesh, il faudrait que l’un des responsables des compagnies aériennes soit sorti de son bureau et noyé. »

Je vous laisse apprécier…

La réalité est celle que révélait Pierre Kohler : l’intérêt commun de certains hommes de sciences, heureux de recevoir des subventions pour leur laboratoire, tandis qu’hommes politiques et médias ont, pour les uns à y gagner en votes, pour les autres en vente de papier (rien ne se vend mieux que le sensationnel et le catastrophique).

Le problème est que les raisonnements se basent sur une vision statique erronée. L’auteur, économiste (mais pas seulement), s’en explique par la démonstration et par la référence à de nombreux rapports de scientifiques (y compris d’ailleurs ceux du GIEC, dont les interprétations sont parfois hâtives, malhonnêtes, voire erronées), montrant que l’on devrait se baser sur une perspective dynamique, comme l’expérience passée l’a toujours montré.

Mais gare à celui qui tente de s’écarter, par ses travaux, de l’idéologie dominante. Des procédés d’intimidation similaires à la période soviétique visent alors à l’écarter systématiquement. Ainsi en est-il allé de Bjorn Lomborg, excommunié par le « Comité danois contre la malhonnêteté scientifique »… tout un symbole. Très comparable au procès de Galilée en son temps, nous livre l’auteur.

Le réchauffement de la planète en question

Mais, si l’on reprend le problème du début, nous dit l’auteur, même à supposer qu’il y aurait une réelle influence humaine sur l’évolution du climat (voir, à ce titre, pour une vision tout à fait neutre et très instructive sur les cycles longs notamment, L’homme face au climat : L’imaginaire de la pluie et du beau temps de Lucian Boia), une élévation modérée de la température serait-elle gênante ? Pas si sûr…

Mais malheureusement, peut-on se poser toutes les questions utiles lorsque « le différend scientifique légitime se perd complètement dans le brouhaha politique et médiatique » ? Sait-on, par exemple, que la fonte des glaciers est une tendance annoncée depuis longtemps et en net ralentissement actuellement, semblant ainsi infirmer les théories sur la responsabilité humaine ? Sait-on que la région autour du Kilimandjaro refroidit, mais que le glacier diminue depuis 100 ans à cause de la baisse sur long terme de l’humidité ?

Pas si anecdotique, lorsqu’on pense à toutes les conséquences tirées actuellement de l’influence présumée de l’homme sur la nature…

Et s’interroge-t-on vraiment sur les dimensions à la fois temporelles mais aussi géographiques du réchauffement ? Sait-on, encore, ô stupeur de l’auteur lorsqu’il l’a découvert, que le réchauffement ne se produit pas uniquement sur Terre, mais aussi sur plusieurs autres planètes du système solaire (élément d’importance et pourtant apparemment négligé) ?

Conclusion de l’auteur : Il vaut beaucoup mieux laisser libre cours à la spontanéité de l’action humaine que de s’en référer à quelque génie ou dictateur, comme l’a déjà montré la mégalomanie de l’expérience communiste par le passé. C’est plus, finalement, la liberté qui est en danger que le climat (d’où le sous-titre de l’ouvrage).

Le problème est que :

les environnementalistes considèrent leurs idées et arguments comme étant une vérité incontestable, et utilisent des méthodes sophistiquées de manipulation des médias et des campagnes de relations publiques pour exercer des pressions sur le législateur afin d’atteindre leurs objectifs. Leur argumentation repose sur la peur et la panique qu’ils répandent en soutenant que l’avenir du monde est sérieusement menacé.

Et quid de l’appel d’Heidelberg, signé nous rappelle Vaclav Klaus par plus de 4000 scientifiques (!), dont 72 Nobel ? « Qui s’en soucie ? », demande pertinemment l’auteur.

À quand, donc, l’ouverture d’un vrai débat sur tous ces sujets ? Et à quand la fin des réactions excessives et intolérantes ? Ces questions sont loin d’être innocentes. Nous sommes en train de bouleverser peut-être complètement nos civilisations et de compromettre le développement des sociétés les plus démunies. Cela ne mérite-t-il pas un débat sérieux entre scientifiques (devant lesquels le médiatique et le politique devraient s’effacer pour retrouver un caractère sain à la recherche fondamentale et au débat) ?

L’enfer est pavé de bonnes intentions… le problème, comme toujours, étant de voir ce qui se cache derrière ces bonnes intentions, pas toujours si innocentes…

— Pierre Kohler, Limposture verte, Albin Michel, septembre 2002, 280 pages.

— Vaclav Klaus, Planète bleue en péril vert Quest-ce qui est en danger aujourdhui : le climat ou la liberté ?, IREF, mai 2009, 117 pages.

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  • Merci. Commandes passées !

  • Il n’est de véritable écologie que du nombre. Moins de prédateurs = moins de prédation
    A contrario d’une écologie bisounours, « le nez dans le guidon », il est plus que temps de penser à un développement durable parce que conscient de certaines réalités fondamentales.
    Alors qu’il se déclare prêt à réduire ses prétentions et un appétit qui au contraire grandissent chaque jour, l’homme ne peut prendre le progrès qu’avec ses avantages et ses inconvénients. L’agroalimentaire moderne, les multinationales, l’énergie nucléaire, l’industrie chimique, …, la mondialisation elle-même, … sont avant tout les fruits de ce progrès, au profit du nombre et voulu par lui, en réponse à sa recherche jamais assouvie d’un confort trop facilement pris pour le bonheur, ainsi qu’aux exigences de sa prolifération.
    Lire à ce sujet :
    https://docs.google.com/document/d/1_Ck45CwJdgqxmX-OlcUkhMOnTXaHkZqnSMhIxbYvKXs/edit
    Et plus généralement :
    http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

  • Un autre livre, L’imposture écologiste écrite par un ancien écolo:
    http://www.editions-du-trident.fr/catalogue#imposture-ecologiste

  • Bonjour,
    A propos du premier ouvrage que vous citez, « L’imposture verte » de P. Kohler, quelques éléments sont à rappeler. A la page 173 il prétend que l’éolienne la plus puissante du monde est de 750 kW alors qu’en réalité elle de plus de 6000 kW. Page 376, il explique que les éoliennes doivent être mises hors service lorsque la vitesse du vent dépasse 4m/s, en réalité c’est 25 m/s. Page 372, il prétend que les centrales thermiques ont une efficacité de l’ordre de 80% quand dans la réalité elle est de 40%. Page 378, l’auteur affirme que la demande d’électricité est la plus forte la nuit alors que c’est là où elle est la plus faible. Page 377, il écrit « l’énergie irradiée par le soleil ne dépassant pas 1350 W/m², alimenter un appareil de 1000 W nécessiterait donc une surface d’environ 75 m² à condition que le rendement de la conversion soit de 100 % ». Drôle de calcul. Page 94 il nous dit que les pots catalytiques n’éliminent « tout au plus qu’un tiers des polluants » et page 45 cela passe à 90%. Ces arguments sont issus de la critique émise par P. Quirion.

    • L’ouvrage date de 2002, on est en 2014, alors la puissance des éoliennes a évolué depuis ❗
      Près de Dijon, je vois des champs de ces moulins à vents arrêtés sans raison valable, sinon peut-être un petit orage à l’horizon…

      • en vertu du principe de précaution, on devrait arrèter les eoliennes toutes les fois qu’il souffle , sinon , elle pourrait se fracasser au sol et y tuer une libellule …

        caramba !

      • allons petit rigolo, le commentaire a été fait à la sortie. Aujourd’hui l’éolienne la plus puissante est e 8000 kW ! Vous voyez que je n’est pas voulu biaisé !

        • Le charlot, c’est vous :mrgreen:
          Vous ne biaîsez pas, vous tentez de nous baiser 🙁

          Les moulins à vents étaient sans pales orientables, vitesse fixe, 1500 MW quand le livre a été écrit en 2002.
          C’est à partir de cette date que les pales sont orientables, la vitesse variable et la puissance augmente à 2000 MW.

          • Le critique dont je m’inspire de Quirion date de 2002 ! Vous même semblez avoir des lacunes en physique pour confondre kW et MW. Ceci dit, Quirion ne parle pas d’éoliennes de 6MW comme moi mais de 4,5MW. Désolé….

            • Oui Normalement 1000kw = 1 Mw à 1500 mw ce sont des éoliennes nucléaires …
              Pour répondre à Michel sur le cycle combiné si je comprend bien le rendement de la bouilloire est meilleur car elle produit de l’ électricité et récupère de la chaleur et eau chaude donc certainement supérieur à 40 % /

              • Oui le rendement peut-être nettement meilleur que 40%. Cela implique d’être proche d’une ville et donc de ne pas trop polluer, et le gaz semble être le meilleur candidat.

                Pour le reste, des éoliennes nucléaires pour nous rafraîchir, ce n’est pas idiot…;)

            • Peut importe MW ou KW, les gens normaux auront corrigé.
              Non je ne manie pas les puissances tout les jours comme vous.
              Puisque vous insistez lourdinguement, l’information que l’on trouve sur le net ne corrobore pas vos dires pour 2002.

              • en 2004 est installé une éolienne de 5MW. Précédemment existaient des éoliennes de 3,4 MW (Senvion par exemple). On est bien loin des 750 kW de P. Kohler même si je prends vos 1,5 MW !

                • ENERCON E126 – The World’s Largest Wind Turbine – La turbine mondiale la plus grosse – 1/01/2009

                  This is the Enercon E-126, the first wind turbine with 6 MW rated power, rotor diameter: 126m (413ft), hub height: 135m (450ft). Two of these giant wind power units have been built for testing at an onshore location, Rysumer Nacken, near Emden, in the northwest of Germany.

                  Here each WPU is expected to produce about 18 Mio kWh per year, enough for more than 4,500 homes.

                  La machine Enercon E-126, la première éolienne d’une puissance de 6 MW. Diamètre du rotor: 126 m (413 ft), hauteur de la nacelle: 135m (450ft). Deux de ces unités éoliennes géantes ont été construits pour des essais en situation onshore, à Rysumer Nacken, proche de Emden, au nord ouesr de l’Allemagne.

                  Il est attendu que chaque unité éolienne puisse produire 18 millions de kWh nets annuels, suffisant pour alimenter plus de 4500 maisons d’habitation.

                  Ne chipotez pas, je vous crée une machine d’essai de 30 MW sans problème, non répertoriée, non commercialisée. Complètement dépassé hein :mrgreen:

                  • faisons simple : êtes-vous d’accord sur le fait que P. Kohler raconte des âneries dans son bouquin notamment sur la puissance maximale des éoliennes ? Je vous rappelle que c’est cela le sujet !

    • Exagéré d’ écrire petit rigolo car votre phrase n’ est pas claire
      ….750kw alors qu’ en réalité elle de plus de 6000kw . donc un mot manquant qui serait : était
      votre com de toute façon est fort concis et intéressant ! bien que pour les centrales thermiques le rendem à mon avis est variable 40 % est peut etre une moyenne /

      • Il existe des cycles combinés à gaz pour le réseau de chauffage et d’eau chaude.
        En hiver, le rendement est plutôt élevé, plus faible en été.

  • Excellente idée que d’attirer l’attention sur des ouvrages qui, comme le montre bien l’article, seront mis sous l’étouffoir par les grands media, voire par certains distributeurs « culturels » (la Fnac, par exemple, est coutumière de ces omissions sur base idéologique). Permettez-moi d’y ajouter un titre, méconnu, où les impostures et trucages de la propagande écologiste étaient parfaitement mis à jour, il y a 18 ans déjà :
    Bernard Oudin, « pour en finir avec les écolos », Gallimard 1996.
    Peut-être peut-on encore le retrouver, au moins sur le net.
    Je viens de reprendre en main mon exemplaire : ça n’a pas pris une ride. J’ajouterai : Hélas ! car ça veut dire que l’aveuglement collectif sur une des plus grandes manipulations de l’histoire n’a fait que s’aggraver.
    L’histoire jugera, mais après combien de dégâts entraînés par une politique qui mine les ressorts économiques autant qu’elle assassine silencieusement le peu de liberté qui reste…

  • Cet article est très gentil et quelque peu bisounours alors que toutes ces fadaises de « sauver la planète » ont et sont encore inventées par de vrais méchants cupides et quasiment inattaquables tellement ils sont puissants.

    C’est le sujet d’un rapport du sénat américain qui vient de sortir : C’est impressionnant et cela explique pour la première fois (il me semble) officiellement cette immense arnaque géopolitique.

    Sommaire du rapport :
    « …Un groupe d’élite de millionnaires de l’aile gauche et des milliardaires, dirigent et contrôlent le mouvement environnemental d’extrême-gauche, qui contrôle à son tour des décisions de politique majeures et des groupes de pression pour le compte de l’Agence de Protection U.S.Environmental (le MINISTÈRE DE L’ENVIRONNEMENT)…

    Lire :

    [1] « Comment un club de milliardaires et leurs « fondations » dirige le mouvement environnemental et le MINISTÈRE DE L’ENVIRONNEMENT d’Obama… »

    [2] « « Rapport du Sénat : Des milliardaires financent secrètement la machine environnementale »
    « Le Club de Milliardaires » manipule de l’argent par des mécanismes labyrinthiques et des échappatoires fiscaux sophistiqués pour dissimuler la source du financement.
    C’est de la corruption du haut jusqu’en bas … »

    [3] « L’échelle de la conspiration « par un petit groupe de millionnaires puissants et actifs et des milliardaires qui exercent une emprise énorme pour un effort colossal » est si gigantesque, admet le rapport, qu’il a à peine pu en griffer la surface. »

    ……….

    On n’est vraiment pas dans le bisounours mais dans la corruption financière mondiale au plus haut niveau et l’ONU n’en est que le bras armé…

    [1]http://wattsupwiththat.com/2014/07/30/breaking-senate-report-exposes-the-climate-environmental-movement-as-being-a-cash-machine-controlling-the-epa/
    [2] http://joannenova.com.au/2014/08/senate-report-billionaires-covertly-funding-far-left-environmental-machine/
    [3] http://www.breitbart.com/Breitbart-London/2014/07/30/Shock-US-Senate-Minority-Report

  • je pige pas les écologistes. le parti eelv (comme le reste des partis écologistes d’europe) est économiquement très keynésien. ils sont illogiques car l’ incitation à consommer à tout prix est keynésienne et social-démocrate . les keynésiens si ils sont logiques avec leur théorie devrait être les premiers à se réjouir de l’obsolescence programmée. donc les écologistes, s’ils étaient logique avec eux même ils devraient être favorable à l’obsolescence programmée et la surconsommation. pour rappel, la surconsommation est clairement un pur produit de la social démocratie, cela s’est développé avec le modèle social démocrate

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