Vite, un impôt pour sauver Valls !
Le regard de René Le Honzec.
Nos ministres, grâce à l’affaire Cahuzac, ont juré de publier leurs patrimoines en toute transparence. Nouveau gouvernement, rebelote, ce qui permet d’intéressantes comparaisons. On est dirigé par un loser, qui au bout de 30 ans de politiquerie politicienne, pur produit apparatchik qui n’a jamais vu une entreprise, n’a visiblement pas les moyens de se payer une Rolex comme le recommandait un ami de feu Mitterrand. Non seulement Valls à 51 ans n’avoue qu’un patrimoine de 93 000 euros, mais par rapport à sa précédente déclaration en 2013 – 198 500 euros – il a perdu 103 000 euros depuis un an. Et il a 200 000 euros d’emprunts à rembourser. Soyons lucide, il est en pleine précarité.
Première réflexion : doit-on penser qu’un politicien-fonctionnaire de son niveau (Maire d’Évry, Président de Communauté d’agglomération, député,
Que tout le gouvernement se cotise pour galvaniser la France des pauvres, en lui montrant que les socialistes, même sociaux-démocrates, peuvent changer la donne ! Créons une taxe de solidarité, qu’on appellerait la Vallstaxe, qui reposerait sur la progressivité des revenus patrimoniaux des camarades de travail de Valls et qui permettrait à Valls de sortir de l’ornière et de repartir en croyant en l’Humanité pour sauver ses frères chômeurs, qui, comme lui, n’ont pas toujours 93 000 euros au bout de 30 années de labeur au service de l’État, cet ingrat.