Exclusif : l’IRM du cerveau de Hollande révélée

En exclusivité, la dernière IRM du cerveau de François Hollande vient d’être publiée, et elle révèle son obsession pour sa réélection en 2017…

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Exclusif : l’IRM du cerveau de Hollande révélée

Publié le 13 mai 2014
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Par Nicolas Nilsen.

cerveau hollande

L’IRM du cerveau de Hollande devait évidemment rester confidentielle… Mais des médecins-militaires du Val-de-Grâce se considérant « libérés du secret médical dans l’intérêt de la France » viennent de la publier sur Internet. Elle est édifiante car elle révèle que toutes les mesures prises par Hollande ne sont pas guidées par l’intérêt exclusif du pays mais par une obsession unique et maladive : sa propre réélection en 2017…

Faire monter le Front national

En bon élève de Mitterrand, François Hollande sait que pour être réélu aux prochaines présidentielles il doit impérativement dynamiter la droite qu’on appelle « républicaine » et faire monter le FN d’abord dans les sondages et ensuite dans les urnes.

Il sait très bien que s’il a Sarkozy ou Juppé en face de lui en 2017, il est mort. Mais que si c’est Marine le Pen, il repasse sans difficulté. Et donc ? Et donc il fait tout pour agiter les chiffons rouges qui divisent l’opinion, exaspèrent la droite classique et font monter l’extrême-droite. Hollande est un politicien, mais il n’est pas bête. Le seul problème est qu’il y a une très grande différence entre un petit politicien calculateur et un grand homme d’État !

Une « certaine idée de la France »

  • En 1958, le Général de Gaulle trouve le pays dans un état catastrophique : les caisses sont vides, les finances sont dans le rouge et, pour boucler les fins de mois, les éphémères ministres de la IVe République accomplissent leur voyage rituel à Washington pour faire leur quête humiliante auprès du Trésor américain… Guidé par « une certaine idée de la France », le Général n’a qu’une obsession : redresser le pays. Nouvelle constitution, nouveau Franc, Plan Pinay, Plan Armand-Rueff…, les mesures prises sont fortes et courageuses, elles remettent le pays en ordre de marche et l’ouvrent sur l’extérieur. Elles permettent à la France de reprendre son rang.
  • En 2014, François Hollande nous dit : « Quand je suis arrivé, le pays était au bord du dépôt de bilan » (le 6 mai chez Bourdin). Mais si, comme il le prétend, il a trouvé en arrivant la France aussi mal, pourquoi n’a-t-il pas pris aussitôt les mesures de redressement qui s’imposaient à un pays « au bord du dépôt de bilan » ? Pourquoi a-t-il continué à dépenser massivement, à créer 60.000 postes de fonctionnaires et à endetter le pays pendant deux ans ? Si le pays allait si mal, il fallait d’urgence faire ce que le Général de Gaulle a eu le courage de faire immédiatement et sans tarder : prendre des mesures de redressement de l’économie du pays !

L’obsession maladive de « 2017 »

img contrepoints297 irm hollandeOr à quoi pense Hollande depuis qu’il est arrivé ? À prendre des mesures économiques courageuses ? À rassembler et réunir les Français ? À pacifier la société ? Non ! À s’occuper de politique politicienne et d’idéologie : mariage gay, politique du genre, PMA/GPA, vote des étrangers, proportionnelle, anti-christianisme, répression policière des « veilleurs », obsession mémorielle incessante, clientélisme, lois Taubira pour vider les prisons, matraquage fiscal, étatisme pesant, etc…

Toutes ces mesures ne sont à l’évidence pas celle qu’on prend en priorité quand on trouve un pays « au bord du dépôt de bilan ». Non, elles ont un but politique unique : exaspérer les tensions entre Français, braquer la droite dite républicaine et donc faire prospérer le Front National. Des mesures politiciennes. Logique quand on est un politicien. Mais quand on se prétend « Chef de l’État », ce sont d’autres mesures qu’il faut prendre.

À condition évidemment d’en avoir la stature, et de se faire « une certaine idée de la France »…

—-
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  • Il manque « Gonzesses » et « Scooter »

  • il est là le problême avec ces gens ; ils ne pensent qu’à eux , à leur réelection ; tous coulé dans le même moule ; ce qu’il faudrait , c’est qu’ils n’est pas le droit de se représenter aux présidentielle 2 fois de suite ; 1 mandat de 7 ou 8 ans , voire moins et aprés , ouste , du balai ;

    • Ce qu’il faudrait, ça n’est pas interdire un deuxième mandat, c’est que les électeurs ne le réélisent pas. La possibilité de destituer à tout moment par référendum serait peut-être aussi appropriée, il faudrait alors proposer un programme à long terme crédible faute de trouver une idée pour survivre chaque jour.

    • Tout est dit…… Une seule élection possible et la possibilité de consulter le peuple en cas de désaccord avec la politique menée

  • Ou bien c la démocratie le pb 😉

    • Non pas la démocratie en soi mais la social-démocratie, certainement ! Vous obliger à confondre les deux, vous faire croire qu’il n’y a pas d’alternative au totalitarisme intellectuel de la pensée inique socialiste, est l’objet de l’idéologie périmée et de ses mensonges répétés ad nauseam.

      Une façon simple de contrer le verbiage dolosif consiste à identifier le terme ‘social’ dans l’expression des politiciens. Ce terme devrait désigner banalement ce qui est relatif à la vie en société. Mais il a été récupéré, déformé, torturé, pour justifier l’application aveugle du socialisme et servir d’excuse à ses délires financiers et ses expérimentations sociétales non moins délirantes.

      Exemples : sécurité sociale, cotisation sociale, justice sociale, sciences économiques et sociales, Conseil du même nom, faire du social, social-démocratie, assistant social, économie sociale et solidaire (double bingo)… Quelques exceptions toutefois (il y en a toujours) : réseau social et cas social. Quoique, en ce qui concerne l’expression ‘cas social’, l’honnête citoyen peut légitimement hésiter.

      Exercice pratique divertissant : remplacer ‘social’ par ‘socialiste’ dans la propagande. Vous ne devriez pas avoir de difficulté à en trouver étant donné la très haute fréquence des répétitions.

  • En fait Hollande applique la même stratégie avec le FN qu’avec le chomage : il fait monter le nombre d’électeurs du FN pour faire ensuite baisser la courbe entre les 2 tours de la présidentielle et être réélu, tout comme il a fait baisser la courbe du chomage à la fin de l’année 2013 et au début 2014.

    « Hollande est un politicien, mais il n’est pas bête. » Euh ! Vous êtes sur ?

  • « Mais que si c’est Marine le Pen, il repasse sans difficulté. »

    Aujourd’hui oui. Mais dans trois ans, avec un million de chômeurs en plus, non.

  • Je n’ai pas foi en la majorité.

    • La raison est toujours celle de la majorité. Hélas.

      Mon prof de math :
      – Qui est d’accord avec la démo du camarade au tableau ?
      La classe unanime lève la main
      – Qui n’est pas d’accord ?
      Le prof seul lève la main et conclut :
      – Nous sommes en démocratie, la majorité a donc raison. Poursuivez donc votre démonstration.

      Et là, gros malaise…

      • Si on applique cette comparaison à notre système démocratique, ce serait seulement 60% de la classe qui donnerait son opinion, les autres ne seraient même pas intéressé par la démonstration..

  • Les partis d’opposition devrait IMMEDIATEMENT militer, oeuvrer, petitionner, etc…
    .pour un mandat présidentiel de TROIS ANS.

  • et en plus c était de Gaulle …

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