Tout amateur de BD connaît la série du regretté Tabary (reprise par son fils) avec son personnage ignoble d’Iznogoud, le vizir qui-veut-être-calife-à-la-place-du-calife (créé par Goscinny). Cultivé comme vous l’êtes, fidèles libéraux de Contrepoints, le site qui-veut-devenir-le-grand-site-libre-à-la-place-des-grands-
Sa Majesté Petites Blagues Ier est un type froid et calculateur, capable de s’adapter sans problème aux 50 nuances de rose du parti socialiste pendant 10 ans, de tromper tout son harem. Valls est le type qui nous rase tous les matins en pensant à l’Élysée 2017. Deux belles âmes en compétition sur fond de crise économique majeure, que personne jusqu’ici, et en tous cas pas le Calife précédent, n’a réussi à simplement comprendre.
Alors, soit miracle dû à l’intercession de Saint Jaurès (il n’y a pas de saint économiste dans le panthéon socialiste, Marx ayant été brûlé officiellement), Valls, nul en économie (aussi) qui s’est attaché la nouvelle et très discrète (même pas de fiche wiki….) Valérie Bédague-Hamilius, réussit à profiter d’une embellie venue d’ailleurs et la situation s’améliore en Hollandie. Alors Haroun Al Hollande se présente au califat en 17 en disant : “C’est moi que j’ai tout fait en choisissant le perfide Iznogoud”. Soit, très probablement, Valls se rétame (tant pis pour la Hollandie) et Sa Majesté Petite Blague sera le seul recours de la gauche, Valls apparaissant comme le vizir traître, sournois et incapable qui aura fait foirer le beau dessein de Al Poussah Hollande.
Hum!
Vous ignorez la petite Sheherazude qui attend en embuscude…
ARRIBA ! ARRIBA ! ARRIBA ! Y VIVA LA DICTATURA !!!!