Le regard de René Le Honzec.
Pépère se démène sur tous les médias pour faire croire qu’il fait quelque chose, comme il l’a affirmé à une chômeuse de 50 ans qui l’interpellait. En réalité, il en est à prier Sainte Reprise d’arrêter les averses de grêlons qui trouent ses statistiques de croissance-déficit. Mais s’il multiplie ses incantations au changement climatique qui réchaufferait ses petites mimines transies par le froid du front sibérien du chômage-dette, c’est qu’il ne lit pas nos articles climat-sceptiques sur Contrepoints !
Bon, il est parti en vacances, il ne feras plus de moulinets désespérés avec ces petits bras potelés, mais à propos de grêlons.
Des viticulteurs dans le Bordeaux et le Bergerac font la manche après avoir essuyés des orages de grêles assurables. Assurables.
Ils ont fait l’impasse des assurances et veulent se faire prendre en charge par l’état. Lequel, s’il suivait emprunterai pour.
Je trouverai franchement le vin aigre si l’état vidait ses bourses pour certains pinardiers impécunieux qui produisent de la bibine tout juste suffisante pour égayer des gosiers de distraits campeurs hollandais qui le mêle à de l’eau fraiche pétillante pour le faire passer.
Quand je dis hollandais, c’est hollandais NL, pas hollandais FR.
Des deux pays quel est celui le plus bas. Sur la carte bien sur, à quoi pensiez-vous.