Le marin ivre

Dans le courrier des lecteurs du Northern Wyoming Daily News, une amusant billet à l’attention du Président Obama.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
marin ivre

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Le marin ivre

Publié le 1 août 2012
- A +

Dans le courrier des lecteurs du Northern Wyoming Daily News, une amusant billet à l’attention du Président Obama.

Par Georges Kaplan.

Vous l’avez peut être déjà vue circuler sur internet, c’est une copie du courrier des lecteurs du Northern Wyoming Daily News, le 2 avril 2010 :

 

Pour ceux d’entre nous qui ne lisent pas l’anglais, ça dit :

« Objection d’un ancien marin
« Aux Éditeurs :
« Je m’oppose et je m’insurge contre quiconque affirme qu’Obama et le Congrès dépensent comme un marin ivre. En tant qu’ancien marin ivre, j’arrêtais quand j’étais à court d’argent.
« Bruce L. Hargraves
« Retraité de l’US Navy »

Il est bon ce Bruce… très, très bon…

 

Voir le commentaire (1)

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
 Certaines légendes urbaines ont la vie dure. Dans le champ de l'économie et de la politique, celle qui décrit la France comme un enfer ultralibéral dont tous les gouvernements récents sans exception, pour peu qu'ils soient issus de la droite, du centre et parfois même de la gauche social-démocrate, ont renforcé les caractéristiques d'austérité, de casse du service public, d'enrichissement des riches et d'appauvrissement des pauvres, tient incontestablement la corde.

Dans ce discours tenu aussi bien à l'extrême-gauche qu'à l'extrême-droite de... Poursuivre la lecture

Un changement significatif s'est opéré en France il y a 50 ans  dans le domaine de la gestion publique. Nos hommes politiques ont abandonné  les idées de Jacques Rueff recommandant que les dépenses publiques et sociales ne dépassent pas 30% du PIB, pour adopter celles de Keynes qui donnaient une justification théorique aux déficits publics. Depuis, la prospérité relative de notre pays n'a cessé de décroître.

Regardons les chiffres du PIB par tête de la Suisse et de la France : ils  étaient à peu près les mêmes à la mort du président Po... Poursuivre la lecture

Jadis, travailler à La Poste constituait un sacerdoce où le secret de la correspondance, la continuité territoriale et la probité se plaçaient au-dessus de toute considération de salaire, de confort ou même de carrière. Puis, dans les années 1980, il fut expliqué qu’il fallait « bouger avec La Poste »… Ce qui a probablement beaucoup fatigué la vénérable institution.

À partir de là, les choses se sont gâtées au point qu’on en vient à lire que La Poste perd des trouzaines de colis en toute décontraction, et qu’on en reste relativement pe... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles