10 mesures qui sauveraient la France (mais qu'on n'appliquera jamais)
Redécouvrez cet edito d'h16 qui date de... 2012 et n'a rien perdu de son actualité !
Redécouvrez cet edito d'h16 qui date de... 2012 et n'a rien perdu de son actualité !
Obama a de nouveau créé la polémique en déclarant que diriger une affaire n'est possible que parce qu'un d'autre a rendu cela possible.
Ici nous présentons la cartographie électorale à partir des dernières élections (présidentielles et législatives). Cette carte de la France de gauche et de la France…
L'hypothèse d'une cohabitation sous Hollande n'est pas à écarter. Et pas forcément avec la droite...
Le nouveau gouvernement est pas mal de chose, mais normal, en ces temps incertains, n'est certainement pas le bon adjectif.
Du clan socialiste aux affidés trop gras, sut se faufiler un Panda, pour réclamer justice et des égaux repas, quoique chez Laurent il mangeât
Selon Der Spiegel, les Français ont eu le choix entre un homme qu'ils ne voulaient plus et un homme qu’ils ne voulaient pas vraiment.
Hollande, champion d'échec
Pour Contrepoints, Damien Theillier, tire les leçons de la campagne présidentielle et explique pourquoi il voit les think-tanks comme alternatives aux partis et au stériles débats électoraux. Interview
Rassemblant à peine 36% des Français en âge de voter, Hollande peine vraiment à rassembler au-delà de sa propre famille politique et bénéficie surtout du rejet de Sarkozy
Ainsi, la stratégie d'ultra étatisme de droite que Guillaume Peltier, l'ex-FNJ, et Patrick Buisson, l'ancien directeur de Minute, aura échoué à faire gagner Nicolas Sarkozy, parce que les électeurs auront préféré l'original socialiste à sa copie de droite.
Ancien soutien de François Bayrou, Aurélien Véron dresse un bilan très critique de la stratégie du président du Modem à l'issue de cette élection présidentielle.
Une fois n'est pas coutume, petit bilan de la campagne présidentielle, et surtout des hommes et femmes qui l’ont menée. Attention, article très en-dessous de la ceinture.
Très nombreux sont les libéraux qui ont voté pour le réformateur Sarkozy en 2007 et, devant le bilan du quinquennat, ne l'ont pas soutenu en 2012. La défaite du candidat UMP face à François Hollande leur doit beaucoup. Pour éclairer ces choix, Contrepoints a donné la parole à un d'entre eux.
Est-il possible, pour un libéral, de se réjouir de la victoire de François Hollande ? Peut-être. Est-il possible de se réjouir, par ailleurs, de la défaite de Nicolas Sarkozy ? Sans doute.
Hollande arrive finalement à l'Élysée. Le Changement, lui, a pris un autre train qui s'est arrêté en rase campagne.
Pour l'auteur, les libéraux doivent reconstruire le centre droit car il leur appartient. Que les ultra étatistes du centre, et notamment François Bayrou mais pas seulement lui, se rendent ailleurs. Les choix qui s’offrent à eux ne manquent pas d’ailleurs.
Il a d’abord été battu par la mobilisation de la gauche. Il a aussi perdu par ses approximations. Moins mauvais que Mitterrand et Chirac, il n’a pas su inverser la courbe des maux qui plombent la France. Il a navigué à vue, tel un Napoléon au petit pied ratant par deux fois ses Cent jours.
L'élection de François Hollande me fait sourire. Elle va peut-être mettre fin à l'hypocrisie totale qui s'exprime dans notre joli pays. Même si elle l'était déjà sous Sarkozy, ce sera peut-être l'occasion de reconnaître que la France est un pays socialiste.
Les Français se sont lassés de porter au pouvoir la droite la plus bête du monde, divisée, illibérale, multiculturelle, dirigiste et honteuse de ses valeurs. Quant à la gauche, détenant tous les leviers du pouvoir, elle n'a pas d'échappatoire possible en cas d'échec.