Le nucléaire est le meilleur pour le climat : 6 g CO2/kWh !
Même l'ancien ministre de l’Écologie, François de Rugy, commence à déclarer le nucléaire bon pour la planète. Peur de l’effet de serre ? Passons au nucléaire !
Même l'ancien ministre de l’Écologie, François de Rugy, commence à déclarer le nucléaire bon pour la planète. Peur de l’effet de serre ? Passons au nucléaire !
La lutte contre le dérèglement climatique passe par l'alimentation, en particulier par le développement de l'agroécologie. Pénalisons, le cas échéant, l'agriculture conventionnelle.
L’abandon de l’énergie nucléaire dans notre pays conduirait fatalement à restreindre de gré ou de force les besoins et le niveau de vie des Français.
Encore une fois, les prédictions apocalyptiques des écolos ne se sont pas réalisées, ce qui les rend amers.
Devant l'effondrement économique, social et politique qui se profile, la classe politique actuelle aura-t-elle la volonté de redresser la barre avec le nucléaire et de travailler pour l’intérêt général du pays ?
À l’horizon 2035, en ayant réellement réduit sa consommation d’énergies fossiles à presque zéro pour sa production d’électricité, l’île de Hainan pourrait donc bien devenir la première île écolo-nucléaire au monde !
RTE annonce dans son rapport qu’un système électrique avec 100 % d’énergies renouvelables n'est pas viable.
Au motif de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, remplacer des productions pilotables d’électricité par des sources d’énergies aux productions fatales, aléatoires et/ou intermittentes (EnRI), est une idiotie.
Les pays de l’Union européenne se sont mis d’accord sur une action vraiment décisive pour le climat : l’objectif (irréaliste) de réduire les émissions de GES de 40 % d’ici 2030 sera porté au niveau (utopique) de 55 %.
Le coming-out du Président en faveur du nucléaire est remarquable. Mais il cultive un "en même temps" pour les énergies renouvelables, ce qui n'est pas clair.
Une consultation publique sur un point très technique concernant les réacteurs nucléaires : l'opinion publique est-elle vraiment compétente pour donner son avis ?
La fragilité extrême de la production française d'électricité va conduire inexorablement à un programme de restrictions et de rationnement.
Faut-il nous préparer à vivre comme dans les années 1970 ou dans un pays sous-développé, avec des coupures de courant régulières, puisque nous n'avons plus de quoi fournir suffisamment d'électricité ?
Les quantités de déchets provenant du renouvelable sont éternellement toxiques.
Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse.
Notre héros de la semaine est Enrico Fermi, le physicien italo-américain qui a créé le premier réacteur nucléaire.
Dans le fond, ce qui anime surtout notre Président, c’est la peur. De nombreux exemples en témoignent.
Le réacteur n° 1 de la centrale nucléaire de Civaux a acquis récemment une notoriété mondiale en se classant deuxième pour la production électrique en 2019.
Le parti pris des antinucléaires rend aveugle cette agence de l’État qui semble davantage au service des énergies renouvelables et de certains intérêts particuliers que de l’intérêt général.
Il ne s’agit pas simplement de convertir une activité. Il faut « penser nucléaire » car cette source d’énergie quasi-illimitée et bon marché constitue une composante majeure indispensable à cette transition.