Syndicats : le flou financier et l’infantilisme français
Le financement des syndicats français est un sujet brûlant car la plus grande opacité a toujours régné. D’où vient leur argent et y-a-t-il des contrôles ?
Le financement des syndicats français est un sujet brûlant car la plus grande opacité a toujours régné. D’où vient leur argent et y-a-t-il des contrôles ?
Rien ne vaut une bonne intersyndicale d'extrême-gauche pour couler une entreprise...
Un mois de mai agité : tour d'horizon des luttes pas vraiment convergentes...
Le Président François l’avait dit : sous son règne, il y aurait une République irréprochable. Eh bien la République irréprochable a encore cogné. Dur. Il…
Enfin, l’Europe remonte le museau. Toute la presse en parle et constate, presque joyeuse, que les perspectives européennes ne sont plus aussi sombres qu’on aurait…
Alors que le décret autorisant l’ouverture des magasins de bricolage le dimanche est publié, les syndicats sont décidés à en bloquer l’exécution.
Dans l'usine PSA d'Aulnay, une poignée de syndicalistes irréductibles persévère dans un rapport de force dépassé, illustratif des problèmes de la France.
La direction de PSA refuse un dialogue social courtois proposé par les syndicats et tentent de les déstabiliser par la force.
Les syndicats français font aujourd'hui un affligeant constat : les investissements se font partout, sauf en France. Au cas où ils se demanderaient pourquoi, voici une petite explication.
Les récents accords syndicaux sur l'emploi laissent perplexes : ils n'améliorent que marginalement les CDI et défavorisent bien les CDD.
La société française, à force de corporatisme, de lobbyisme et de capitalisme de connivence, est en pleine calcification mortelle.
En France, les syndicats forment une véritable mafia qui conduit chaque jour un peu plus le pays à sa perte.