Faut-il encore une assurance chômage ?
Une simplification majeure de la protection sociale permettrait à la fois un meilleur emploi des fonds publics, un potentiel d’économies et donc une réduction appréciable des prélèvements obligatoires.
Une simplification majeure de la protection sociale permettrait à la fois un meilleur emploi des fonds publics, un potentiel d’économies et donc une réduction appréciable des prélèvements obligatoires.
Le foisonnement de théories explicatives du chômage contraste avec la pauvreté des politiques publiques mises en oeuvre pour le combattre.
Le nombre de demandeurs d’emploi réel approche les 6 millions, ce qui représente un cinquième de la population active.
Que dire à un jeune chômeur, que l'économie actuelle semble condamner à ne pas pouvoir travailler ?
Non seulement le chômage est plus élevé qu'officiellement annoncé, mais en plus les méthodes pour y remédier sont les pires !
L’ARCE est un dispositif qui aide (de moins en moins) les chômeurs qui veulent créer une entreprise indépendante…
La fusion de l’ANPE et de l’Unédic, en 2008, a été un échec. Face à la montée du chômage, Pôle emploi perd de plus en plus en plus de son efficacité. Le service public de l’emploi est aujourd’hui assuré pour moins cher, avec de meilleurs résultats, par les opérateurs du privé. Chiffres à l’appui, le dernier dossier de la Fondation iFRAP révèle que le service public coûte près de 1000 euros de plus par chômeur que le privé.
Les indemnités versées aux chômeurs lèsent de façon mécanique ceux qui sont en dehors du cercle de l'emploi salarié.
Le référendum sur les chômeurs proposé par Nicolas Sarkozy est une manœuvre cousue de fil brun