Reconnaissances
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Biberonné dès la plus tendre enfance par la gauche, Nicola Tournay connaît son catéchisme par cœur : écologisme culpabilisateur, féminisme puritain, et anticapitalisme psychotique ont forgé son quotidien. Grâce à une cure libérale auto-administrée, il échappa de peu à l’overdose idéologique. À 19 ans, il fonda avec d’autres le Parti Libertarien de Belgique. Étudiant en communication à l’IHECS (Bruxelles), il refuse de sacrifier une génération de plus sur l’autel du socialisme, et s’engage à ce qu’au Royaume de la négociation, la liberté ne soit plus un compromis, mais l’horizon indépassable du politique.
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Articles

Par Nicola Tournay

Le thriller Gone Girl, qui a conquis les critiques et qui cartonne au cinéma, a récemment fait l’objet d’une polémique en France. Le collectif Osez Le Féminisme accuse le dernier film de David Fincher de « déculpabiliser et encourager la violence masculine ». Cette accusation non-fondée ne nous apprend rien sur le film, mais en dit long sur les dommages intellectuels que cause le féminisme dans sa variante manichéenne.

Pour mieux apprécier l’étendue des dégâts, nous devons nécessairement spoiler le film, car l... Poursuivre la lecture

Les libertariens sont parfois accusés de faire involontairement le jeu de la gauche. Pourtant, sur l’échiquier politique, le libertarianisme est à l’exact opposé du socialisme. Par Nicola Tournay, membre fondateur du Parti Libertarien de Belgique.

« Les vices ne sont pas des crimes » Lysander Spooner

Légalisation du mariage gay et de la polygamie, légalisation de l’adoption homoparentale, légalisation de toutes les drogues, y compris de celles dites « dures », légalisation de la... Poursuivre la lecture