Par Serge Schweitzer.
Qu’est-ce qu’un bien ? Qu’est-ce qu’un bien économique ? Quel est le lien avec la valeur ? Quel lien entretient l’utilité avec la valeur ? Comment résoudre le paradoxe du diamant peu utile qui a une grande valeur ou de l’eau très utile qui n’a pas de valeur en montagne par exemple ? Qu’est-ce que le calcul à la marge ? En quoi est-il utile en entreprise par exemple ? En quoi peut-il également, appliqué à l’utilité, nous mettre sur la voie de l’ingénierie sociale ?
Des exposés comme celui-ci, on en voudrait tous les jours…
Il en même qui disait (et le gravait dans le marbre) , de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins, traduit par le CGTiste au sommet : en, je n’ai pas de capacités, en revanche mes besoins sont gigantesques . . .
Débat bien connu, surtout des Libéraux Républicains partisans de économie de Marché.
Réflexion à propos de ceux qui ne possèdant rien, pourraient ne pas se sentir concernés par cet exposé :
Le seul moyen de maîtriser la pauvreté serait de commencer par éradiquer la pauvreté profonde, constituée de ceux qui ne possédant aucun bien, vivant avec moins de 2 dollars par jour (soit 1 à 2 milliards d’êtres humains, les experts ayant le plus grand mal à se mettre d’accord sur leur nombre).
C’est en commençant par isoler cette pauvreté profonde du niveau “zéro bien” (ou richesse), en y consacrant les fonds publics nécessaires, vainement affectés à une possession illimitée de biens (enrichissement sans limites), qu’il pourra être mis fin à une situation qui échappe apparemment à la sagacité de nos plus brillants experts), selon laquelle, si la possession de biens ne connaît pas d’autre limites que les ressources dont les tirent ceux qui les convoitent, la pauvreté a la sienne, qui est le niveau zéro de cette même richesse (ou possession de biens).
Lire à ce sujet : https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2019/07/pour-un-revenu-universel-minimum-et.html