Voici pourquoi les big boss de la Silicon Valley interdisent Facebook à leurs enfants

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Voici pourquoi les big boss de la Silicon Valley interdisent Facebook à leurs enfants

Publié le 9 mars 2018
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Par Yannick Chatelain.

Un dealer de haut niveau consomme rarement sa came ! Il cherche des mules naïves, des petits revendeurs, et des consommateurs. S’il a des enfants, vous conviendrez qu’on peut raisonnablement émettre l’hypothèse qu’il n’en fournit pas à sa progéniture.

De la même façon, un bon tenancier de bar ne boit pas son fonds de commerce et n’incite vraisemblablement pas ses proches aux joies de l’ivresse sur la voie publique ! Eh bien, croyez-moi, il semblerait que pour les dealers de technologies addictives il en soit de même.

 

Des journées sans : infantilisantes mais pas toujours si sottes !

Alors bien sûr « les journées sans » ne manquent pas, et les « journées sans » c’est à la longue un peu fatiguant ! Leur côté infantilisant peut être exaspérant. Ne pensons-nous pas parfois : vivement des « journées pour » ?

Alors bien sûr il est très tentant de tourner en dérision « la journée mondiale sans téléphone mobile » initiée par Phil Marso en 2001 (le jour de la Saint Gaston, en référence au refrain de la chanson de Nino Ferrer)

Alors bien sûr nous pouvons être tentés de nous gausser de la journée sans Facebook créée en 2012, poursuivant sensiblement le même objectif : alerter sur l’usage excessif et le rapport passablement délirant que nous entretenons avec nos smartphones, nos applications et nos réseaux sociaux.

Alors bien sûr nous pouvons nous marrer, et bien marrons-nous. Mais tandis que nous ricanons plus ou moins finement, les résultats de l’étude #Statusofmind menée par la Société royale de Santé publique RSPH (qui s’est focalisée sur les réseaux sociaux, la santé mentale et le bien-être des jeunes gens) ne prêtent franchement ni à rire ni à sourire. À moins de trouver drôle le fait que les taux d’anxiété et de dépression ont augmenté de 70 % durant ces dernières 25 années… chez nos jeunes.

Continuons de ricaner, mais tant qu’à ricaner moins sottement, voire plus du tout,  n’est-il pas intéressant de savoir que les dealers d’addictions technologiques tous azimuts, eux, ont déjà pris leurs distances et mis à l’abri leur progéniture ?

 

Les refusniks de la Silicon Valley se rebiffent

Qualifier Facebook de merde : ces propos ont été tenus par Chamath Palihapitiya ex-vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook lors d’un débat organisé en novembre à la Stanford Graduate School of Business en novembre 2017, affirmant qu’il essayait d’utiliser Facebook le moins possible et que ses enfants « aren’t allowed to use that shit », ce qui se traduit littéralement par « ne sont pas autorisés à utiliser cette merde ».

Il pointera toutefois de la non-intentionnalité originelle d’une quelconque forme de nuisance. D’autres anciens responsables ne sont pas moins alarmistes quant aux méfaits potentiels des monstres qu’ils ont sciemment contribué à créer.

Fanfaronner devant un public peut arriver à n’importe qui. Dans l’enthousiasme d’une conférence-show, traiter Facebook de merde est excessif : mordre la main qui nourrissait et que vous avez sans scrupule alimentée (en retour) des années est une approche hasardeuse. Il n’est certes jamais trop tard pour reconnaître son erreur, mais quid de la sincérité ? Toutefois cela a le mérite de rappeler que si tout n’est pas à jeter, ce sont nos usages qui sont à trier.

Comme le rapporte le journaliste Paul Lewis (@paullewis) dans le Guardian, ceux qui ont contribué (à quelque niveau que ce soit) à rendre les technologies addictives – développeurs(euses), créateurs, créatrices, digitaux-marketeurs…, de Google à Twitter en passant par Facebook et les autres – les refuseniks de la Silicon Valley commencent à se déconnecter d’Internet ! Ils entrent en dissidence et ils alertent ! Vous êtes sceptiques ? Justin Rosenstein, le créateur du fameux bouton « J’aime » de Facebook se montre critique comme le pointe Paul Lewis :

Une dizaine d’années après avoir codé un prototype de ce qu’on appelait alors un bouton « génial », Rosenstein appartient à un petit groupe croissant d’hérétiques de la Silicon Valley qui se plaignent de la montée de « l’économie de l’attention” et un internet qui se développe autour des exigences de la publicité…

Si l’internet n’a pour souci que des exigences de la publicité, cela ne sous-tend-il pas que les conséquences sur l’être humain ont été depuis trop longtemps déjà purement et simplement ignorées par les pourvoyeurs de « dope techno » ?

D’accord on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, nous pouvons le regretter. Mais que d’avoir cassé non pas des œufs, mais des jeunes est abjecte et nous ne reviendrons pas en arrière : ni sur des vies sacrifiées, voire massacrées sur l’autel du Dieu technologie ! Alors, autant regarder devant, pleurer nos martyrs, et tenter de nous réjouir de la trajectoire qui se dessine.

Que le cercle de ces hérétiques ne cesse de grandir, voilà une façon de leur rendre hommage. Je ne sais sincèrement, à ce jour, que penser de l’initiative de Facebook qui a mis en place des IA pour prévenir le suicide. Un aveu de responsabilité ? Une prise de conscience ? Est-ce une façon de continuer à fournir de la dope et de surveiller l’overdose en se donnant bonne conscience ? Comment être contre ? Naika Venant me regarde, vous regarde, nous regarde, les regarde !

Alors, content ?

La solution passe d’abord par un désengagement du temps passé sur le réseau, sur la prévention relative à la mise en danger de soi, et la prévention. Cela passe aussi par le traçage de tous les crétins, toutes les crétines, tous les décérébrés qui encouragent une pauvre gamine comme Naika à mettre fin à ses jours. Qu’ils payent en années de vie en cage, ce qui ne sera jamais à la hauteur de la vie qu’ils ont contribué à prendre avec le courage de leur pseudo-anonymat, avec le courage de leur lâcheté et de leur désertion de toute forme d’humanité.

Qui poursuit à ce jour les assassins pseudo-anonymes de Naika ? Qui ? La réponse est simple et triste : personne.

 

Messieurs les dealers, si vous m’entendez…

Ce qui me semble positif au milieu du désastre c’est que cette prise de conscience grandissante de « dealers de technologie addictive » se fait concomitamment avec l’entrée en parentalité d’une population qui a essuyé les plâtres de tous leurs abus, de toutes leurs dérives (intentionnelle ou non). Les victimes d’hier sont en passe de devenir des parents éclairés avec des exigences très strictes.

Ce n’est pas être un grand visionnaire que de postuler qu’une victime de cyber-intimidation hier sera bientôt un adulte, un père, une mère… Des parents beaucoup plus exigeants, plus vigilants, plus protecteurs, et enfin en mesure de transférer leur savoir-faire et leur expérience.

Que les entreprises dealers en soient prévenues : elles vont devoir faire face à de nouvelles attentes de ces consommateurs qui seront à moyen terme bientôt majoritaires. Et ils vont demander des comptes. Ce n’est pas une soudaine lubie de leur part, si deux actionnaires d’Apple font pression actuellement pour que la structure mène au plus tôt des études d’impact sur la santé mentale d’une surexposition aux smartphones. Ce n’est pas un caprice anodin s’ils exigent qu’elle œuvre à l’élaboration de logiciel permettant aux usagers de reprendre le contrôle !

Ces actionnaires sont lucides. Je ne peux juger de leur altruisme, mais j’affirme qu’ils craignent que si le géant n’anticipe pas la demande en train de prendre forme, si ce dernier ne fait pas évoluer ses lignes, s’il n’écoute pas le vent qui se lève, alors oui, il en souffrira gravement en termes d’image avec les conséquences financières qui en découleront… Avoir « le lead » c’est penser avant, ensuite si on préfère ramer comme un suiveur, aux dealers d’addictions de choisir. Personnellement je n’en tirerai aucun bénéfice.

Alors messieurs les dealers si vous m’entendez, si vous n’êtes pas trop déshumanisés, tenez-vous prêts et anticipez. Parce que la génération montante, pour être prête, elle l’est ! Et elle va se faire déferlante ! Je mise personnellement tout sur elle. Elle ne laissera pas ses enfants se faire gafamiser.

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  • comme quoi, tenter de réfléchir en ne voyant qu’un côté des choses, le bon ou le mauvais, ne mène à rien. Facebook est aussi un endroit pour apprendre, si on est sélectif. Pour preuve, l’inimaginable travail d’éducation santé que fait Jeff Cyr, par exemple, https://www.facebook.com/jeff.cyr.589

    • La population humaine à toujours été un immense troupeau de moutons bon a tondre par une minorité pragmatique… Fessebouc n’ aucune raison de faire exception à règle, constituant l’un des plus grands troupeau de bétail du moment 🙂

  • si l’on part du principe de l’offre et de la demande,les deux sont à blâmer..générations sacrifiées? elles ne seront pas les dernières…:(

  • Le titre est racoleur, mais au final, il n’y a rien qui nous démontre pourquoi il faudrait abandonner Facebook, ou les moyens numériques, selon quels mécanismes, si ce n’est des personnes qui ont donné des années de leur vie à faire vivre la bête et qui ont aujourd’hui envie de tourner la page en crachant dans la soupe…

  • Bof ! A chaque nouvelle invention (vélocipède, automobile, télévision, four à micro-onde, GPS, smartphone…) on assiste aux mêmes phénomènes.
    D’abord un solide « whaou » devant la nouveauté, que beaucoup s’empressent d’acheter.
    Puis une réticence plus ou moins feinte de certains d’entre nous, liée pour partie aux critiques des opposants qui ne manquent jamais de se faire entendre (le train fait tourner le lait des vaches, les micro-ondes donnent le cancer via les aliments, le diesel tue 50000 personnes par an, le smartphone rend idiot…)…
    Survient alors un phénomène de mode, qui offre à suiveurs de passer pour des sachants boboïsants à qui on ne le fait pas…
    Mais… le vélocipède, le train, l’automobile, le micro-onde, le smarphone… sont tellement implantés dans la vie quotidienne des gens qu’on ne refera jamais marche arrière.
    Internet, et aujourd’hui Facebook dans une moindre mesure – de plus en plus d’entreprises établissent leur site web sur Facebook – sont indispensables à l’économie des entreprises, à la vie quotidienne des gens, plus ou moins jeunes et personne de sérieux ne peut envisager de s’en passer.

  • D’accord avec Charles Boyer et Propone, Facebook c’est comme tout : il est ce qu’on en fait. La voiture, c’est dangereux, on peut tuer ou se tuer, ben oui. Pour autant, faut-il interdire à ses enfants d’apprendre à conduire ? Il y a des verrous sur Facebook, il faut apprendre à s’en servir. Quant à l’addiction, elle ne concerne pas que Facebook, mais tout ce qui est virtuel, mais également le tabac, l’alcool, l’alimentation, les casinos…

  • J’ai toujours considéré cette invite  » Suivez nous sur Face.. » comme un piège donc …..
    d’ ailleurs je refuse de suivre ce genre d’ incitation si fréquent de nos médias je ne suis pas un petit chien .
    MORILLE Alain

  • bon…
    Je ne sais pas quoi en penser..
    Je n’ai pas apprécié l’entame de l’article où de fait facebook est assimilé à une addiction comme la drogue.. ça donne le ton..
    Pour le reste facebook pose des problèmes, oui. les machines à café aussi.

    Nous avons des problèmes de riches, nous sommes dans des sociétés avec beaucoup de temps libre…Il y a aussi beaucoup de gens seuls dans un monde qui semble pourtant plus « connecté ». Les ado sont déjà des consommateurs sauf les ado pauvres qui doivent faire semblant…
    facebook te compare aux autres en 10 fois plus grand que la cour d »école. A l’instar d’internet, ce n’est pas un bidule qui change qualitativement les choses mais quantitativement.
    Donner de vraies valeurs aux enfants me semble la réponse. Et se souvenir qu’un ado n’est pas un adulte.

    l’histoire de la pauvre gramine rejetée par sa

    • mère et violée, sans doute harcelée, mais est ce que le harcèlement ne fait pas partie du mécanisme d’autodestruction? illustre assez mal le cas facebook, à mon opinion..

      A mon opinion encore, l’article devrait être plus humble et rappeler aux PARENTS que les réseaux sociaux sont de tels amplificateurs que c’est à déconseiller à tout ado fragile..mais l’école aussi!!!!
      que les pontes de la silicon valley pensent ça, je m’en tape, ça ne prouve rien ..c’est le » Bill gates investit dans le gibolin » argument.. ça ne me dit pas pourquoi je devrais acheter du gibolin ou que le gibolin soit l’avenir.

  • L’hypocrisie criminelle des grands patrons de Silicon Valley va en fait plus loin: ils interdisent à leurs enfants d’utiliser téléphones portables et tablettes. On est en droit de se demander pourquoi. Voir http://tinyurl.com/yagmc6qr. Est-ce la bonne (et seule) solution, ou faut-il au contraire chercher une parade pour pouvoir continuer à utiliser ces outils? Il y a de nombreux produits sur la toile (comme emfbioshiel.net), mais leur efficacité est difficile à prouver et seuls les électro-sensibles peuvent témoigner de la différence.

    • criminelle? comme l’hypocrisie criminelle des vendeurs de voitures? des marchands de cigarettes? etc etc….les mots ont un sens est à mon avis c’est diffamatoire..
      le message est ( ou devrait être )à intention des parents d’enfants, pas des adultes qui sont..adultes..

  • Philosopher sur les déclaration d’un mec qui bave sur Facebook après s’en être fait virer, pus donner écho à un journaliste qui se prend pour Michel Moore et en sortir des « vérités universelles » est juste totalement ridicule et limite malhonnête intellectuellement.

    • Ce qui n’empêche que des jeunes meurent à cause du harcèlement sur les réseaux sociaux!

      • Non, des jeunes meurent de harcèlement tout court.

        Ce n’est pas la faute des réseaux sociaux, mais des harceleurs et de l’environnement d’éducation : à la fois les parents qui se défaussent entièrement sur l’Etat nounou et de l’école qui est devenue une académie du crime où on apprend tous les rites que l’on retrouve dans les QHS.

        Sans parler de la socialie et du gauchisme exacerbé, qui fait qu’une gamine qui cache ses cheveux ou qui porte une jupe longue est une terroriste, alors qu’un délinquant est « une victime du système » qu’il faut comprendre, excuser et protéger.

        cpef

  • Comme toute drogue, il faut savoir la prendre avec modération, ce qui n’est pas toujours facile effectivement. Il y en a qui savent consommer avec modération, d’autres qui en sont incapables. S’il est relativement facile de gérer des enfants, cela devient pratiquement impossible avec des adultes. De plus, on finirait par vivre dans une société dictatoriale, ce qui n’est souhaitable à personne. Il reste à espérer que les personnes finissent par se lasser de ce qui n’aura plus rien de neuf ni d’original, et ça viendra!

  • En Allemagne, il y a depuis quelques mois une campagne de pub de Facebook sur les dangers de… Facebook. En gros, il y est expliqué, exemples de mauvais usage à l’appui, que « Tous les Facebook ne sont pas bons pour toi, choisi seulement celui qui te convient ».

  • facebook c’est comme le vin, il faut l’utiliser avec moderation. je n’ai pas de compte facebook, donc.. je n’en trouve pas utile..

  • Article typiquement anti libéral qui prouve, si besoin était, que Contrepoints est bien un site libéral puisque le pluralisme y est admis.
    Autant que je sache, personne n’est contraint d’utiliser Facebook (5.5 Milliards d’habitants de la planète, dont votre serviteur, n’y ont pas de compte), personne n’est obligé d’avoir un smartphone, personne n’est obligé d’utiliser Google pas plus qu’Amazon etc. Si vous refusez d’utiliser les services de ces entreprises, leurs dirigeants ne prélèveront pas d’autorité ce qu’ils pensent que vous leur devez sur votre compte en banque, il ne saisiront pas vos biens et ne vous enverrons pas en prison si vous êtres particulièrement récalcitrant.
    Certaines affirmations prêtent à rire : « le taux d’anxiété aurait augmenté de 70% chez les jeunes depuis 25 ans ». Ah bon, je ne savais pas qu’on pouvait le mesurer ! Si plus d’anxiolytiques sont consommés c’est d’abord parce qu’ils existent, sont accessibles, et que, d’une manière générale, la recherche de la facilité est particulièrement répandue (si non, il y aurait moins de socialistes et plus de libéraux). Quant à « l’anxiété », pathologie inhérente à la vie (principalement à cause de sa durée limitée), on peut lui trouver de multiples autres causes dont le chômage, le fait de vivre dans une société bloquée, l’absence de perspectives d’avenir, l’absence de liberté, l’interdiction officielle de toute prise de risque (particulièrement néfaste chez les adolescents), l’obligation de se conformer à des prescriptions « sociétales » sans queue ni tête, l’obligation de suivre jusqu’à 16 ans et au delà des programmes scolaires débiles, l’apprentissage du conformisme, le nivellement par le bas, la perte de sens… toutes conséquences de l’extension continue du socialisme.
    Certaines prémices sont carrément fausses comme l’affirmation qu’on pourrait réussir dans une entreprise sans aimer ce qu’on fait. La plupart des tenanciers de bar sont des gens qui en aiment l’ambiance et ont voulu créer la leur. La plupart des créateurs partent d’un besoin personnel qu’ils extrapolent aux autres. Ils réussissent quand ce besoin personnel se révèle être partagé par un grand nombre. Les créateurs ont bien sûr le droit de changer d’avis. S’ils se sont trompés une fois (de leur propre aveu), ils peuvent bien aussi se tromper une deuxième.
    Quant à prétendre interdire quelque chose à ses enfants « pour leur bien », tous ceux qui en ont eu savent bien que c’est au moins partiellement illusoire. Les socialistes sont justement des gens qui se prennent pour les parents des autres, y compris adultes, et ça n’aboutit jamais aux résultats qu’ils attendaient.
    L’auteur aurait été bien plus crédible s’il s’était contenté de rester dans le cadre strictement moral (débattre de ce qui est bien et mal, ce qui est forcément subjectif) en nous expliquant pourquoi lui n’a pas de compte sur Facebook, et pourquoi lui en interdit l’usage à ses enfants.
    Espérons que la génération montante, consciente et avertie des méfaits de l’étatisme ne se laissera pas ses enfants se faire socialiser, mais là, il y a peu de chance car il s’agit pas d’une mode passagère mais de la conséquence de plusieurs défauts particulièrement répandus dans l’âme humaine : envie-jalousie, intolérance (conséquence de l’incertitude inhérente à la vie) et paresse intellectuelle.

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