Par Stéphane Effare.1

D’abord, du côté des politiques, vous voici avertis :
Pour Arnaud Montebourg, interdire aux gens d’échanger c’est leur permettre d’échanger librement. La guerre, c’est la paix :
Trump libéral ? Protectionnisme, dirigisme économique, augmentation du SMIC, construction d’un mur géant à la frontière, surveillance et restrictions des libertés sur le net, continuation de la prohibition des drogues… Pour Martine Aubry il s’agit là de “modèle libéral sans règle” :
Pour Mediapart aussi, Donald Trump est un ultralibéral. Protectionniste, en plus :
Concernant le programme de François Fillon, certains craindraient-ils pour leurs subventions ?
L’incapacité complète à comprendre les mécanismes élémentaires d’une économie de marché ou le drame des collectivistes :
Vous reprendrez bien un peu de bolchévisme néolibéral ?
Le marché, c’est contre-nature :
—
- Retrouvez tous les jours les plus fins propos tenus par les étatistes sur la page Facebook “Stupidités Étatistes”. ↩
Un condensé d’âneries bornées, avec cependant une mention très bien à Cambadelis et Montebourg.
Je suis déçu par Hamon, qui n’ayant rien dit, ne peut pas être nomine . Je lui fais confiance pour se rattraper une prochaine fois.
Je viens de lire l’article du Monde diplomatique sur Hayek.
C’est effrayant !
Montebourg a fait très fort. A ce stade, il est permis de se demander s’il s’agit de mauvaise foi ou de handicap mental. Dire que ça fait de la politique, des trucs pareils…
Hors Tweeter, vous en avez aussi des pas mal… Comme celle-là (venant de Maurice Lévy, Président du directoire de Publicis Groupe, quand même ! et intervenant dans Valeurs actuelles n°4181 au sujet de l’Economie et l’année 2017, ici plus spécifiquement sur l’arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis) :
“(…) Je remarque notamment l’ultralibéralisme de la plupart des membres de son cabinet. Trump est déterminé à appliquer le programme le plus protectionniste et le plus business friendly jamais vu aux Etats-Unis. Il veut mettre en oeuvre un programme d’investissements dans les infrastructures, entre 800 et 1000 milliards de dollars, financé par l’Etat fédéral, dont les Américains rêvent depuis vingt ans. Une politique keynésienne surprenante (…)”
Un curieux mélange, lui aussi, surprenant, surtout de la part d’un dirigeant d’entreprise de cette stature…