Le regard de René Le Honzec.
Bon, je plaide coupable: je n’ai pas pu résister à un jeu de mot déplorable, mais qui m’a fait rigoler, parce qu’il est idiot, à l’image de l’action politique de François Hollande.
Quand Émile de Girardin écrivit cette remarquable doctrine politique, lui qui fit fortune en prévoyant la révolution des annonces publicitaires dans le prix du journal, le grand homme n’avait pas prévu le phénomène Flamby.
Symboliquement, quand il dut endosser un imperméable pour fêter son élection (élection pluvieuse, législature bidouilleuse), les sorciers berrichons y virent le signe de la Malédiction. Et depuis, le sale temps accompagne Hollande partout, y compris dans tous les domaines socio-économico-politiques.
Mais son leadership s’apparente plutôt au style Mac-Mahon, Maréchal et 3ème Président de la IIIe, qui déclara devant une inondation de la Garonne “Que d’eau, que d’eau !”.
Flamby, lui, c’est “Que de croissance, que de croissance !” au milieu d’une économie dévastée par les pluies torrentielles et artificielles déclenchées par les danses-de-la-pluie des idéologues sociaux-marxistes. Mais Pépère, jamais aussi à l’aise en capitaine de pédalo (j’aurais pu dire de “Marie-Salope”, bateau spécialisé dans le dragage des boues et saloperies diverses) pédale imperturbable vers 2017.
Il y croit, parce qu’il est un mégalomane (croire qu’il a une étoffe d’homme d’État !) à sang froid et sans scrupule qui balancera pardessus bord du pédalo amiral tous les milliards qu’il n’a pas pour endiguer les inondations de révolutions.
Gouverner aujourd’hui consiste à lever le plus d’impôts possible pour le distribuer à sa clientèle, afin de se faire réélire. Le reste c’est de la com.