Par Serge Federbusch.

Anne Hidalgo et ses petits soldats de l’Hôtel de ville, au premier rang desquels figure le toujours souriant Bruno Julliard, ancien combattant des campagnes de l’Unef, sont de plus en plus embêtés par cet afflux de migrants qui viennent s’installer comme une carie dans l’émail de leurs bons sentiments, qu’on ne qualifiera pas de postures hypocrites puisqu’il faut croire sur parole les articles de Libération ou du Monde et les communiqués de presse de la mairie.
Les migrants ont le défaut de gêner riverains et fêtards, deux catégories chéries de la municipalité dès lors qu’on n’est pas dans un arrondissement de droite. Hidalgo se débarrasserait volontiers de ces gêneurs mais il lui faut être de gauche car elle se positionne sur cette case dans le jeu d’échecs socialiste. Elle a pesé de tout son poids (politique) pour qu’on leur trouve des hébergements coûteux et elle a retenu la leçon de François Hollande : ce n’est pas grave, c’est pour l’essentiel l’État qui paie.
Las ! la pompe aspirante, dont n’importe quel esprit sensé pouvait craindre la mise en route, commence à agir : aussitôt vidés, les squats se remplissent de nouveaux arrivants ou se reforment ailleurs. Après avoir occupé, entre autres lieux, une ancienne caserne de pompiers du 10ème arrondissement rue du Château Landon, les abords de la halle Pajol, l’espace situé sous le métro aérien boulevard de la Chapelle, les clandestins, souvent déboutés d’une demande d’asile politique ou dont les chances de l’obtenir sont quasi nulles, se sont désormais installés dans les locaux d’un ancien lycée hôtelier rue Jean-Quarré ou sur les quais proches de la gare d’Austerlitz. « On s’attend à un arrivage de Calais, où la situation est devenue très difficile, mais aussi de Vintimille », assure Hervé Ouzzane, membre du collectif « La Chapelle en lutte » et, selon le Monde, ancien… tenancier de boîte de nuit !
Face à ces arrivages dignes de Rungis, Julliard tient la solution… pour un mois : « Nous avons choisi le dialogue et notre méthode porte ses fruits : d’abord recenser les personnes, puis leur proposer un hébergement d’un mois, quelle que soit leur situation. Pas dans des hôtels mais dans des centres où ils peuvent dormir, se nourrir, accomplir leurs démarches administratives. »
Sachant que beaucoup sont sur les routes d’Afrique et d’Europe depuis des mois voire des années et qu’aucun ou presque ne trouvera de solution à son problème dans pareil délai on voit quel pistolet à eau Julliard compte utiliser pour éteindre l’incendie. Les socialistes parisiens, comme leurs collègues du gouvernement, sont de plus en plus tiraillés entre leurs pratiques clientélistes, leur discours droits-de-l’hommiste, le coût en hausse vertigineuse d’une politique d’aides sociales et sanitaires qui incite les clandestins à tenter leur chance et l’incapacité à mettre en place de vraies mesures de refoulement.
L’affaire est plus grave qu’elle n’y paraît pour ces belles âmes. La multiplication des campements et squats finira par irriter les bobos les plus bêlants.
Dans les systèmes politiquement verrouillés comme peut l’être celui de la municipalité parisienne, qui dispose encore de pas mal d’argent pour amuser le peuple et s’acheter des faveurs électorales, la pichenette susceptible de mettre à bas l’édifice du clientélisme est souvent donnée de l’extérieur, par une population que la bureaucratie ne parvient pas à canaliser et juguler. Les migrants sont de bons candidats à ce rôle déstabilisateur.
Aussi, jamais avare d’un conseil désintéressé, nous suggèrerons à notre maire/mairesse de montrer à la face du monde qu’elle croit vraiment aux vertus de la cohabitation, du vivre-ensemble et du caractère éducatif de la fête citado-balnéaire.
Pour cela, une solution : installer les migrants à Paris Plages, sur les quais de Seine ou les bords du canal de la Villette, ils sont vastes, un peu à l’écart des habitations et capables d’héberger les dizaines de milliers de pauvres hères dont la mairie prétend qu’elle comprend si bien le triste sort. De gadgets, ces animations municipales pérennisées se transformeraient en lieux de fraternité susceptibles de valoir à Hidalgo un quelconque prix Nobel. Et que d’émulations en perspective, de fertilisations culturelles croisées par la cohabitation des ensablés et des déracinés ! Puisque Hidalgo entend de toute manière chasser définitivement les affreuses automobiles des quais de Seine, autant prendre de l’avance et que ce soit pour la bonne cause. Sûr que le Comité international olympique sera lui aussi sensible à ce geste de commisération planétaire excellent pour l’image de la capitale…
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Bonjour
Difficile d’être immigrationiste forcené et de regarder la réalité en face.
Actuellement ,des le départ des cotes lybiennes,en temps réel,les passeurs donnent aux » migrants » les adresses des hébergements parisiens!
@pierre c’est ce qu’on appelle ici un voyage organisé , vous me direz , au prix du passage . Bon désolé pour l’humour limite ,ok je sors …
Eh, mais ils vonte devoir importer du sable … du Sahara …
Ah ! Bruno Julliard…
Le type même du parasite de la socialocratie. Ce genre de nuisible vivant au crochet de la société dégoulinant de moraline !…
Je suggère de faire une liste de ces petits mecs tels;
Harlem Désir, Cambadelis, Isabelle Thomas,
Le collectionneur de montres, etc…
Ils vivent tous de l’argent public de notre république bananière. Il y a vraiment des coups de pompes dans le c.l qui se perdent..
Il parait qu’à Barcelone, ou j’ai de la famille, fief de Podemos, le bordel aussi s’installe, avec afflue massif de migrants depuis les dernières élections.
Même système de pensée que chez nous et en Grèce, mêmes conneries…
La mairie de Paris accroît donc l’aspirateur à immigrés clandestins et les risques qu’ils nous font courir, maladies nouvelles, délinquance, agressions,communautarisme et maffias, troubles sociaux et guerre civile, attentats, ….
Plusieurs milliards d’habitants de pays du tiers monde ou de pays troublés seraient partisans d’immigrer en France si on leur en donnait l’occasion et Hidalgo les attire en leur fournissant des occasions. En développant le marché pour les négriers qui font traverser la Méditerranée, Hidalgo est aussi indirectement complice des exactions et accidents, (plus de 2000 morts cette année) que subissent les immigrés à cause de ces négriers.
La politique de déplacements routiers menée à Paris nuit aussi aux habitants et visiteurs:
-ralentissement à 70 km/h sur le périphérique, qui englue la circulation aux moments où il n’y a pas de problème ni de bouchon. Il y a d’ailleurs eu 7 morts d’accidents sur le périphérique limité à 70km/h au lieu de 4 morts en 2013 où la vitesse limite était plus élevée.
-suppression des voies sur berges, qui détourne le trafic vers des rues moins adaptées à la circulation ce qui y accroît les accidents et la pollution car les voitures polluent plus lorsqu’elles sont arrêtées par de nombreux carrefours, feux et passages piétons et qu’elles circulent à vitesse faible en seconde vitesse au lieu de la 3ème ou en 3ème vitesse au lieu de la 4ème.
-engluements du trafic routier par limites à 30 ou 20km/h de la vitesse, pour la même raison que les voitures polluent plus lorsqu’elles circulent à vitesse faible, en seconde vitesse au lieu de la 3ème ou en 3ème vitesse au lieu de la 4ème.
-projet d’interdire les voitures particulières à moteurs diesels à Paris, les acheteurs de voitures neuves vont acheter moins de voitures diesels récentes telles les PSA blue hdi qui polluent maintenant moins que les voitures essence modernes, par cette mesure la mairie fait augmenter la pollution du parc des voitures récentes et le nombre des morts de pollution atmosphérique (des milliers par an).
Pourquoi ces grands humanistes d’Hidlago et Julliard n’accueillent-ils pas les migrants directement chez eux histoire de donner l’exemple du vivreensemblisme national socialiste franchouille ?
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