Esclavage : Hollande dénonce les « nouveaux négriers »

Le regard de René Le Honzec.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
Voir le commentaire (1)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (1)
  • Je me faisais justement la réflexion que nos élites qui condamnent les négriers sont beaucoup moins promptes à dénoncer ce que pratique l’État français: un esclave étant celui qui est privé des fruits de son travail, celui dont on prélève la moitié (voire davantage) de ce qu’il produit est donc un demi-esclave.
    Mais je ne sais pas dessiner!

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Lors de son discours de politique générale, Gabriel Attal a annoncé deux milliards d’euros de baisses d’impôts pour les classes moyennes, financées par la solidarité nationale.

En langage courant, cela signifie payé par les riches. Les classes moyennes ne devraient pas se réjouir trop tôt : François Hollande avait déjà opéré ce type de transfert fiscal au début de son quinquennat et pour lui, être riche commençait à 4000 euros par mois. Le jeune Gabriel Attal était à cette époque membre du cabinet de Marisol Touraine. Le fruit ne tombe... Poursuivre la lecture

Par Victor Fouquet. Un article de l'IREF

Après l’Assemblée nationale le 5 juin, le Sénat a, à son tour, rejeté le 3 juillet les deux projets de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes pour les années 2021 et 2022, les dépenses du budget de l’État atteignant un niveau historiquement élevé malgré un contexte de reprise économique.

Pour rappel, le Parlement avait déjà rejeté le projet de loi de règlement pour 2021 l’été dernier. Si elle n’a pas de conséquences financières à proprement parler, l’absence de loi de règ... Poursuivre la lecture

Par Lawrence W. Reed.

 

Les questions de droit et de politique publique doivent-elles être ennuyeuses ? Doivent-elles être l'apanage des avocats, des législateurs, des lobbyistes, des économistes et des statisticiens ? Ou peuvent-elles être animées par des principes moraux nobles et passionnants mis en avant par des croisés éloquents issus de tous les milieux ?

Si mes réponses à ces trois questions étaient Oui, Oui et Non, alors les lecteurs pourraient être pardonnés de ne pas poursuivre leur lecture. Pourtant, l'his... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles