Empreinte carbone : une opération de culpabilisation

« Si tout le monde vivait comme vous… » Qui n’a jamais entendu ça de la part des écolos ?

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Empreinte carbone : une opération de culpabilisation

Publié le 5 septembre 2014
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Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse.

empreinte carbone rené le honzec« Si tout le monde vivait comme vous… »

Qui n’a jamais entendu pareille critique, destinée à culpabiliser le chaland sur son mode de vie ? Ce concept a été popularisé et officialisé à l’échelle mondiale par le Club de Rome puis les écologistes à travers l’empreinte carbone – le « poids écologique » que chacun ferait peser sur l’environnement.

L’idée revient à dire que chaque steak que nous mangeons, chaque pneu que nous usons, chaque kilowattheure que nous consommons vient forcément de quelque part. En utilisant des indicateurs plus poussés, par exemple la surface agricole nécessaire à la croissance du bœuf à l’origine dudit steak, on peut théoriquement déterminer la quantité de ressources nécessaires au train de vie de chacun.

Autant l’avouer tout de suite, le concept n’a pas le moindre sens académique et encore moins de calculabilité. Comment tenir compte de la qualité des semences, des engrais employés dans la production agricole ? Comment évaluer la quantité de pétrole présente dans la croûte terrestre alors que les réserves augmentent continuellement du fait des avancées technologiques ? Comment calculer l’empreinte carbone d’une séance de cinéma ? Comment évaluer ce que la Terre serait capable ou non de supporter ?

Il paraîtra évident à tout le monde – sauf aux écologistes et aux membres du Club de Rome naturellement – que la Terre de 2014 permet de subvenir aux besoins de ses milliards d’habitants bien mieux que n’importe quelle époque précédente. Le progrès technologique et l’inventivité humaine font partie des quelques variables laissées de côté.

Qu’importe à nos écologistes de combat. Ils ont devant eux un fantastique outil marketing et n’hésitent pas à s’en servir, grossissant le trait au besoin. Pour obtenir une culpabilisation de masse, on ne va pas faire dans le détail, n’est-ce pas ?

Le site du WWF EcoGuru permet donc ainsi à tout un chacun de mesurer sa fameuse « empreinte écologique ». C’est mignon tout plein avec des arcs-en-ciel et des nuages et une petite Terre heureuse quand il n’y a pas trop d’humain dessus…

Je me livre à l’exercice. Pays, Suisse. Je choisis ensuite calculate your footprint et réponds à une série de 11 questions. Et à la fin, le score final tombe, forcément mauvais :

montabertempreinte1

Je me doute bien que je suis un piètre écologiste – ne serait-ce que parce que j’ai eu l’impudence de faire des enfants. J’essaye tout de même quelques efforts dans la mesure de mes moyens. Mais le papier recyclé, voyez-vous, je ne fais pas vraiment attention. Est-ce tellement important ? Les questions sont pour le moins étonnantes et laissent pour la plupart une certaine marge d’interprétation. C’est de bonne guerre, mais obtenir à partir de cela un score précis au dixième de Terre laisse songeur – comme quelqu’un essayant au billard un coup en trois bandes en se servant, pour viser, des indications de son horoscope.

Mais imaginons un instant que je suis un être écologiquement supérieur comme ceux que nous entendons parfois – d’insupportables donneurs de leçons qui prétendent vivre d’eau claire et de soleil, comme de belles plantes vertes. Se faire passer pour un écologiste parfait est assez facile sur le site du WWF puisque l’ordre des réponses est toujours le même, la meilleure étant en haut. On apprendra ainsi qu’un écologiste parfait :

  • Vit dans un « petit appartement » (sauf exception) ;
  • … lequel a une excellente isolation ;
  • … et se chauffe à l’électricité « verte » ;
  • Mais il utilise « peu » l’électricité par ailleurs ;
  • N’emploie que du papier recyclé ;
  • Ne mange que de la nourriture végétale fraîche et de saison, produite localement et jamais viande ni poisson ;
  • N’utilise pas ou « très peu » son éventuelle voiture ;
  • N’utilise jamais les transports en commun ;
  • Reste chez lui pour les vacances.

 

Triste existence. Décidément, l’image de la plante verte n’avait finalement rien d’excessif.

Pourtant l’écologiste parfait (s’il existe) aura tout de même la surprise de constater que son comportement exemplaire lui fait encore une empreinte carbone d’environ une Terre, selon le nombre de personnes qu’il torture avec qui il partage son domicile.

Comparé aux « statistiques mondiales », le résultat fait hausser le sourcil. Comment ces diables d’Asiatiques peuvent-ils être à 0,7 alors que, dit-on, les Japonais osent manger du poisson ? Et les Philippins sont-ils donc de si grands consommateurs d’électricité « verte »?

montabertempreinte2La bizarrerie est rapidement éclaircie en retentant le test selon différentes régions : les résultats sont pondérés par pays.

Si vous êtes un écologiste parfait en Suisse, vous tournerez avec environ une Terre. Mais si vous êtes un écologiste tout aussi parfait aux États-Unis, pas de bol, vous aurez tout de même une empreinte de 1,6 planète. Culpabilité collective, dirons-nous. À l’inverse, le même comportement au Yemen limitera votre empreinte carbone à 0,4 planète, ce qui laisse de la marge pour quelques excursions en business class à divers Sommets de la Terre.

Évidemment, je suppose que peu de Yéménites ont une maison avec une excellente isolation, la chance d’avoir des transports en commun ou même un accès à l’énergie verte – pour les veinards qui parviennent déjà à avoir l’électricité. Mais ce n’est pas un problème pour le WWF et son « calcul d’empreinte » : vivons tous comme des Yéménites et la Terre sera sauvée !

D’une certaine façon, il est plus facile d’avoir un comportement écologiquement adéquat lorsque votre environnement vous force à vivre comme un animal. La pauvreté nous ramène à l’état de nature. En termes de protection de l’environnement, c’est plutôt démenti par les faits mais le WWF n’en a cure ; il n’hésite pas à forcer cette conclusion en biaisant ses calculs selon la richesse du pays habité. Vivre de façon écologique revient avant tout à vivre dans un pays pauvre. Le comportement individuel n’intervient qu’après.

De cette constatation découle une conséquence pratique : il est beaucoup plus facile de ruiner un pays que d’éduquer les consciences de tout une population.

Et voilà expliqué le positionnement politique des élus écologistes. Et tout est beaucoup plus clair.


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  • moi j’en connais des écologistes , et je peux vous garantir que si tout le monde vivaient comme eux , l’emprunte carbone seraient encore pire ;ils achètent toutes les nouveautés high tech  » pour rester à la page ; ils voyagent souvent , ils roulent beaucoup , ils bouffent bien , et , ne leur en déplaise ils polluent , autant que les autres ; alors les écolos …

  • J’aime beaucoup le graphique des comparaisons par region qui indique que la moyenne mondiale est de 1.3 globe par habitant…
    Ou donc sommes-nous aller chercher les 30% de ressources qui n’existent pas sur terre?

    • La terre diminue. D’ailleurs, plus je vieillis, et plus le sol est bas.

    • on les emprunte aux martiens.
      Tu n’as pas vu les vaisseaux spatiaux qui nous ravitaillent ? C’est normal, en fait : leur base, dite zone 51, est aux USA, et c’est aussi pour ça que les USA consomme plus que ce que la planète met à disposition

  • il y a un moyen bcp plus simple pour connaitre son impact écologique : combien d’argent dépensez vous ?
    et c’est là que l’on s’aperçoit que la chine est le pays le plus écologique du monde avec l’inde contrairement aux idées reçues et que leur ‘pollution’ est la notre avec notre ‘écologie’ de salon

  • Avez vous remarqué le nom du site écolo qui héberge la calculette à indulgences : panda.org !

    Les écologistes choisissent comme emblème et comme mascotte l’animal qui est la pire impasse de l’évolution. Un nounours dégénéré devenu végétarien, incapable de s’adapter et passant ses journées à chier du bambou, n’ayant même plus l’instinct de se reproduire.

    C’est en effet bien choisi et cela correspond exactement à ce qu’ils sont eux-mêmes : des bobos, produit d’une civilisation décadente, refusant l’adaptation et prônant le retour à la nature, passant leur journées à nous chier des fadaises, et qui conduirait l’humanité à son extinction rapide si on les écoutait.

  • Le WWF voudrait supprimer internet. Trop polluant.
    Excellente idée : ils ne toucheront plus personne.
    De toutes façons, les maisons en paille ne supportent pas trop les lignes électriques. Et puis l’étalement urbain que cela provoque, rend l’électricité hors de prix. Les gens cesseront de gober ces âneries. :mrgreen:

  • Contrepoints a l’ambition de libérer la parole, alors je me sens très libre de dire, d’affirmer: et oui les « thermomètres » telle que l’empreinte carbone ne sont pas très bons et oui l’écologie est devenue un business…mais cela est bien naturel dans un monde libre n’est-ce pas?

    Mais ignorer la réalité de l’impact des activités humaines sur notre terre , c’est de l’ignorance ou du cynisme.

    La triste vérité est que libéralisme ne sait pas répondre à ses défis.

    Je rappelle qu’en même à ceux qui semblent l’oublier que la liberté de chacun est limitée par celle de l’autre. Et cela est vrai partout y compris en matière d’environnement.

    • « La triste vérité est que libéralisme ne sait pas répondre à ses défis. »
      http://www.contrepoints.org/2011/07/19/35485-pour-une-ecologie-liberale

    • Quels défis ? Et le socialisme sait y répondre ?

      Vous inversez la charge de la preuve, vous vous contentez de faire le procès du libéralisme et de voir les défauts qui existent dans un tel système pour justifier les solutions socialistes, selon une analyse très fortement biaisée…

      La question n’est pas seulement de voir si les problèmes existent ou pas, la question est de savoir si les solutions théoriques sont valables.

      Ne considérer que les défauts d’un système appliqué et que les avantages hypothétiques d’un système théorique ne suffit pas. D’abord, vous ne tenez pas compte des avantages visibles et invisibles du premier que vous allez détruire en imposant le second sans certitude d’obtenir les avantages, ensuite, vous aurez les défauts du second qui seront probablement plus importants qu’imaginés.

      Ce n’est pas parce que je suis malade et que le médecin prescrit sa solution dans la bonne intention de me guérir, que celle-ci – c-a-d, la saignée – est justifiée.

      « Je rappelle qu’en même à ceux qui semblent l’oublier que la liberté de chacun est limitée par celle de l’autre. Et cela est vrai partout y compris en matière d’environnement. »

      Oh pinaize ! Encore un gars qui croit que le libéralisme, c’est le renard dans le poulailler, la liberté de meurtre : la licence, l’anomie…

    • Prenez de l’avance et débranchez-vous ! :mrgreen:

    • « Mais ignorer la réalité de l’impact des activités humaines sur notre terre , c’est de l’ignorance ou du cynisme. »

      ah bon?
      ignorer est de l’ignorance? ou du cynisme?
      Je ne comprends pas…curieux…
      oui les écologistes eux savent et vivent pareil…rien de cynique à être persuader que notre mode de vie tue la « planète » et continuer pareil, attendant que le gouvernement mondial gère le bidule au petits oignons.

      Baratin, vous allez sacrifier quelques euros à faire des trucs inutiles et dès que ça vous touchera vraiment vous aurez le reflexe habituel de dire il faut que les plus riches que moi paye.

      • Être écolo est donc pire que de ne pas l’être. Eux sont censés être conscients des nuisances, de la destruction… 🙂

  • Donc ce comparateur est bidon. Bon. Et alors ? Ça ne change rien aux faits de base :

    1) en moyenne nous gaspillons énormément
    2) nous sur-consommons les ressources sans les recycler ou très peu,
    3) ces ressources sont limitées et en voie d’épuisement rapide (quelques dizaines d’années, moins d’un siècle avant de les avoir épuisées, pétrole et métaux inclus)
    4) notre mode de vie basée sur la surconsommation irréfléchie et l’obsolescence programmée est non seulement illogique et intenable, il produit des quantités massives de déchets hautement toxiques sur un temps très long et à l’échelle mondiale.(ex : déchets électroniques exportés en Chine ou en Afrique, pesticides et nitrates dans les sols et les eaux, continents de plastique dans les océans.

    Donc on fait quoi ? On rigole ou on cherche sérieusement un moyen d’assurer la survie de l’espèce humaine ?

    • 1) à partir du moment où je ne paye pas pour les gaspillages des autres, je veux bien payer pour mes gaspillages. et quand je trouve ça trop cher pour mon portefeuille, je stoppe mon gaspillage.
      2) nous recyclons très peu car aujourd’hui, ce n’est pas rentable.
      3) quand les ressources seront en voie d’épuisement, leurs prix grimperont, et alors il deviendra rentable de recycler pour économiser ces ressources, mais pas avant. avant, comme ce n’est pas rentable, c’est gaspillage de ressources financières.
      4) si la consommation des pauvres n’était pas subventionné par l’argent des impôts des classes moyennes, il n’y aurait pas de surconsommation : chacun ne consommerait que ce qu’il est capable de se payer.

      • Je vous suis sur le fait que la régulation par les prix est certainement plus efficace.

        Mais une des difficultés est l’évaluation du « juste prix » lorsqu’une partie des incidences de la pollution ne sont pas monétisées , bien que réelle (exemple: l’effondrement de la biodiversité).

        Et d’autre part nous avons un biais dans notre raisonnement: nous dévaluons le future dans nos décisions.

        Ainsi aujourd’hui nous gaspillons du gaz et du pétrole (cf les images de torchères des puis pétrolier par exemple) car la valeur future est mal connue. Ainsi la France a peut être intérêt à ne pas exploiter ses maigres réserves, car demain elles auront beaucoup plus de valeur, pourtant beaucoup demandent que nous produisions le maximum sans attendre. (je ne parle pas de pb d’environnement ici, mais bien un point de vue uniquement économique).

        Une autre situation que nous gérons très mal est l’exploitation des zones de pêches: pour maximiser les rendements sur une longue période les pêcheurs ont intérêts à réduire leurs prises (exemple la coquille St Jacques de St Brieuc). Mais le plus souvent les pêcheurs se hâtent de pêcher le maximum et ensuite abandonnent la zone. etc…

        • Donc, il existe un prix en dehors du prix de marché… Et celui-ci devrait donc être imposé par l’État…

          http://static.giantbomb.com/uploads/original/0/4355/1145798-941670_937204_facepalm_implied_super_super.jpg

          • Dans certains cas l’état peut s’en charger par exemple en mettant aux enchères les droits de pêche.

            Mais le plus souvent le prix n’est pas connu car il ne peut pas s’établir faute d’un marché efficace.

            Par exemple: Il n’y a pas de marché pour évaluer la biodiversité.

            Pourtant c’est une valeur réelle : par exemple en pleine épidémie d’Ebola , le remède miracle existe probablement sous la forme d’un animal porteur sain du virus….le quel ? on ne sait pas…aujourd’hui mais demain nous trouverons …si nous n’avons pas totalement détruit son habitat entre temps…

            Quel agent économique peut aujourd’hui imposer une valeur à la forêt tropicale qui puisse la préserver des bûcherons (libres d’entreprendre non)?

            • « Dans certains cas l’état peut s’en charger par exemple en mettant aux enchères les droits de pêche. »

              Alors, on n’est pas dans un système d’économie de marché et le prix ne peut être que biaisé.

              « Par exemple: Il n’y a pas de marché pour évaluer la biodiversité.»

              Oula, on a un champion, je vois…

              • Salut ph11
                J’ai tjs dit que quand l’imposture du RCA serait démasquée, une nouvelle lubie sortirait….
                Tagada tsoin tsoin… la biodiversité.

                • Si on arrive à résoudre par la liberté leurs problèmes, ils ne s’en contenteront jamais, voudront l’interdire pour une raison obscure tout comme les communistes veulent interdire la solidarité spontanée, ou trouveront un autre problème.

                  Les problèmes qu’ils énoncent eux ne sont jamais que des prétextes à leur désir caché d’asservissement.
                  Leur véritable problème, c’est la liberté.

            • « pas de marché pour évaluer la biodiversité »
              Il n’y a pas d’acheteurs solvables, donc la conclusion est simple : la biodiversité n’a aucune valeur. Ceux qui le contestent n’ont qu’à rassembler des fonds pour payer.
              « le remède miracle existe probablement sous la forme d’un animal porteur sain du virus »
              Oui, la marmotte. Celle qui met le chocolat dans le papier d’alu. Et si vous voulez monter une fondation pour sauver quelques hectares de forêt équatoriale et les marmottes qui y vivent, il n’y a pas de problème tant que vous ne me demandez pas de contribuer.

            • Si vous tentez d’imposer quoi que ce soit à ces bûcherons, vous risquez de prendre la hache dans la jambe 🙁
              Laissez les vivres et gardez vous lubies pour votre famille.

        • « l’effondrement de la biodiversité). »

          où ça?

        • non articulez votre raisonnement sut autre chose que la notion de gaspillage qui est purement subjective..
          les gaspillages évoqués n’en sont pas vraiment, c’est juste que c’est pas rentable en général ce qui signifie en réalité que le bilan énergétique est sans doute négatif.

          vous donnez un exemple les torchères…je ne sais pas…
          mais je suis presque certain que les exploiter coûterait en fait plus cher que de les brûler…

          l’environnement ne peut se gérer que par interdictions.

          En gros pas échappatoire si vous estimez que brûler des fossiles tue la planète diminuer votre consommation est absurde il faut la ramener à zéro ou tout de suite à un niveau dit durable sur lequel personne ne sera d’accord d’ailleurs , tout le reste est usine à gaz, où des savants estiment des « coûts » sortis de nulle part pour justifier des taxes…

          A quel moment dans l’histoire de l’humanité l’homme n’a t il pas détruit de la biodiversité en augmentant sa population?
          Il ne fait forcement au détriment de la biodiversité , sauf quand il utilise des fossiles d’ailleurs.
          Assez bizarrement, un écologiste qui ne croit pas à la catastrophe climatique crie vive les fossiles! seule façon de préserver et l’homme et la nature.

          AU fait comment doit on vivre?
          combien sur terre ? où ça ? en vivant comment? comment faites cous pour controler que les vilains gens ne se remettent pas à se multiplier?

          et comment arriverez vous à cet eden de pacotille sans d’abord provoquer la mort de millions de personnes?

          regardez les historiques de la consommation de fossile et de la population humaine..

      • La surconsommation dont je parle s’entend par rapport aux besoins de base que nous partageons tous, et à la quantité de ressources non-renouvelables ainsi gaspillée pour des choses non-essentielles. Il est absurde de dire que ce sont les pauvres qui dépensent le plus, individuellement, pour des futilités ! Qui achète de grosses voitures bardées de gadget, un nouvel iphone tous les deux ans, des vêtements de marque toutes les deux semaines ? Sûrement pas les chômeurs ou les gens au RSA. Eux aussi achètent du superflu, à bas prix, pour l’image et pour faire comme tout le monde, mais pour l’essentiel, le peu d’argent qu’ils ont va dans l’almentaire (pour survivre c’est mieux)

        • Ah oui, le bon gros misérabilisme au service de la haine, de la jalousie et de l’envie… Brutalement éclairés, les sans-dents savent désormais ce qu’ils peuvent réellement attendre des beaux parleurs socialistes en général et des escrolos en particulier.

        • Moi qui pensait prendre le bus, je vais y renoncer et acheter une Rolls.
          C’est plus confortable et le CO2, on s’en tape.

    • Transformer le monde en poubelle ne menace pas nécessairement la « survie de l’espèce humaine ».

      Avoir des impacts sur la santé est déjà un problème suffisant (mais gérable). L’aspect « poubelle » a un impact sur la qualité de vie et doit bien sur être géré – c’est le respect des autres et de leurs intérêts. On produit effectivement des montagnes de déchets. A un point que cela en devient ridicule, mais la terre est vaste et je pense que enfouir des kilomètres cubes de déchets est réalisable (ridicule mais réalisable).

      Actuellement les métaux, les cartes électroniques ont suffisamment de valeur pour que les ferrailleurs se déplacent pour les collecter. (Valorisent-ils eux même les déchets électroniques ou perçoivent-ils des subventions ?)

      En revanche, je vois mal comment on pourrait trier les milliers d’objets différents qui finissent dans nos poubelles. Calculez le coût pour un particulier de trier des emballages (gare aux encres qui repassent dans les cartons alimentaires), du verre (qu’il faudrait lui même trier et nettoyer !) et les centaines de produits cosmétiques ou de nettoyage qui ne devraient pas être jetés avec le reste. Au prix du mètre carré de l’immobilier, la multiplication des poubelles coûte cher, les déplacements en voiture à la déchetterie sont une aberration.

      La société devra s’adapter effectivement quand certains métaux deviendront rares par exemple. N’oublions pas qu’à une certaine époque on a pratiquement rasé nos forêts pour construire des bateaux. On a survécu et on finit toujours par s’adapter. Peut être un jour fabriquera-t’on des robots capables de trier les kilomètres cubes de poubelles laissés par les générations précédentes pour enfin les valoriser.

      Cette procrastination n’est pas satisfaisante, mais notre monde fonctionne ainsi aujourd’hui : on produit en masse pour avoir des coûts faibles à l’unité – ce qui suppose cependant de consommer pour faire fonctionner la machine et nourrir tous ceux qui vivent du commerce (Oubliez ceux qui produisent : ils sont en Asie). Il faut avoir une vision globale du monde : on peut consommer en France à bas prix parce que les chinois produisent en masse pour survivre – et on n’est plus capable de produire la même chose en France à des prix acceptables. Le monde doit s’adapter. Il s’adaptera quand le coût des matières première le forcera à s’adapter. Mais inutile d’essayer de le forcer dans une direction opposée à la tendance naturelle.

      • « on peut consommer en France à bas prix parce que les chinois produisent en masse pour survivre » : argument très éloigné de la réalité, étant donné le poids des importations chinoises directes dans nos PIB est inférieur à 3 %. Quant au poids indirect, il est mesuré, par exemple dans un iphone, à 6 euros pour 600 euros de prix de vente final (1%). Ces 6 euros sont en outre remplaçables par des robots dès aujourd’hui. En revanche, les taxes des Obèses US et franchouillard sur l’iphone représentent plus de 300 euros, soit 50 fois plus que l’input des pauvres petits Chinois.

        Les impôts ont beaucoup plus d’impact sur les prix de vente, à la hausse (plus de 50% en moyenne), que les marginales importations chinoises (moins de 3% en moyenne), à la baisse. Aujourd’hui, quand on achète n’importe quel produit en France, de la voiture à la baguette, on paye avant tout des impôts et des charges sociales, beaucoup plus que du travail de l’ingénieur, du boulanger ou des matières premières.

        Tous les prix sont massivement faussés par les taxes et les charges, bien loin du bouc émissaire chinois.

        • Aujourd’hui, quand on achète n’importe quel produit en France, de la voiture à la baguette, on paye avant tout des impôts et des charges sociales, beaucoup plus que du travail de l’ingénieur, du boulanger ou des matières premières.

          Traduction : ils peuvent foutre toutes les taxes qu’ils veulent, cela ne changera rien à l’ordre de grandeur de la consommation.

      • Je partage une partie de votre constat mais je ne pense pas qu’il soit « inutile » d’essayer de faire quelque chose avant que nous nous retrouvions au bout du rouleau. Sinon, ce sera bel et bien fichu.

        Les ferrailleurs ? Très bon point, je vous invite à consulter les reportages dispos sur youtube (issues de la télé) où l’on suit, en Anglais, l’itinéraire d’une télé HS, déposée chez un pro du « recyclage », qui finit revendue en Afrique comme « appareil d’occasion » alors que sa coque est vide ! Et sur les ferrailleurs en Inde ou en Chine qui récupèrent nos montagnes de déchets informatiques toujours selon la même tromperie (déchets revendus à des exportateurs sans aucune valorisation locale au mépris des lois internationales… Que les USA ont toujours refusé de signer d’ailleurs). Vous verrez des villages entiers transformés en montagnes de déchets toxiques. Des gens qui passent leur journée à faire fondre des circuits et en respirent les émanations. Des ruisseaux irrémédiablement chargés en mercure et autres métaux lourds, les locaux n’ayant aucune réglementation ni conscience du danger. Voilà le bel avenir d’une bonne partie de notre planète tant que les fabricants et revendeurs ne seront pas forcés de devenir responsables des montagnes de déchets dûs à l’obsolescence programmée de leur produit et à leur non-recyclage ou réutilisation.

        C’est bel et bien la conséquence directe du capitalisme sans conscience, qui ne pense qu’à produire toujours plus vite et toujours plus jusqu’au jour où la planète devenue invivable et ne pourra plus nous offrir ses ressources. L’idée je suppose est que nous serons tous morts avant. Nous oui, mais voulons-nous laisser un tel monde à nos petits-enfants ?

        • C’est bel et bien la conséquence directe du capitalisme sans conscience,

          N’importe quoi, ou que vous ❗ :mrgreen:

          Ce sont les gens qui n’ont pas de conscience. D’ailleurs, même le socialisme est totalement inconscient ❗

        • Heuu l’obsolescence programmée est un mythe, le fameux biais du : aucun frigo construit après 2000 n’a fonctionné 50 ans.

          Pour le reste du message en général, bien d’accord.

        • « C’est bel et bien la conséquence directe du capitalisme sans conscience, qui ne pense qu’à produire toujours plus vite et toujours plus jusqu’au jour où la planète devenue invivable et ne pourra plus nous offrir ses ressources. »

          Vous devriez toujours vous méfier de ce que vous considérez comme acquis dans votre petite tête et aussi bien vérifier vos postulats, car vos arguments risquent fort de se retourner contre vous et aussi donner raison à vos aimables détracteurs.
          Je vous engage à chercher où se situent les endroits les plus pollués au monde, et vous constaterez avec horreur qu’ils se trouvent dans des places ultra-libérales, comme Dzerzhinsk ou le lac Karachay en Russie, à Tchernobyl, en Ukraine, Sumgayit et Baku en Azerbaijan, etc.

    • 1) la nature elle-même gaspille énormément (énergie solaire, spermatozoïdes…) C’est même une des conditions de son existence. Ce n’est donc pas du gaspillage, c’est de l’optimisation.
      2) il est physiquement impossible de sur-consommer les ressources : on ne peut consommer que ce qui est produit.
      3) Malthus nous avait déjà fait le coup. Mais c’est une vision profondément bornée, toujours démentie par les faits, qui s’arrête à ce qui se voit, qui par exemple ne comprend pas que le prix est aussi important que la quantité.
      4) Les déchets d’aujourd’hui sont les ressources de demain. Les générations futures nous remercierons d’avoir produit tous ces déchets-ressources facilement exploitables.

      On fait quoi ? On élimine le socialisme sous toutes ses formes, sans regret ni retard, parce que c’est la condition de la survie de l’espèce.

      • Ho je ne crois pas que la nature « raisonne », et je dirai plutôt que les organismes se défendent et attaquent dans un chacun pour soi…
        Mais reconnaissez qu’un peu d’intelligence dans la gestion des déchets peut être très profitable, par exemple mettre un pile usagée dans une poubelle ou la mettre dans le conteneur piles usagées….
        Voilà typiquement un geste qui coûte (il faut un conteneur particulier, y penser…) à chacun mais le résultat en terme de recyclage n’a rien à voire: dans la poubelle la concentration en métaux dans les cendres restera très faible … inexploitable avant longtemps , à l’inverse du processus de trie…

        Est-ce trop demandé aux hommes libres?

        • « Mais reconnaissez qu’un peu d’intelligence dans la gestion des déchets peut être très profitable, par exemple mettre un pile usagée dans une poubelle ou la mettre dans le conteneur piles usagées….
          Voilà typiquement un geste qui coûte (il faut un conteneur particulier, y penser…) à chacun mais le résultat en terme de recyclage n’a rien à voire: dans la poubelle la concentration en métaux dans les cendres restera très faible … inexploitable avant longtemps , à l’inverse du processus de trie… »

          C’est votre vision.
          En réalité, c’est plus complexe que les « vérités évidentes » que sortent les idéologues.

        • La nature ne raisonne pas, elle est ainsi. Point barre. On peut s’en désoler mais c’est parfaitement vain : la vie conduit à produire des déchets, du moins ce qu’on qualifie improprement comme tel, alors qu’il s’agit de cycles.

          La valorisation des déchets dépend d’une longue chaîne d’intervenants, donc de leur motivation. Que diable, motivez-nous au lieu de nous contraindre ! Est-ce trop demander aux démocrates de pacotille mais dictateurs en herbe ? En quoi le marché, les prix, les quantités, la liberté, la propriété privée, sont-ils des concepts tellement compliqués à comprendre, y compris en ce qui concerne les déchets ?

          • Justement le « laissez-faire » c’est le plus souvent : je laisse dans la poubelle, finalement le vrai coût de cette pile dans la poubelle ne me sera jamais imputé..car il n’y a pas de marché efficace pour l’évaluer….sauf si un régulateur s’en charge..alors évidemment c’est pas cool : sanction , amende, normal…
            La propriété privée est bien en peine : je vous invite à visiter les sites industriels pollués: résultat de décennies de « libre exploitation »…La liberté a bon dos mais il faut être réaliste il y a des situations où il faut un arbitre qui siffle la fin de partie!

            • C’est quoi, le « vrai cout » ?

              « car il n’y a pas de marché efficace pour l’évaluer…. »

              Et c’est quoi un « marché efficace » ?

              « sauf si un régulateur s’en charge »

              Ben voilà.
              Un problème, une loi.
              Et tout se déroulera selon la volonté du Saint-Régulateur.

              « résultat de décennies de « libre exploitation »… »

              Sources ?

            • C’est tjs pareil avec les socialistes, le système n’est pas parfait, on va vous imposer un système encore pire.
              Souvenez vous de l’état déplorable des pays de l’est, socialiste pourtant.
              Les faits sont têtus, tous les systèmes collectivistes ont aboutis au même résultat, pénurie et misère.
              Mais MARC, vous vous en foutez, vous êtes dans le discours du pouvoir, de la contrainte, la réalité vous est totalement indifférent.

              Et je ne vous parle pas des millions de morts imputables à vos lubies criminels.

            • « Le vrai coût »
              Le vrai coût, c’est celui que l’on paie, pas celui que vous allez imaginer nous imposer.

            • Exactement. L’écologie nous concerne tous, on ne peut permettre que certains s’octroient le droit de priver les autres de ressources ou de polluer gravement parce qu’ils ont plus d’argent. Mais visiblement c’est difficile à faire comprendre aux gourous du tout-à-l’ego pour qui chier sur les autres est un plaisir, la mesure de leur fortune personnelle étant leur seul étalon de valeur.

              • « L’écologie nous concerne tous »

                Arrêtez de dire «nous » et « tous ».
                Je ne vous ai nullement mandaté pour parler à ma place.

                C’est bien ça votre problème à vous, les collectivistes. Vous êtes certains d’être la voix du « nous » collectif, et donc finissez par intimider, mettre en prison ou liquider ceux qui apportent la contradiction, qui ne seraient que des ennemis de la collectivité…

              • Mais visiblement c’est difficile à faire comprendre aux gourous du tout-à-l’ego pour qui chier sur les autres est un plaisir, la mesure de leur fortune personnelle étant leur seul étalon de valeur.

                Un bon petit camp de concentration redressement, et le tour est joué :mrgreen:
                A part prendre l’avion plus souvent, ils ne polluent pas plus que vous ou qu’un fonctionnaire, il n’y aura plus que cela en France.

            • J’ai une solution très économique et efficace : supprimez le ramassage public gratuit des poubelles, et le gaspillage s’arrêtera en quelques années. Un bonne crise et puis c’est tout.
              Baisse des impôts, c’est bon pour l’économie ça ❗ 🙂

      • Cavaignac: Du grand n’importe quoi sur toute la ligne, avec une conclusion hors-sujet.
        Question pour vos recherches personnelles (vous en avez visiblement besoin) :

        – un élément naturel recyclable (bouse de vache par exemple) est-il comparable à un écran d’ordinateur ? Ce dernier est-il tout aussi recyclable et naturellement bénéfique au cycle naturel de transformation ?

        – si vous répondez oui, j’imagine que vous devriez être heureux que votre commune transforme votre jardin en zone de stockage de produits chimiques toxiques et déchets industriels divers. Miam !

        Et il est tout à fait possible de consommer plus de ressources en un an que l’on peut en trouver dans la nature dans le même temps, nous le faisons chaque année. Pour produire nos gadgets tactiles rapidement obsolètes, nos voitures, déodorants, dentifrices

        • « il est tout à fait possible de consommer plus de ressources en un an que l’on peut en trouver dans la nature dans le même temps ». Non, c’est impossible, on ne peut consommer que ce qui est à notre disposition, pas plus. Ou alors cette proposition est incomplète (au sens de la découverte de réserves nouvelles), mais ainsi elle devient sans fondement puisque par définition tout est limité. Dans les deux cas, la logique faible fait pschittt !

          « bénéfique au cycle naturel de transformation » : typique de cette déclaration de foi, l’anthropomorphisme délirant des escrolos relève effectivement de la psychiatrie lourde.

        • – un élément naturel recyclable (bouse de vache par exemple) est-il comparable à un écran d’ordinateur ? Ce dernier est-il tout aussi recyclable et naturellement bénéfique au cycle naturel de transformation ?
          Je vous assure qu’une fois piétiné par un éléphant, rongé par une souris, oxydé par l’air, l’eau et les bactérie, il n’en restera rien de plus que la bouse de vache. alors que les os de la vache, on risque de les retrouvez dans des millions d’années. Idem pour des tessons de poteries, ou de la laine de verre (j’en ai trouvé dans mon jardin ; les plantes s’en foutent). C’est grave, docteur ?

          – si vous répondez non, j’imagine que vous devriez être heureux que votre commune transforme votre jardin en zone de stockage fumier et bouses de vaches. Miam !

          « Et il est tout à fait possible de consommer plus de ressources en un an que l’on peut en trouver dans la nature dans le même temps, nous le faisons chaque année. Pour produire nos gadgets tactiles rapidement obsolètes, nos voitures, déodorants, dentifrices »
          Vous voulez dire : il est possible de bouffer le stock. Oui, et alors ? C’est pas naturel, peut-être ? le reste de la biosphère ne fait jamais ça, vous croyez ?

        • Citoyen: « – un élément naturel recyclable (bouse de vache par exemple) »
          ——————————————————————

          Exemple « au hasard » évidemment LOL. Et pourquoi pas une bonne coulée de lave bien toxique mais tout aussi naturelle (8 à 10 millions de mètres cubes par jour lors d’une éruption) et qui mettra des milliers d’années, si ce n’est des millions a disparaitre ?

          Citoyen: « -est-il comparable à un écran d’ordinateur ? Ce dernier est-il tout aussi recyclable et naturellement bénéfique au cycle naturel de transformation ?  »
          ——————————————————————

          Le « cycle naturel bénéfique » qui a exterminé 11 fois la majorité des espèces existantes et qui par moult catastrophes, volcanique, tectonique, météorologique et j’en passe détruit aussi des centaines de millions d’hectares chaque année et extermine 30 espèces par jour totalement naturellement ?

          Certainement !

          L’écran d’ordinateur retournera en sable et composants essentiels, les décharges seront de future mines de silicium et autres composants essentiels, elles seront, entretemps l’occasion de niche écologique pour certaines espèces. Niveau maternelle en géo-physique.

          So what ? Vous voulez éradiquer les cycles « long » (50-200 ans, lol) de la nature ?

          Nous sommes nature, nous ne faisons pas plus ni moins que les autres espèces, loin de la vision romantique et religieuse, en tout cas totalement ignorante de la réalité, des abrutis écolos.

          Abrutis qui se servent d’ailleurs d’ordinateur éminemment « néfaste », selon eux, pour dénoncer l’utilisation …des ordinateurs. :mrgreen:

          Nan mais Lol quoi !

  • En fait, Pour les écolos, il n’existe que les ressources naturelles et la consommation, l’homme ne fait que consommer que des choses existant déjà dans la nature, une manne divine donnée par Gaïa.
    La production n’existe pas, il n’y a pas d’ingéniosité, d’innovation, d’organisation, d’optimisation, on ne fait que consommer et dilapider les ressources. Et le capitalisme est simplement le droit de consommer en détruisant la nature…

    En fait, leur niveau de connaissances économiques est resté à celui des chasseurs-cueilleurs.

    • @ph11
      Je suis curieux ?
      Êtes vous systématiquement en mode « troll on » ou avez vous réellement la haine que l’on ressent dans vos commentaires vis à vis des gens ayant un avis différent du votre ?
      Si c’est le cas je vous plains.

      • Bravo, belle démonstration de la connerie humaine…. Merci.

        Cette phrase résume assez bien ce qu’est Contrepoints « le nivellement par le haut »

        • Ah ah ! Laissez, Ph11 est un grand malade visiblement, remarquez, c’est bien qu’il y ait des vivariums comme contrepoints pour observer ce genre de bestiole: dans le monde réel il ne survivrait pas longtemps ^^

          • C’est vous qui êtes de vrais malades, vous détestez la vie, vous détestez la liberté, vous adorez la contrainte, votre vision de la vie c’est l’esclavage.

            • Monsieur, je n’ai pas l’heur de vous connaître (grand bien m’en fasse) , n’étant pas spécialiste en psychiatrie. Je me permets donc de vous faire remarquer que vous ne me connaissez pas non plus. Je vous prierai donc de prendre vos médicaments et de faire un gros dodo au lieu de projeter votre bile et vos insultes sur les passants. Bonjour chez vous !

          • Alerte ! Alerte ! Le taux de hippies est critique !

            Si ça continue, on va avoir un festival…

            Die Hippie, Die !

          • Le pot de miel, vous connaissez ❓

        • Heureusement Zéro Zorro est arrivé héhé …

      • La nature n’est pas admirable et encore moins une fin en soi. C’est l’une des idées reçues que véhicule les écologistes.

        En vérité la nature est hostile physiquement (tempêtes, tremblements de terre, sécheresse ..) et biologiquement (prédateurs, lutte des espèces, micro-organismes, virus). Elle ne peut apparaître belle que quand on a commencé à la domestiquer, et à s’en protéger. Et cela n’est même pas donné à chacun.

        Il faut avoir un grain pour se sentir au service de la nature : elle ne peut pas être une fin en soi car elle n’existe que parce que nous sommes la pour lui donner une sens et qu’on en a besoin. De ce fait elle est forcément à notre service et non le contraire.

        Une fois qu’on a remis les choses à leur place, il est possible de discuter de l’abus de certains qui est une violation de l’intérêt des autres.

    • Pourquoi plaindre ph11 (toujours bien trop basique) ? Il a peut-être de bonnes raisons de haïr la « nature », et de tirer jouissance de cette haine. Par contre, sur un autre sujet ici même, ph11 affirme que s’il existait un lieu d’anarchie sur cette planète (where else ?), il s’y rendrait illico presto. Je crains fort qu’il y ait beaucoup de confusion dans cette déclaration. En fait, ce que recherche ph11, c’est un bon trip nihiliste.
      Ce en quoi, ironiquement, il rejoint certains fanatiques de la deep écologie.

  • Je suis venu sur contrepoints parce que des idées nouvelles et originales pouvaient y être débattues. Je constate une agressivité latente qui me désole. Je me fais traiter de socialiste ou d’écologiste, avec la même hargne que les nazis avaient pour leurs opposants.

    Beau projet de société meilleure!

    J’arrête ma participation à contrepoints et je laisse les imbéciles à leurs lubies.

    • Boum, point Godwin atteint, vous venez donc de perdre le débat. Dommage pour vous.

    • « la même hargne que les nazis avaient pour leurs opposants. » Je suis particulièrement heureux que vous n’en ayez jamais rencontré, mais ils étaient un peu plus méchants…

    • Contrepoints est fréquenté par des « affreux libéraux » qui ne croient pas au socialisme. Or il se trouvent que nos « écologistes » sont largement collectivistes eux-mêmes mais surtout que leur vision collectiviste du monde apparaît très souvent (comme le nez au milieu de la figure) précéder l’analyse même des problèmes, et qu’ils véhiculent sans même s’en rendre compte des idées reçues comme si cela était parole d’évangile. (idées reçues qui transpirent elles-même le collectivisme).

      Il suffit effectivement de parler de « propriété collective » des ressources, de réglementation étatique ou de taxes pour se faire contredire (vu la situation actuelle en France, cela revient à agiter le chiffon rouge). On peut très bien avoir une vision libertarienne de l’environnement, mais cela suppose pour certains de se remettre en cause et de bien trier les idées reçues …

    • Beau projet de société meilleure!

      Vous avez tout dit. Vous rêvez éveillé.

      Moi qui me réjouissait de parler de la suppression des rouleaux de PQ et de savoir par quoi les remplacer…. 🙂
      Moi qui me réjouissait de parler de la suppression du ramassage gratuit des ordures et du remplacement par d services privés… 🙂

      Vous devez être très docte et très sérieux dans la vie. Limite un poil ennuyeux.
      Les vacheries, vous n’avez pas remarqué, cela fuse, des 2 cotés.

    • « avec la même hargne que les nazis avaient pour leurs opposants. »

      Bof… Comparer un simple débat avec le traitement des opposants par les nazis, c’est curieux et honteux…
      Faut manquer sacrément de discernement…

      Vous venez avec vos idées socialisantes sur un site libéral (dont une bonne partie des participants ont une grande expérience du débat avec des socialistes et connaissent parfaitement vos idées), ne vous attendez pas à ce qu’on vous déroule le tapis rouge.

    • ce n’est pas tant de se faire traiter de socialiste qui compte, que de faire le constat que souvent les principes collectivistes sont présents dans la majeure partie des projet « écolo »…
      Il n’y a rien de choquant à prôner le collectivisme dans une société gelée technologiquement, l’ennui est que à l’inverse le collectivisme à tendance à geler les sociétés au point de vue technologique.

      quand nous serons arrivés à un point où véritablement nous serons « bloqués », il sera temps de penser au collectivisme.

      J’attache quant à moi une importance particulière à l’énergie et j’ai donc tendance à voir tout sous l’angle énergétique , le recyclage qui marche est souvent associé à un bilan énergétique positif..
      souvent les mesures environnementales comme le recyclage dans les pays développés ont un but social caché , au final les emplois dans les usines de recyclage sont souvent mis en avant…

      d’un autre coté les gens mélangent deux choses ,une « pollution » par le plastique , d’un autre une pénurie de plastique…
      le second point doit être triaté de façon économique…le premier sur un plan plus moral…
      en gros c’est pas bien les sacs plastiques la solution est réglementaire on interdit ou légifère l’usage de ce qu pollue ..et l’economie s’adapte avec cette nouvelle contrainte …notez que cette législation doit être justifiée et acceptée par tous..or pour le moment force est de constater que la pollution par le plastique à tort ou à raison, les gens ne la ressentent pas économiquement; ils sont juste rendu « concernés » par des concernateurs professionnels …
      Vous pouvez donc convaincre la société de prendre une mesure en la rendant concernée, toutefois, la vraie question est pourtant de savoir si la pollution par le plastique est vraiment couteuse pour l’homme.

      Le truc des écolo est de dire que certaines choses sont inestimables ,ce qui n’est pas faux, donc…que leur disparition devrait être prise en compte dans les « prix » de toute chose…sauf que…j’estime aussi que ma vie est inestimable , ce qui n’est pas faux de mon point de vue… et donc le dodo ,moi sur l’île déserte, je le bouffe…et le reste de la biodiversité ensuite.

      • « quand nous serons arrivés à un point où véritablement nous serons « bloqués », il sera temps de penser au collectivisme. » Même pas ! La société figée dans une sorte de stase collectiviste n’existe pas : soit on progresse, soit on régresse, la chute ayant tendance à être plus rapide que le progrès. En fait, le collectivisme ne peut s’envisager que dans une société en phase de progression, pour qu’il existe quelque chose à collectiviser. Mais comme la collectivisation détruit le progrès, l’échec est inéluctable.

        • c’est une figure de rhétorique, je ne crois à l’existence de ce moment, mais je pense aussi que quand tous les hommes auront les même désirs let les même goûts le temps du collectivisme sera venu.
          pas certain qu’il faille une phase de progrès matériel pour collectiviser , je n ai aucune idée là dessus, mais je crois effectivement que le collectivisme détruit le « progrès » et surtout il ne donne au progrès qu’un sens collectif..le progrès se constate il ne se décrète pas. Tiens ça me fait penser à la croissance…on échoue depuis toujours à produire à volonté de la croissance..et pourtant on a déjà des gens qui construisent des théories de la décroissance…

      • Ils ont surtout pris l’habitude de raisonner comme si nous vivions dans un monde de ressources finies avec des moyens d’action infinis. (Notez que la bio-diversité, la nature, la faune ne sont que des ressources comme du minerai ou du gaz – dire le contraire est appliquer un présupposé moral qui biaise totalement le discours).

        Mais c’est exactement le contraire :

        – les ressources ne sont pas limitées en durée d’exploitation puisque cette durée dépendent uniquement de la demande et de l’offre. Si les prix augmentent, la demande diminue car des solutions alternatives apparaissent. Le temps qu’on racle les derniers grammes de minerai ou de charbon présent dans le sol (il faudrait d’abord localiser toutes les ressources), les prix auront augmenté du fait de la rareté et des solutions alternatives plus économiques seront en place depuis longtemps : les derniers kg de minerai ou m3 de pétroles ne seront jamais extraits et la ressource est virtuellement infinie !
        – en revanche les moyens d’action sont finis : ils supposent de détourner une partie de la richesse (finie) que nous produisons chaque année pour anticiper sur des problèmes futurs (qui eux sont infinis).

        Ils jouent aux apprentis économistes sans rien y comprendre. Il n’y a en fait pas de vrai problème, mais seulement des « voies différentes » pour engager l’avenir. Certaines voies sont sûrement mauvaises, mais comme l’avenir dépend de facteurs très nombreux et incontrôlables, prétendre savoir qu’une voie est meilleure qu’une autre est extrêmement prétentieux. Quant à sacrifier le présent sur la foi d’un ou plusieurs prévisionnistes (le nombre de change rien), sachant à quel point ils se sont toujours trompé, je vous laisse juge …

        • problème d’allocation de ressources tout à fait…

          leur problème est aussi qu’ils pleurent sur notre addiction à une ressource tout en faisant en sorte de préserver cette ressource…ces sont des conservateurs.

  • Message à l’attention de M. Stéphane MONTABERT et aux autres contempteurs de l’écologie.

    J’ai 61 ans, 4 enfants et, pour le moment, « que » 5 petits-enfants. Au fil des années, je me suis constitué une relative importante collection de livres, près de 3000 ouvrages traitant de sujets très éclectiques. Je les ai réunis dans mon bureau-bibliothèque où, jusqu’à une date récente, tous ces livres étaient apparents et tout un chacun pouvait les consulter.
    Mais le temps passe, mes petits-enfants grandissent et par manque de courage, je viens d’enfermer certains ouvrages diaboliques dans un petit tabernacle bien fermé à clé, tel l’Enfer de la plupart des anciennes Bibliothèques. J’y ai dissimulé les livres sulfureux de Rachel CARSON, René DUMONT, Serge MOSCOVICI, Brice LALONDE, Nicolas GEORGESCU-ROEGEN, Ivan ILLICH, André POCHON, Théodore MONOT, Bertrand de JOUVENEL, Yves PACCALET, J. Marie PELT, Philippe DESBROSSES, Jeremy RIFKIN, Nicolas HULOT, Edgar MORIN, Masanobu FUKUOKA, Edouard GOLDSMITH, Bjørn LOMBORG, Dominique BELPOMME, Claude et Lydia BOURGUIGNON, Coline SERREAU, Gilles CLEMENT, Serge LATOUCHE, Pierre RHABI, …
    Ainsi, je suis tranquille, je peux recevoir, désormais sans crainte, dans mon bureau-bibliothèque mes petits-enfants et leur mentir sciemment quand ils m’interrogent : « Papy, toi qui as bien vécu et beaucoup lu, comment crois-tu que sera le monde quand nous aurons ton âge ? ».
    Comment peut-on dire à un enfant de 10 ans – à son propre petit-enfant ! -, les yeux dans les yeux, que dans cinquante ans, du fait de nos innombrables crimes contre-Nature, il n’a très probablement peu de chance d’apprécier sa vie, d’avoir même une « vie » ?
    Vous qui combattez aussi péremptoirement les thèses écologiques, comment pouvez-vous – sans le moindre doute ! – GARANTIR à vos petits-enfants un bel avenir sur notre petite et si malade Gaia?

    • car vos enfants sont moins stupides que les écologistes…

      vos petits enfants sont les purs « produits » des crimes que dénonce les écologistes…
      votre bibliothèque aussi à ce propos et les nombreux lires qui s’y trouvent….

      Mais trêves d’accusations grandiloquentes…vous dites crimes contre natures..
      donnez nous des exemples un par un et on discute le bout de gras et on regarde ce que disent les écologistes…

    • « Ainsi, je suis tranquille, je peux recevoir, désormais sans crainte, dans mon bureau-bibliothèque mes petits-enfants et leur mentir sciemment quand ils m’interrogent : « Papy, toi qui as bien vécu et beaucoup lu, comment crois-tu que sera le monde quand nous aurons ton âge ? ». »

      Dites tout simplement que vous ne pouvez pas le savoir. C’est la réponse la plus objective possible et il n’y a aucun mensonge là dedans.

      « du fait de nos innombrables crimes contre-Nature »

      Heureusement que les gens comme vous ont peu de pouvoir. Si c’était le cas, j’ai peu de difficultés à imaginer une chiée de condamnations à mort pour crime contre la Nature…

      « il n’a très probablement peu de chance d’apprécier sa vie, d’avoir même une « vie » ? »

      Et donc, pour cela, vous êtes prêts à imposer un système totalitaire, une vie de sacrifices et de rédemption…

      « GARANTIR à vos petits-enfants »

      Il faudrait p-e que vous compreniez que NOUS sommes les « générations futures. »

      Il est curieux de voir tant de boomers qui ont largement profité du travail austère de leurs ancêtres, ont prôné « il est interdit d’interdire », l’émancipation, de libération sexuelle, ont mis en place un système politique à leur avantage, selon leur utopie, ont mis en place un système d’hyperconsommation, ont endetté fortement le pays, ont détruit les débouchés économiques,… vouloir imposer à leurs enfants et petits enfants des sacrifices au nom des générations futures, de principes altruistes… Tout en exigeant d’eux de se serrer la ceinture pour payer leurs pensions pour lesquelles ils ont sous-cotisé…
      Je ne suis pas spécialement partisan de théories de conflit intergénérationnel, mais quand même…

    • Bonjour Alain CELSE
      Quand j’avais l’âge de vos petits enfants, la dernière mode était le club de Rome et au élection présidentielle Dumont nous déclarait un verre d’eau à la main que nous manqueront d’eau à la fin du siècle.
      Vous voyez, ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces.

    • Attitude d’enfant gâté du progrès… Sans le progrès tant vilipendé, en toute hypothèse, l’auteur de ces propos inconséquents serait déjà mort depuis longtemps, par exemple d’une banale rage de dents. Le monde n’a jamais été aussi agréable et confortable à vivre, ni aussi riche de potentiel pour une part croissante de l’humanité et, même s’il reste d’immenses progrès à faire pour de nombreux humains qui n’en profitent pas encore pleinement, ce n’est pas la peine de le détruire avec des idées rétrogrades, barbares et suicidaires issues de l’idéologie écologiste, dernier avatar du socialisme protéiforme. Que Papy laisse donc ses petits enfants tranquilles, en ayant d’abord le courage et l’honneur de ne pas leur imposer ses propres dettes !

      • Pardon mais qualifier de suicidaire et rétrograde l’écologie est rétrograde. Tout est une question de développement. La vie de l’homme valait peu il y a 2000 ans; et depuis la révolution industrielle, les droits de l’homme s’affirment de plus en plus. Aujourd’hui, on parle maintenant de droit de l’environnement (pas le même sens bien de « droit » sur); c’est le progrès, on a atteint le stade où il faut s’en préoccuper et à juste titre. Ceux qui qui parle de culpabilisation sont des rétrogrades et fruits d’une société de l’enfant roi, où aucune contrainte ou règle ne peuvent leur être donner.

        • 1) Ca veut dire quoi rétrograde – cela suppose une échelle de valeurs qui comme par hasard noterait mieux les valeurs actuelles. Qui a établi ces valeurs. Est-ce qu’elles considèrent que les valeurs occidentales sont « meilleures » que les valeurs occidentales, que nos ancêtres n’avaient aucune valeur ou été stupides. Je sais mesurer la qualité de vie, l’espérance de vie mais pas les valeurs.

          2) C’est quoi le droit « de » ou « sur » l’environnement ? Chacun a bien sur le droit de défendre ce qu’il possède ou ce qui interfère avec son existence. Mais l’environnement c’est quoi ? Je connaissais déjà 2 conceptions stupides : « la terre appartient à celui qui la cultive » et « la terre appartient au premier qui la revendique ». Nouvelle stupidité : « la terre s’appartient à elle même » ?

          3) Pour la culpabilisation et l’enfant roi, vous remarquerez que ce sont des idées et des problèmes de pays riches. Désolé de vous dire que tout le monde n’a pas atteint le stade de progrès où il devient évident et urgent de se préoccuper de l’écologie. Allez parler de la biodiversité au 200 millions de malades et 600 milles morts annuels du paludisme.

          On n’a pas besoin d’écologistes pour lutter contre la pollution dès lors qu’elle pose un problème de santé et qu’on a les moyens économiques de la limiter. Nos villes ne sont plus noyées dans le smog – celle des chinois si. Un comité de riverain n’a pas besoin de conscience écologiste pour s’opposer à un projet qui dénature son environnement. Si ceux qui habitent les montagnes des Pyrénées avaient le pouvoir de décision, il y aurait profusion de « descente de lit » sur le marché.

          Que des scientifiques étudient les impacts de certaines pratiques : ok. Que des spécialistes régulent les pratiques en fonction de la connaissance pour éviter la détérioration des ressources en commun : c’est leur boulot. Mais que les activistes cessent de rameuter l’opinion avec de la pseudo-science et de la morale ridicule et orientée comme si le monde leur appartenait : le grand Nord n’appartient pas à N. Vanier, les Pyrénées n’appartiennent ni aux écolos ni aux ours. La bio-diversité n’a pas de valeur quantifiable tant que l’on ne produit rien avec – le coût de sa préservation est donc toujours supérieur à sa valeur propre et je comprends mal comment on pourrait la faire passer avant la survie des populations, même quand ces populations produisent de l’infâme huile de palme pour survivre.

          • C’est de la caricature. Vous ramenez l’écologie à un luxe qui se fait forcément aux dépend de vies humaines. N’importe quoi. Et je dirais bien au contraire. Vous avez une vision simpliste et rétrograde, vous arrivez à me parler des malades du paludisme, c’est quand même fort. Et effectivement, la culpabilisation et l’enfant roi, c’est bien sur pour les pays riches.

        • qualifier de suicidaire et rétrograde l’écologie

          Cela dépend de quelle écologie on parle. Avec une écologie pure et dure : pas d’industrie et pas de nucléaire qui sont nécessaires au développement des systèmes d’imagerie médicale. Alors là, je suis d’accord avec le propos : c’est bien rétrograde et suicidaire.

    • Si en plus de 60 ans, vous n’avez pas remarqué que le monde n’a pas évolué comme prédit, c’est que vous êtes très myope. En conséquence, vous comprendrez que je ne prends pas le bus si c’est quelqu’un comme vous qui conduit.

      Vous sous prenez vraiment pour Nostradamus ? Vous m’avez l’air d’être doté d’une prétention infinie, et cela transparaît aussi bien dans le fond moisi que dans la forme ridicule de votre laïus – je plains vos petits enfants, quoique ils doivent surtout vous considérer comme un vieux radoteur en jouant sur leurs consoles de jeux. On n’a jamais vu venir les guerres, les famines les bouleversements politiques, les évolutions de la technologie et du commerce. Mais vous, vous prétendez tout savoir (Sauf que votre vision idyllique du monde d’il y a 60 ans devrait vous amener à consulter un médecin) . Vous avez ingurgité toutes les niaiseries qui nourrissaient vos lubies sans aucun esprit critique et vous nous vomissez tout en bloc en pensant nous donner des leçons.

      Le plus grand danger pour vos petits enfants, c’est votre myopie quand vous conduisez ! Laissez surtout nos petits enfants tranquilles : on essaie de leur apprendre à réfléchir par eux mêmes plutôt que de suivre aveuglément les joueurs de pipeau !

    • Comment peut on faire croire aux enfants que le mobde seea inhabitable quand ils seront adultes ? (Ce qui est parfaitement faux), comment peut on les culpabiliser sur des problémes dont on ne comprend même pas la nature (réchauffement), leur imposer de payer une « dette écologique » hypothétique en plus de la dette financière ? Leur oter toute foi en l’avenir, toute confiance dans le progrès, toute admiration de l’action humaine, responsable de tout les maux selon les adorateurs de Gaïa ?

      Comment osez vous leur vendre une existence ausdi triste et coupable, et surtout, vous étonner après qu’ils se réfugient dans le virtuel, deviennent nihilistes et passent leur temps à se défoncer…

      La pensée environnementaliste détruit la jeunesse en lui ôtant tout désir de construire leur avenir, parce que des types comme MARC, Citoyen, ou autres prennent bien soin de les en degouter avec leur eco-morale à géométrie variable.

      Cette pensée est véritablement détestable.
      D’ailleurs MARC qui traite les libéraux de nazis devrait pourtant savoir qu’ils ont été des précurseurs en matière de protection de l’environnement.

  • Bonsoir A Celse

    vous nous faites marcher là?
    vous avez vraiment une telle collection d’inepties chez vous?
    Ne me dites pas que vous les avez achetés, voire lus?
    Bon, que lors d’une brocante, en lot avec un luminaire, on vous aie refilé ces crétineries,ces prophéties à la con, de candidats Philipulus de foire,on pourrait comprendre.
    Mais là, je suis scié.
    Enfin il faut de tout pour faire un monde, à ce qu’il paraît?

    Vous avez pensé à consulter?

    en tout cas, je mets votre com en mémoire, à replacer dans un dîner un peu arrosé

    mais dites=moi, que faites=vous sur le net?
    Là, il y a au moins 2 ours polaires qui ont eu un coup de chaud?

  • Montaigne avait bien raison :

    « Il n’est réplique si piquante que le mépris silencieux. »

    • Et bien alors just do it.

    • Oui peut être bien , le problème est que les gens qui se rendent compte qu’ils ont dit des idioties restent aussi silencieux…ou citent Montaigne parfois.

      quels crimes contre l’humanité? pardon pire, contre nature?
      et quelle solution écologiste? les appliquez vous?

      les écologistes , la plupart des intervenant sur ce site en connaissent ce sont des HYPOCRITES hors catégorie…alors permettez moi de rigoler un peu ..

    • Ouaip, débranchez-vous du net. Et profitez en pour relire vos fameux navets bouquins, à la lueur d’une bougie, car sinon vous allez polluer comme un vulgaire criminel.

  • MESSAGE A L’ATTENTION DU MODERATEUR DU SITE

    Après lecture de certains commentaires, il est évident que le site de Contrepoints.org a été piraté par Nabilla qui se cache sous de nombreux pseudos.

    • Rebonjour Alain Celse
      J’attends toujours des arguments solides dans les 3 posts que vous avez commis sur contrepoints.
      Vous ne me connaissez pas, je ne suis pas un minus-habens comme vous sous entendez. Nous avons l’habitude des posts d’écolo-collectivistes et les insultes nous font ni chaud ni froid.
      Cordialement.

    • « Pourquoi certains arbres sont morts ? La réponse : « Y a des arbres à moitié mort parce qu’ils ont pas d’eau donc ils ont soif ! ». C’est simple, non ? » Paroles de Nabila.

      Je ne vois pas bien la différence avec vos propres propos. Sauf que ce qu’elle dit la en l’occurrence n’est pas faux.

      Cependant, je suis près à parier que même si elle n’a pas lu beaucoup de livres depuis qu’on a inséré du texte entre les dessins à colorier, elle a plus les pieds sur terre que vous.

    • magnifique, vous êtes un aigle d’airain, et nous des crapauds , , vos diversions et manoeuvres dilatoires sont sublimes de subtilité e le reconnais et je suis admiratif de votre culture, toutefois pouvez vous nous donner un de ces crimes qu’on en discute.

      vous avez toute une pile de bouquins…

      ah oui la terre est surpeuplée, on devrait la respecter, nous sommes cupides, etc etc…
      ok…mais vous ne la respectez pas plus, vous la peupler, vous êtes cupide aussi…

      vous en tant qu’ illuminé de la pensée de tels phares..vous avez changé quoi à votre vie?
      vous avez acheté des machins locaux? un paquet de café éthique?

      quels ont vous revenus? quelle est la taille de votre maison? avez vous une voiture ? avez vous voyagé et comment?
      comment vivez vous?
      ils serait très mal venu que vous soyez fonctionnaire ou rentier..je m’attends que vous soyez pour le moins un ermite ?
      et une fois que vous aurez fait le bilan de vos actions…et que vous le mettrez en balance avec la violence de vos accusations…comment supportez vous ça?

    • Nabilla qui se cache sous de nombreux pseudos.

      Pikouli ! 🙂

      Quoique, c’est être insultant avec Nabilla ❗

  • De toute manière , cette histoire de CO2 est une arnaque du GIEC , il n’y aucune démonstration scientifique que le CO2 produit par l’homme agit sur le Climat ( je n’ai pas dit que le climat ne changeait pas …. )
    Et il y a pleins de scientifiques très sérieux qui critiquent vertement la méthodologie pas rigoureuse du GIEC .

    Appamée

  • réponse à PRAGMAT = La nature n’est pas au service de l’homme , elle est , c’est tout . ( ni bonne , ni mauvaise , ces appréciations ne sont que des opinions humaine sans valeur )
    L’homme n’est qu’un produit de la nature , il peut l’utiliser pour lui , et aussi la détruire .
    Mais , il y a un mais , l’homme a un problème en ce moment : nous sommes beaucoup trop nombreux sur Terre , et ça s’aggrave tous les jours ( + 200 000 par jour )
    Il faut réduire cette population , car elle est trop nombreuse pour que la Terre assure ses besoins .
    C’est ce qui se passe quand une population quelconque d’animaux devient trop importante .
    Sinon , ça va faire très mal un jour ….

    Appamée

  • Les commentaires sont fermés.

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