Le Rwanda face au défi du capital social

Près de vingt après le génocide, la majorité des Rwandais n’ont plus confiance en les autres. Une difficulté sociale qui s’ajoute aux problèmes économiques du pays. Comment y remédier ?

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  • Merci de bien vouloir préciser que la libéralisation économique indispensable au futur harmonieux des populations rwandaises nécessite une libéralisation de l’expression politique.
    Or Paul Kagame n’est pas ce que l’on appelle couramment un « démocrate ». Son choix de la libéralisation économique est un calcul politique pour essayer d’asseoir son pouvoir de type dictatorial.
    Ce calcul pourrait heureusement être mis en échec à terme, par une population libéralisée qui demanderait que la machine politique et étatique reste à sa juste place ancillaire dans la société.
    Alternativement, il y a toujours une possibilité que Paul Kagame soit lâché par ses soutiens et qu’il finisse remplacé par un autre dictateur.

  • C’est le pays qui va le moins mal dans cette région troublée.Le président malgré son autoritarisme a diminué la corruption,augmenter les soins médicaux 92% de la population est couvert par les assurances sociales) et la scolarisation.En plus de la réforme judiciaire.Même si des progrès restent encore à faire.La RDC et le Burundi sont eux dans un état encore pire…

    • @Libre, l’article parle du Rwanda, que viennent faire le Burundi et la R.D.C ici. Comme quoi pour souternir ton president Kagame, tu dois faire une comparaison qui sans nul doute ne tiendra pas face a une analyse profonde. En fait tes arguments sont ceux de quelqu’un qui veut vendre un cheval aveugle en vantant ses pieds.

  • Les commentaires sont fermés.

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