Le regard de René Le Honzec.
La déliquescence de la pensée socialiste est illustrée par le petit nerveux Valls qui pique ses tics à Sarko-flic. Réduire de 10 km/h les vitesses limites soi-disant pour la sécurité routière… C’est vrai qu’elle est à l’unisson de la politique sécuritaire de ce gouvernement : taper sur les innocents pour protéger les politiquement-non coupables que-vous-savez-mais-que-je-dirais-pas-pas-fou. La vitesse est difficilement évaluée dans la diminution des accidents (source prévention routière-wiki) : c’est aussi une vérité de La Palice que de dire que c’est l’excès de vitesse qui “tue”. C’est-à-dire, le dépassement des vitesses légales. Réduire les vitesses ne supprimera pas les EXCÈS de vitesse. Il y aura simplement des millions de conducteurs “modérés” de plus qui se feront flasher, feront flamber les recettes de Flanby et toujours une hyper-minorité qui déconnera et tuera. L’impact sur les vies sociales et économiques seront aussi affectées. Mais Valls s’en fout : vite, faire quelque chose à ma portée, parce que “réduire la délinquance banlieusarde, c’est chaud.”
La vitesse ne tue pas. Elle ne fait qu’aggraver les accidents. SI on reste maître de son véhicule (comme dit le Code), on ne risque pas ni de se tuer ni de tuer autrui, même si on roule à 180.
Question de compétence. D’ailleurs en Allemagne, il n’y a pas plus de morts qu’en France à km parcourus égaux.