Hollande : l’Homme au fez rose

Le regard de René le Honzec sur Hollande en Tunisie

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
François Hollande en tunisie (Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, licence Creative Commons)

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Hollande : l’Homme au fez rose

Publié le 3 juillet 2013
- A +

Je n’ai pu résister au plaisir (solitaire) de rendre hommage au roman de Marcel Grancher “La Dame au fez rose”, genre de titre qu’il affectionnait. Non, ce n’était pas un grand penseur, mais Hollande non plus : cette obstination à aller sourire à des pays qui affichent une hostilité de principe envers le vilain ex-colonisateur, qui régulièrement font le compte des “horreurs perpétrées par la France” (on s’est barré il y a 50 ans quand même, si la tuyauterie des chiottes ne fonctionne plus, c’est plus nous !) pour quémander/exiger des investissements qui seront gérés par une administration qui est toujours la même que sous Ben Ali, toujours corrompue. Investir dans le tourisme ? On a déjà donné… Aider la Démocratie, c’est la formule usuelle pour refiler des subventions à fonds perdus. Et la majorité des Tunisiens de France ont voté Ennhada.

Très encourageant en effet.

Voir les commentaires (0)

Laisser un commentaire

Créer un compte

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

L’économisme de gauche le plus archaïque est bien parti pour revenir peu ou prou aux affaires et, avec lui, le magistère d’économistes théoriciens non-pratiquants, comme Élie Cohen, réputé faire consensus. L’objectivité et l’omniscience prêtées à ceux-ci par ce dernier reposent depuis longtemps sur un dosage subtil et pourtant largement déséquilibré entre libéralisme et interventionnisme d’État agrémenté d’antinucléarisme « raisonnable ». 

 

Dans cette caste séculairement omniprésente sur les plateaux télé, on trouve le dis... Poursuivre la lecture

Lors de son discours de politique générale, Gabriel Attal a annoncé deux milliards d’euros de baisses d’impôts pour les classes moyennes, financées par la solidarité nationale.

En langage courant, cela signifie payé par les riches. Les classes moyennes ne devraient pas se réjouir trop tôt : François Hollande avait déjà opéré ce type de transfert fiscal au début de son quinquennat et pour lui, être riche commençait à 4000 euros par mois. Le jeune Gabriel Attal était à cette époque membre du cabinet de Marisol Touraine. Le fruit ne tombe... Poursuivre la lecture

Le partenariat dit stratégique et global offert à la Tunisie par l'Europe n'est qu'en apparence un outil de saine gestion politico-économique. Déjà, il est nettement en recul par rapport à ce que proposait l'UE à la Tunisie avant 2011 : un statut d'associé ouvert à tous les avantages possibles, hors ceux dérivant de la qualité de membre de l'Union.

De plus, et surtout, il continue à bafouer l'un des principes cardinaux du libéralisme qui est la libre circulation sans entraves, tant des idées, des services et des marchandises que de leu... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles