Syrie : ça sent le brûlé !

Après les agitations de Sarko depuis la Géorgie, la Libye en passant par l’Afghanistan, on a le droit à un Président normal, ce qui soulage les yeux. Si on pouvait ausi arrêter de nous passer des massacres dans les médias, qui pourraient troubler la quiétude à Brégançon

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
imgscan contrepoints544 été syrie

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Syrie : ça sent le brûlé !

Publié le 7 août 2012
- A +

Le regard de René Le Honzec

Après les agitations de Sarko depuis la Géorgie, la Libye en passant par l’Afghanistan, on a le droit à un Président normal, ce qui soulage les yeux. Si on pouvait ausi arrêter de nous passer des massacres dans les médias, qui pourraient troubler la quiétude à Brégançon (fort de). Flamby, sagement, a opté pour le retrait des troupes de chez les talibans, inaugurant une nouvelle diplomatie qu’il peaufine en Syrie. “À vous les massacres, à nous les condoléances”. Adaptation de la politique intérieure : “licenciez, nous fournissons les mouchoirs”.

Voir les commentaires (0)

Laisser un commentaire

Créer un compte

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
5
Sauvegarder cet article

[embed]https://youtu.be/KAKAI0ZXQYU[/embed]

A la tête de la Syrie pendant cinq décennies, le parti Baas est un parti socialiste né dans les années 1940, reprenant les idéaux tiers-mondistes et révolutionnaires. Devenu un moyen de captation des richesses, contrôlant la Syrie par la force, le Baas a été l'instrument de la domination de la famille Assad. ... Poursuivre la lecture

L’économisme de gauche le plus archaïque est bien parti pour revenir peu ou prou aux affaires et, avec lui, le magistère d’économistes théoriciens non-pratiquants, comme Élie Cohen, réputé faire consensus. L’objectivité et l’omniscience prêtées à ceux-ci par ce dernier reposent depuis longtemps sur un dosage subtil et pourtant largement déséquilibré entre libéralisme et interventionnisme d’État agrémenté d’antinucléarisme « raisonnable ». 

 

Dans cette caste séculairement omniprésente sur les plateaux télé, on trouve le dis... Poursuivre la lecture

Lors de son discours de politique générale, Gabriel Attal a annoncé deux milliards d’euros de baisses d’impôts pour les classes moyennes, financées par la solidarité nationale.

En langage courant, cela signifie payé par les riches. Les classes moyennes ne devraient pas se réjouir trop tôt : François Hollande avait déjà opéré ce type de transfert fiscal au début de son quinquennat et pour lui, être riche commençait à 4000 euros par mois. Le jeune Gabriel Attal était à cette époque membre du cabinet de Marisol Touraine. Le fruit ne tombe... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles