Biens culturels, piratage et courrier du cœur
Comme je suis lu régulièrement par quelques internautes, il m’arrive d’avoir, de leur part, un petit email, un petit commentaire, un tweet ou un message facebook me donnant quelques liens, ou me racontant leurs aventures. Aujourd’hui, j’ai reçu l’un de ces petits mots et je tenais à vous en faire part. C’est dimanche, c’est la Journée de la Gentillesse, c’est donc courrier du lecteur, courrier du cœur.
Car, comme vous pourrez le lire ci-dessous, c’est bien du cœur que vient le cri que lance donc notre cher Gérard (le prénom a été changé pour des raisons d’anonymat). Gérard, il est comme la plupart des Gérard auxquels je pense — Gérard Jobs, Gérard Ballmer, Gérard Gates, Gérard Wozniak, Gérard Page, Gérard Brin ou encore Gérard Zuckerberg : c’est un sympathique geek qui aime beaucoup les aspirateurs automatiques et les jeux vidéos. Et c’est précisément de ça qu’il nous entretient dans sa jolie missive parvenue tout récemment. Ça étant les jeux vidéos, pas les amusants gobeurs de poils robotiques sur lesquels nous ne reviendrons pas. Non, n’insistez pas.
Et que nous dit-il ? Eh bien ceci. Non, je ne l’ai pas forcé à me le dire : c’est un témoignage spontané.
Eh bien mon petit Gérard, tout d’abord merci de ton gentil témoignage. Je comprends à quel point tu es enquiquiné par ce genre de pratiques pénibles des États qui croient résoudre (ou font semblant de résoudre) un problème en utilisant des taxes et des ponctions comme ultimes poudres de perlimpinpin.
Oui, tu l’as bien résumé : au lieu d’aider les artistes, les États (et Pascal Nègre, aussi) se mettent systématiquement en travers et au final, tout le monde est perdant.
Et au final, « fuck l’état ».
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