Mais sortez-le !

Là où Attali passe, la pensée ne repousse plus

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Publié le 29 mars 2011
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Après une enfilade d’arguments éculés concernant le tabac, la dernière envolée lyrique d’Attali – que seul un énarque en roue libre médicamenteuse peut produire -, sa performance rhétorique qu’il a effectuée dernièrement sur le nucléaire, Fukushima et l’Avenir de l’Humanité (rien de moins) nous projette au-delà des ceintures d’astéroïdes riches en connite ferrugineuse et en pipeaux lourds. On a littéralement laissé sur place le Capitaine Blâme au milieu des espaces intersidérants. On est bien au delà des dernières étoiles de la galaxie du totalement idiot.

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