La dette : potion magique ou poison mortel ?
La question de la dette. Un débat qui fait particulièrement rage actuellement. Entre ceux qui donnent dans la surenchère et ceux qui mettent en garde contre ses effets potentiellement dévastateurs.
La question de la dette. Un débat qui fait particulièrement rage actuellement. Entre ceux qui donnent dans la surenchère et ceux qui mettent en garde contre ses effets potentiellement dévastateurs.
Redécouvrez cet edito d'h16 qui date de... 2012 et n'a rien perdu de son actualité !
Autant les finances parisiennes étaient présentées comme « parfaitement saines » pendant la campagne électorale autant Anne Hidalgo admet maintenant que « les marges de manœuvre budgétaires sont extrêmement réduites ».
Sérieux et jamais pris au dépourvu, Jean Castex a répondu aux questions de Laurent Delahousse.
Deuxième partie de l'analyse des plans de relance post-Covid : comment les autres pays d'Europe et du monde ont-ils prévu de faire repartir leur économie ?
-19 % du PIB : ce fantastique recul du niveau de vie fera certes le bonheur des apôtres de la décroissance, mais les pauvres seront les plus durement touchés.
En France comme ailleurs, l’argent n’est que la courroie de transmission du moteur, mais ce n’est ni le moteur ni le carburant. Ce sont les hommes et eux seuls qui nous fourniront le nécessaire.
La crise que traversent l’économie et les marchés a bel et bien une origine humaine. La crise sanitaire n’en est que le révélateur.
Bruno Le Maire a affirmé : « Contre la crise, nous avons choisi la dette, le seul choix responsable ». Mais le déficit public ne peut constituer une politique de relance économique.
Comme la SNCF, Engie se met à vendre des actifs pour alléger de 0,4 milliard d’euros sa dette qui s'élevait fin 2019 à 25,5 milliards.
S’il suffisait aux États d’augmenter leur déficit et leur dette pour investir et gagner de la croissance, la France serait le pays où la croissance devrait être la plus forte du monde. Mais ça n’est pas le cas.
Christine Lagarde s’apprête à favoriser relance, politique de la demande et grands travaux en Europe dans la plus pure veine keynésienne, exactement comme le souhaite le gouvernement français.
Un des avantages de tenir un blog depuis pas mal d’années est qu’on peut noter la dérive de la société sur les temps longs, ceux…
Le 23 juillet dernier, il a été entériné que le gouvernement fédéral aura droit à une rallonge de 50 milliards de dollars cette année, et de 54 milliards supplémentaires l’année prochaine. La dette augmente.
La dette explose partout dans le monde. La "zombification" s'étend aussi aux États dits "émergents".
Seuls des échappés de l’asile pensent qu’on peut relancer l’économie réelle en y injectant de l’argent factice. Pourtant, cette politique est désormais appliquée un peu partout.
"On peut laisser filer les déficits, donc la dette publique, sans risquer la faillite, pour peu qu’on ait des projets d’investissement et des travailleurs disponibles." L'irréductible discours des keynésiens.
Les principes de base de gestion de la dette devraient s'appliquer dans le domaine public comme chez les individus.
Par Jean-François Faure. Le cash est en voie de disparition. Plus les pays sont développés, plus cette évolution est rapide. Bientôt il n’y aura plus…
Le rythme de création de dettes dépasse celui de la croissance économique et la démographie diminue la faculté future de remboursement.