Milton Friedman : « La dépression des années 30 fut l’échec de l’État »
Traduit pour la première fois en français, l'épisode de « Free to Choose » consacré à la grande crise de 1929.
Traduit pour la première fois en français, l'épisode de « Free to Choose » consacré à la grande crise de 1929.
Rapport Notat-Sénard : le capitalisme français a clairement perdu une bataille d’influence qu’il aura en fait à peine menée.
Les patrons et cadres doivent prendre conscience qu’en faisant travailler les Français et tous les autres francophones en français, ils améliorent les performances de leur entreprise.
La propagande contre libre échange bat son plein, et aujourd'hui, le protectionnisme économique bénéficie dans le débat public d'une seconde jeunesse. Il est pourtant toujours aussi dangereux.
La Chine va acheter moins de bons du Trésor américain. Mais est-ce si important ?
Si vous faites vos courses sur le marché local de votre ville, vous ignorez peut-être à quel point vous y côtoyez les fondements les plus primaires de l'économie.
Vous pouvez dire merci à vos grands-parents. S’ils avaient décidé de «résister au capitalisme», comme d’autres tentent de le faire ces temps-ci, nous aurions des décennies de retard dans l’innovation technologique.
Le sapin de Noël devait être un antidote à l’esprit de commerce ; il en est vite devenu l’incarnation.
La perspective de revenus gigantesques et l’idéologie de ceux qui incarnent la vente du vent et du soleil aveuglent les États fascinés par nouveau un "capitalisme vert" pour le plus grand malheur de leurs administrés.
Les pays scandinaves proposent un modèle où l'État occupe une place très spécifique pour ce qui est de garantir l'accès à différents programmes sociaux mais, surtout, où le capitalisme et le libre marché jouent un rôle primordial.
Selon Robert Reich, la situation actuelle est comparable aux années 1880-90, durant lesquelles le capitalisme de connivence a permis de concentrer la richesse entre les mains de l’élite, et cela au détriment du libre-marché.
Il est souvent difficile, dans le brouhaha des actualités consternantes ou délicieusement absurdes de distinguer ces petites histoires qui font le sel de la vie,…
Échapper à la pauvreté et parvenir à l'égalité des droits vont souvent de pair.
L'inclusion de perspectives hétérodoxes dans les cours d'économie contemporaine en vaudrait-elle la peine ?
Début 2017, une nouvelle édition du rapport produit par Oxfam sur la pauvreté dans le monde a dénoncé les inégalités sur la planète. Le document a nourri de multiples indignations sur les méfaits de l’économie de marché, à tort.
C’est à tort que les crises actuelles sont dites « crises du capitalisme ». En fait nous faisons face à la crise d’un modèle d’organisation étatique qui ne parvient pas à s’adapter à l’évolution du monde. Explications.
Vous pouvez dire merci à vos grands-parents. S'ils avaient décidé de «résister au capitalisme», comme d'autres tentent de le faire ces jours-ci, nous aurions des décennies de retard dans l'innovation technologique.
Dix ans après les premières alertes sur l’effondrement des colonies d’abeilles, les entreprises de pollinisation ont écarté tout risque de « beepocalypse ».
Si les marchés ne sont pas libres, le capitalisme peut être aussi nocif — et même peut être plus nocif — que les systèmes collectivistes.
Pourquoi la prospérité est-elle apparue en Occident ? Comment se caractérise-t-elle ? Quelles sont les causes du déclin actuel et les moyens d’y remédier ? Un ouvrage majeur du prix Nobel d’économie 2006, à la fois passionnant et très instructif.