Christine Lagarde à la BCE : chronique d’un échec annoncé
La récente arrivée de Christine Lagarde à la présidence de la Banque centrale européenne, le 1er novembre 2019, semble marquer la première étape d’un échec économique inéluctable.
La récente arrivée de Christine Lagarde à la présidence de la Banque centrale européenne, le 1er novembre 2019, semble marquer la première étape d’un échec économique inéluctable.
L’émergence de plus grosses institutions bancaires dans la zone Euro, en plus d’être une bonne nouvelle sur le plan symbolique pour l’idée européenne, renforcerait la compétitivité du secteur face aux mastodontes américains.
La réglementation européenne interdit désormais le sauvetage des banques par leurs États (c’est-à-dire les contribuables). Mais certains États trouvent des moyens pour contourner cet obstacle.
Les nuages s'amoncellent sur l'horizon des banques européennes qui gèrent votre argent. Prudence.
La problématique sur les fondamentaux des banques en matière de recapitalisation est contestée, surtout par les banquiers européens, évidemment !
Les résultats des tests de stress des banques menés par l’EBA sont globalement bons, mais le vrai problème des banques demeure à ce jour non résolu.
Les banques européennes sont menacées par les taux négatifs ou la réglementation européenne.